Numéro de dossier
Monsieur le Greffier
de la Cour européenne des droits de l’homme
Conseil de l’Europe -
F-67075 Strasbourg CEDEX, France
Requête
présentée en application de l’article 34 de la Convention
européenne des Droits de l’Homme, ainsi que des articles 45 et 47 du
Règlement de la Cour
A. Le requérant/la requérante
1. Nom de famille: ROSCA 2. Prénom (s) IOAN Sexe:masculin
3. Nationalité : roumain et
canadien
4. Profession: mathématicien,
ingénieur systèmes télé-informationnels, chercheur, PH.D- éducation
5. Date et lieu de naissance:
30.03.1958, Vama, Suceava, Romînia
6. Domicile : Canada, 7191 De
L'Alsace 102 Anjou (Quebec) avec passeport de citoyen roumain domicilié
à l'étranger no P 13429458,
delivré par la police Neamt- Romania à 06.09.07
7. Tel. no 0233- 220930, email:
ioan_rosca@yahoo.com
8. Adresse actuelle (différente de 6) :
Piatra Neamt, str Petru Rares, Nr.56, ap.26, Neamt, Romania,
9. Nom et prénom du/de la
représentant(e)- 10. Profession du/de la représentant(e)-
11. Adresse du/de la représentant(e)- 12. Tel.no - Fax no-
B. La haute
partie contractante
13. ROMÎNIA
14. Les
abus commis contre moi, que je relaterai ici succinctement, n'ont pas eu un caractère uniquement
personnel. Les "faits" ne peuvent pas être séparés des aspects
juridiques, il s'agit généralement de "faits juridiques", des
infractions envers la Justice et contre l'humanité. J'ai essayé, pendant plus
de deux décennies, de défendre le droit à la justice des victimes d'un
génocide, étant traité en conséquence par les complices des responsables, qui
continuent d'occuper l'état roumain.
Je peux prouver ces allégations très graves avec
les documents [1-49] indiqués dans la partie VII, marqués [xx = 21.xx],
certains étant extraits des 49 volumes de l'enquête 35/P/06 [29], que
j'ai photographié en totalité, ou du volume 168 [6] de 175/P/08, qui a été
envoyée auparavant à CEDH. Je pourrai ajouter, si on me donne l'occasion,
des explications, des preuves et des déclarations.
J'espère que la
protection des crimes
du régime communiste ne s'étendra
pas vers les organismes
communautaires européens,
car la discrimination des Roumains- en tant que victimes- écroulerait
la légitimité de la
justice. Je vous
demande de défendre les
droits de quelqu'un frappé
pour avezi tenté de défendre le droit, qui a
voulu faire au moins quelques pas
semblables à M. Wiesenthal, soufrant les répressions et les abus décrits ci-dessous.
À la fin de la
2ème guerre mondiale, avec l'accord les alliés
occidentaux, l'Union soviétique
a envahi l'Europe de l'Est, installant dans plusieurs pays des régimes totalitaires marionnette
"communistes", fait reconnu
internationalement. La Roumanie a subi une longue occupation génocidaire, la résistance réelle ou potentielle étant écrasée avec férocité. L'Etat usurpé, dirigé par l'appareil législatif et judiciaire,
a opéré anti-humainement et anti-socialement. Les
millions de crimes de cette période sont reflétés amplement dans les
Mãrturie s, documents, analyses, raports de cercetare (vezi ºi [6, 17-19, 22, 29, 34,37])
et ont été officiellement
reconnus, mais sans l'établissement
des responsabilités et des réparations.
Je suis né dans cette période
fatidique (1958) ayant
l'enfance empoisonnée par le climat
de camp installé, par la terreur et le harcèlement sous lesquels les
Romains (y compris ma famille) s'efforçaient de survivre, en évitant l'emprisonnement
par des compromis irréparables.
Après 1964, le Parti Communiste Roumain, consolidé au
pouvezi jusqu'à l'identification avec l'Etat, a constaté la réussite de la décimation
des élites et de la domestication de
la masse effrayée et a pu s'ouvrir à "la
coopération et à la détente internationale".
Pour être utilisés
dans la "construction du socialisme" ont été "libérés" les survivants des centres d'extermination
(prisons, mines, colonies, etc)
et obligés à travailler aux côtés
d'autres esclaves du grand camp de
travail forcé et d'aliénation (prostitution intellectuelle) - qui
était devenu la Roumanie. La terreur était installée à fond
dans les consciences et la répression directe
était nécessaire moins souvent. Mais cînd un acte de rébellion ou de
contestation se produisait, les téméraires étaient
écrasés sans pitié, pour rappeler
à tous qu'ils sont à
la merci du système répressif. Nous disposons d'un nombre illimité de preuves sur la continuation, dans de nouvelles formes, du génocide
utilisé par le régime
totalitaire pour gouverner la
Roumanie (exemples dans
[18-19, 22, 29, 34,37]).
Cette période a avalé ma jeunesse.
J'ai essayé d'éviter les compromis
moraux, en me consacrant à des préoccupations techniques (mathématiques
et l'électronique). Mais, en dépit de
l'apparente normalité de ma
carrière professionnelle, j'ai vécu étouffé
par le dégoût, la révolte, l'humiliation, la peur et la honte, face à la vie de ceux autour de moi… et de la mienne.
La révolte de 1989 m'a
offert une chance de récupérer ma dignité. Comme je peux le prouver
avec les textes publiés à l'époque (exemples dans [2,4]),
j'ai interrompu l'activité
professionnelle et je me suis totalement dédiée à la lutte pour renverser
les usurpateurs de l'état, qui essayaient de camoufler la Restauration. Observant que le débarrassage du couple Ceausescu était
seulement un stratagème des
Activistes et des Secouristes de l'ancien régime pour
détourner la révolte populaire et
conserver le pouvezi, nous avons tenté d'organiser
la résistance face à la
contre-révolution que le "Front de salut
national"- FSN réalisait par des
moyens criminels [1-5]. La mise
de l'affrontement de 1990 a été le
renversement de la nomenklatura communiste des positions de décision (Parlement,
justice, police, armée, etc.) qui lui
permettait de: a. Éviter la punition des crimes
du régime communiste b Accaparer les
richesses confisquées aux victimes ou travaillées par elles dans le camp- par privatisation mafieuses. c
Légitimer la pseudo-démocratie interne et acheter la respectabilité externe par des trocs effectués au
détriment des intérêts du peuple roumain.
Je me suis impliqué dans toutes les
formes légitimes de la lutte de libération: la constitution d'asociaþias civiques,
la participation à des protestations, la
formation de partis d'opposition, etc. A
cette occasion, j'ai souffert constamment
des pressions, des insultes, des menaces, des agressions de la population manipulée (par la
presse, la télévision, les informateurs toujours
maintenus en conspiration par le chantage des services secrets
qui ont gardé leur postes) de
manière à écraser l'opposition. J'ai montré dans plusieurs textes [1-4] ce que nous avons souffert, moi et les
membres de l'asociaþia "Dialogue
Piatra Neamt", fondée et dirigée
par moi, parce que nous avons cru
que le moment était venu de
réhabiliter la primauté de l'état de droit et de la Justice juste. Je rappelle ici seulement l'épisode de 1-5 mai 1990, lorsqu'on a été presque lynchés (à Piatra Neamt) parce qu'on faisait la grève de la faim pour la vérité,
la justice et la démocratie. Nous avons
aussi défendu ces
idées, dans la manifestation marathon de
la Piaþa Universitãþii, qui a été
terminé par la répression monstrueuse
de iunie 1990, organisée par la FSN, en utilisant l'armée, les services spéciaux, et des bandes des supporters violents amenés de tout le pays.
Après le massacre du 13-15
iunie, ceux qui tentaient le nettoyage des institutions de l'Etat
parasitées par nomenclature criminelle ont
rechuté dans la peur et le
désespoir. L'Ouest a poursuivi
son désintérêt face
à ce qui se passe dans une Roumanie
apparemment "libérée" par une
"révolution"... suite
à laquelle les anticommunistes ont fui le pays et les communistes,
convertis au capitalisme, sont restés au
pouvezi et sont devenus riches.
Restant peu en combat, ceux qui avons continué la lutte pour renverser les coupables du pouvezi, pour qu'ils puissent être
punis, n'avons pas réussi grande choses, même si nous avons bataillé avec toute l'énergie [4i-n].
À l'automne de 1990,
en tant que fondateur et chef de l'opposition unie dans Neamt (FDAR-[4j]),
j'ai conduit des cercetares dans la forêt de Dealul
Marului- Neamt, menant à la
découverte d'un charnier où les
victimes de la Securitate avait été jetées en 1949 [4,
13]. Marqué par la rencontre des restes
des exterminés, j'ai
lancé un Appel pour un
Procès des crimes du
communisme, pour la cercetare des "Katyn" roumains [4.14] et
nous avons provoqué l'enquête criminelle 430/P/1990
[17] en déposant les preuves
trouvées aux procureurs militaires. Après
avezi découvert un autre charnier dans
la forêt de Dealul Balaurului- Neamt [29-v48], les menaces contre
moi se sont amplifiées, en se concrétisant
à 16.12. 1990 par la répression brutale de la
commémoration des victimes, que j'ai organisé à Piatra Neamt, par la foule provoquée par les anciens "Secouristes"
à nous menacer, lapider, frapper,
lyncher [4m, 6,15,21].
Poursuivi par la police
secrète renommée SRI,
et humilié par le comportement anti- justicier de mes compatriotes manipulés,
je me suis senti obligé de faire de nouveau la grève de
la faim, des déclarations de rejet de la concitoyenneté avec un président comme Ion Iliescu, et une
grève professionnelle totale [2i, 16] et enfin, de
m'exiler, en précisant publiquement que je proteste
ainsi contre le blocage du procès du génocide communiste.
Après l'émigration
au Canada (octobre 1992), j'ai repris
péniblement ma carrière (doctorat, la cercetare, etc.) payant le dû
tribut au déracinement, chassé d'un pays resté à la merci des bourreaux.
Mais j'ai continué à
faire pression pour déterrer la
vérité sur les crimes et leur couverture par le régime installé en Decembrie 1990,
qui a protégé les coupables pour que leurs héritiers soient en mesure de s'enrichir de la proie.
J'ai écrit de nombreux essais,
publiés sur Internet, que j'ai regroupé
sur des sites Internet [12,
18,19]. À [19] j'ai coordonné un
projet d'étude des crimes communistes
et des raisons pour lesquelles ils ne
pouvaient pas être punis.
J'y ai édité et publié beaucoup de Mãrturie s, écrits par des
survivants, montrant l'amplitude
de la boucherie dont a été victime la Roumanie (vezi ºi [29]). Seuls les révélations
sur le diabolique "phénomène Pitesti" (où les étudiants
victimes ont été torturés irrésistiblement
pour devenir tortionnaires, en chaîne) aurait du suffire amplement pour la
mise en marche de la justice, si elle n'avait pas
été occupée par les complices. Le dictionnaire monumental de M. Cicerone Ionitoiu complété avec
registres des prisons constituant une référence de
départ pour la liste des victimes.
Mais bien que des
centaines de milliers de prisonniers politiques et de tortionnaires étaient encore vivants,
aucun criminel n'a pas été punis, en dépit de toutes les démarches faites auprès des
organes de cercetare, poursuite ou décision pénale (réalité sinistre reflétée dans plusieurs volumes de [29]). Ce qui prouve la complicité de l'administration post-décembriste, donc la continuité de
génocide jusqu'aujourd'hui (sous
la forme de la protection et de
l'enrichissement des responsables).
Le 18/09/04 le président
roumain Ion Iliescu, le principal responsable de l'extension des crimes
communistes après 1990, accompagné par Razvan Teodorescu, qui conduisait
en iunie 1990 la télévision roumaine, le principal incitateur de la population
à l'écrasement des manifestations contre la contre-révolution FSN, a
effectué une visite à Montréal pour assister à l'inauguration
d'une statue de Mihai Eminescu dans la Place de la Roumanie. Ce fut une
provocation insupportable, pour la multitude d'exilés à Montréal en
raison du blocage de la libération de la Roumanie par le FSN. J'ai participé [12]
à la manifestation de protestation de Montréal, qui
a intensifié l'opposition en exil. Sachant que revenus
en Roumanie, M. Iliescu et Theodorescu
nous ont traité de
perdants et de retardés, j'ai
décidé de retourner dans la bataille pour que ces criminels, qui ont parlé au nom du pays occupé par
leur bande, aillent derrière les barreaux.
En tant qu'étudiant membre
de l'équipe olympique roumaine
de mathématiques (Ankara, 1980) je ne pouvais pas rester passif découvrant [12c] que Gh Nechita, mon coéquipier este l'un des plus de 1.000 roumains abattus
en Decembrie 1989, pour qui il n'est pas
permis de trouver les assassins,
les enquêtes étant retardées
délibérément (le dossier faisant l'objet
de plaintes à CEDH, comme 33 810/07). Une autre affaire criminelle (qui a également
fait l'objet de plaintes à la CEDH-
18817/08) dans lequel il
fallait que j'intervienne, comme victime directe (vezi 14.3), a été celui dédié à la répression de 1990, par laquelle le FSN écrasa
la tentative de récupération de
la révolution détournée.
Enfin, en collaborant avec d'anciens détenus politiques (vezi 14.4), nous avons constaté que,
année après année, les victimes
des abus du régime communiste disparaissent, ne
parvenant pas à obtenir satisfaction en justice. Un drame
difficile à décrire et à peser (qui a également fait l'objet de plaintes
CEDH, comme 3316/10). J'ai été mandaté par le Comité de Représentation des Victimes du Communisme -CRVC [20] de faire
de mon mieux pour lancer et soutenir l'enquête criminelle.
J'ai agi dans
l'intérêt de la société, dans les trois cas, inextricablement
liés. En observant que l'anomie devient irréparable, j'ai interrompu
une nouvelle fois mon activité professionnelle. J'ai demandé, en martie 2005, au Directeur de l'institut
de cercetare LICEFA [45] (M. Gilbert Paquette, qui peut confirmer) de m'approuver le départ pour un an, pour
faire mon devezi de civisme justicier en Roumanie. Je suis allé à Bucureºti , en congé sans solde, et j'ai déposé des
plaintes pénales [1-2, 21].
Malheureusement, mes efforts infructueux
furent prolongés jusqu'aujourd'hui, me forçant à reporter mon retour
à Montréal, d'abord jusqu'à l'achèvement du projet Lornet (2008),
puis jusqu'à la perte de mon
emplois dans la cercetare, et
enfin jusqu'à épuiser mes
réserves financières (je
n'ai reçu aucune subvention). Je regrette le nouveau coup donné à
ma carrière, mais je n'avais pas le choix. J'espère que
vous apprécierez comme une obligation
fondamentale, l'implication dans l'exposition de l'occultation mafieuse d'un génocide, avec plus de 5 millions de victimes.
Ma plainte pénale
[1] pour les
agressions subies en 1990 à Piatra Neamt (vezi 14.3 et 14.4), déposée le 26/04/05 au procuratura miliaire d'auprès la Haute Cour de Cassation et Justice (ICCJ) et
renforcée par les déclarations de
27/04/05 [2] et 5.6.06 [4] a été
encadrée dans le dossier 75/P/1998 [6, 47],
dans lequel on investiguait la façon dont les dirigeants du FSN ont supprimé en 1990, à
travers le pays, les tentatives d'accomplissement de
la révolution de Decembrie,
l'épisode central étant la répression de 13-15 iunie 1990.
J'ai appuyé intensément la cercetare (confirmation
à [47]) à travers une
variété d'activités volontaires,
qui m'ont demandé un dévouement total
a. Sélection d'articles de presse
et d'émissions de télévision de 1990,
qui prouvent l'instigation
de la population contre les combattants pour une
vraie démocratie [3] b.
Composition des synthèses
documentaires de cercetare mises à
la disposition des procureurs [3.6]
c. Sensibilisation de l'opinion publique et activation
d'instances civiques d Cercetare
de ceux qui sont prêts à
déposer des déclarations de témoin
ou de partie lésée, par exemple ceux qui ont assisté
à notre répression à
Piatra Neamt. [6] e. Elaboration
des propres raports de cercetare, tels que celui déposé le 21/12/07 [5]
f. Participation aux dialogues avec
les responsables, concernant
l’enlisement des enquêtes [24]
Au moment ou l'enquête
75/P/1998 c'est approché dangereusement
de l'inculpation des coupables, les
juristes pro-communistes qui occuppent
encore la Cour Constitutionnelle
ont rendu, à 16/07/07,
une décision exigeant que tous les cas
impliquant des civils et de militaires ne soient plus traités par des tribunaux
militaires. Sur cette base, la
montagne de dossiers échafaudés plus de dix ans par l'équipe Voinea a
été versé vers une section civile
du procuratura ICCJ (SUPC), qui a ensuite paralysé
la cercetare [47,49]. La protection
des inculpables a invoqué une
décision CEDH, bien que la distinction
"civile / militaire" était sans
objet, dans un dossier de terreur
politique, impliquant des chefs d'État (commençant
par l'ancien président et
l'ancien Premier ministre). On a aussi fait recours à une série de déclinaisons (renvois) et de
disjonctions entre différentes sections du parquet, ayant le rôle de tergiverser, de détruire l'unité du
dossier et d' "égarer" certaines
parties du probatoire. Par exemple, personne ne peut plus dire où sont
arrivés les milliers de documents
déposés par moi (avec des procès
verbaux- [3]) qui montraient l'instigation par les médias. Seule
une partie du dossier Ioan
Rosca (dédié aux événements de Piatra Neamt) atterrissant dans le volume 168 [6,47].
Mais même pour cette partie,
je n'ai pas reçu de décision, pouvant seulement "deviner" ce que
les décisions injustes [9b]
qui ont fermé 75/P/98 (175/P/08)
s'appliqueraient à mon cas, même
si elles ne m'ont pas été communiquées, et ne
font pas référence pertinente à moi.
En conséquence, j'ai déposé des mémoires
à 06/08/10 [7] et 11.12.10 [8] demandant
des explications sur ce qui s'est passé
avec la cercetare que j'ai appuyée
bénévolement pendant plusieurs années.
Les réponses reçues ne disent rien sur le sort du dossier Ioan Rosca-75/P/1998, se référant uniquement au dossier Ioan Rosca-35/P/2006.
Mon autre plainte a été déposée le 31/07/06 [21a] et demandait la cercetare : A Du génocide et de la terreur
communiste jusqu'à 1990 B. De la protection des
coupables après 1990 - par des agressions comme celle subie par
moi en Decembrie 1990 (vezi 14.4).
Le dossier 35/P/2006, ainsi initié par
moi, étant soutenu
par de nombreuses plaintes [21bc],
similaires à celles faites par
les membres CRVC [29]. Il a aussi rejoint les
résultats des cercetares menées par l'Institut pour l'Investigation des Crimes du Communisme- IICC, lancé en 2006 avec le mandat de déterminer les responsables et de les traduire en justice.
J'ai soutenu plusieurs années cette enquête, avec des témoins,
documents et raports. Le procureur militaire Dan Voinea, qui
témoigne sur ma participation [47], a entendu des centaines de personnes lésées, qui ont montré dans leur Mãrturie (plusieurs volumes de [29]): l'arbitraire des motifs d'incarcération,
la brutalité extrême des
enquêtes, les conditions d'extermination en détention, le harcèlement et la
discrimination des anciens détenus politiques,
même après avezi été "libérés"
en 1964, le déni de justice après 1990. Plusieurs dossiers des tribunaux
et des parquets, fermés
abusivement, ont été étudiés et rouverts (volumes de [29]), tels les
procès de Draghici ou
Craciun- vol 4, imposant la suspension et l'interruption de la prescription prévues dans notre code pénal (article 122
et 129), parce que, évidemment,
la force majeure a continué, empêchant la punition des coupables, malgré les plaintes.
En plus de constater les motifs pour ajourner la prescription (tels que la continuité de l'infraction)
ont été étudiés les motifs
d'imprescriptibilité, pour crimes contre l'humanité.
[47]
Ainsi, à ma
demande [23], M Voinea a rouvert [25a] le
dossier 430/P/1990 [13,
17] lancé en 1990 [6] par les
asociaþias de l'opposition du district Neamt-
que je présidais (vezi 14,7), en constatant l'illégalité de la manière de laquelle il avait été classé en 1993 [17a] par le procuratura
militaire de Bacau. Le dossier 146/P/95,
fermé par NUP (non-lieu
de la poursuite) à 08/11/96 [17b] a été également rouvert. Bien que l'expertise
balistique et les témoins du massacre on confirmé
l'exécution par la police secrète, les procureurs avaient prescris l'exécution en masse par les escadrons de la Sécurité,
parce qu'elle avait eu lieu vers 1950…
Cela en dépit du fait que même le ministre
FSN de la Justice avait reconnu dans
les médias que la prescription ne
pouvait pas couler jusqu'en 1990, parce que le régime a empêché le jugement de ses propres crimes. Toujours par la note [23] j'ai demandé que les Mãrturie s et les
documents prélevés à Piatra Neamt [6], au sujet de la répression
de la commémoration du génocide communiste
du 16/12/90, intégré en 75/P/98-vol 168, soit
aussi utilisée dans 35/P, à
l'appui du chef B de
nos plaintes, liées à la
protection des criminels par le
commandement FSN.
Cette cercetare a été aussi
interrompue, puis étouffée,
par le dessaisissement à
31.07.2008 [25c] vers la
section civile [47],
décision que j'ai contestée par la note 16/09/08 [25d] qui a été
rejeté [25E]. Comme les sentences injustes qui
on mené à l'extermination des patriotes roumains ont
été prononcés par des tribunaux militaires,
à la suite des enquêtes conduites par des procureurs militaires, la commutation de la compétence vers le procuratura
civil, parce que les responsables vivants avaient pris
la retraite...a été une farce. Pour détruire la cohérence, on a fait appel à une cascade typique de disjonctions et "déclinaisons"
(renvois). Le 24/11/2008,
de SUPC vers DIICOT [25f]. Qui [25g] renvoie le génocide à SUPC et retient les infractions connexes
contre l'Etat (dissociation justifiable seulement par la tîche de saboter
la cercetare), pour constater, sans lire
les dossiers, que
les infractions contre l'État ne
seraient pas produites ou seraient prescrites, aberration qui n'a jamais été communiquée aux plaignants-
comme moi.
Réagissant à mon Mémoire
de 16/08/10 [8, 29v27f194] la SUPC
a décidé, le 29/09/10 [26], sans raison valide, la prescription du génocide communiste, sans souffler mot au sujet de chef B de notre plainte. Ma plainte de 10/11/10 [27], soulignant
l'imprescriptibilité, mais aussi les raisons d'interruption et de suspension pour les éventuelles
prescriptions, montrait aussi que la prescription du
chef A démontrerait automatiquement la
validité du chef B de la plainte (l'entrave
à la justice) ... En ne lui accordant aucune attention, la rezoluþia Iacob [28] a confirmé la volonté de clore l'affaire à tout prix,
même en négligeant totalement
l'ouvrage 9971/4335/II/2010 en 49 volumes [29]
accomplit par le procuratura miliaire.
Selon l'article 278
cpc, j'ai
présenté au 22.12.10 à la Haute Cour de Cassation et de Justice-ICCJ [30a] une
plainte contre la décision [28]
qui avait déclaré inutile la
continuation des cercetares sur le génocide communiste après tant d'années d'impasse (vezi 14.8)
et, comme deuxième chef de plainte, la
contestation de la
cercetare dans le dossier la Contre-révolution FSN ou je ne recevais pas
de réponses (vezi 14.7). Pour esquiver
les procédures complexes, l'institution de la plainte collective étant déficitaire en Roumanie, nous avons
évité le dépôt des plaintes
individuelles par tous les co-plaignants du dossier commun 35/P/06
(maintenant 82/P/07). J'ai ajouté seulement une plainte séparé pour Cicerone
Ionitoiu [30b], victime et doyen de la cercetare des crimes du communisme (avec une activité analogue à Simon Wiesenthal). Parmi les
co-demandeurs, je mentionne la Fédération roumaine
des anciens détenus politiques
combattants anticommunistes, qui a introduit à
06.01.10 un dossier consistant à CEDH (no.
3316/10), recevant une réponse déshonorante.
Bien qu'elle se referent î la
même rezoluþia du parquet, les plaintes déposés le 22.12.2010
n'ont pas été rejoints, ouvrant les causes 10636/1/2010- pour moi et 10 635/1/2010-pour M Ionitoiu Cicerone, d'autres co-plaignants
étant dirigés vers des procès
parallèles. Le but de cette
manœuvre était criminel: pouvezi
cacher les 49 volumes de l'enquête 9971/4335/II/2010 [29]
dans les archives ICCJ: dans le dossier X2- le jour de l'audience
pour le procès X1, dans le dossier X3 cînd vient le tour de l'audience pour X2. Etc. Vous
verrez à quel effet….
À la première
séance de jugement dans l'affaire no. 10636/25.02.2011, pour laquelle j'ai
préparé une argumentation de synthèse [31], j'ai constaté que le
tribunal ne dispose d'aucune feuille des 49 volumes de la cercetare
35/P/06, ni des centaines des volumes de la cercetare
75/P/98(175/P2008). Par conséquent, le représentant du procuratura a pu
commettre parjure, affirmant que je n'aurais pas fait aucune plainte pénale de
partie lésée dans les deux dossiers - donc que
ma démarche este exclusivement civique. J'ai demandé la cour de
consigner que je suis même l'initiateur de l'affaire pénale 35/P/06 et,
depuis 2005, demandeur dans l'affaire 75/P/97, en tant que victime des méfaits
qu'on pourrait juger, sauf si les volumes- absents de manière
inadmissible- apparaissaient. En insistant
qu'on leur accorde une attention et une protection maximale, vu leurs
valeur historique écrasante. Malgré les explications éloquentes orales et
écrites dans la plainte et dans la note déposée, en déniant de manière
absolue mon droit à justice, le
juge a rejeté, comme irrecevable, ma plainte [32], retenant... la manque de
qualité processuelle, bien qu'il ne disposait pas pas des dossiers d'enquêtes criminelles que
j'avais contesté!
Le 03.03.11, je me suis aussi présenté à l'audience du procès
"paire" no. 10635, en tant que représentant de M. Ionitoiu [33] (et
en fait, co-demandeur de l'enquête criminelle commune). Ni cette
instance-ci, n'avait pas encore reçu les dossiers de l'enquête criminelle
35/P/06 [29]. À mon insistance, on a donné un délai pour qu'ils soient
apportés. Ce qu'il n'était pas encore le cas à l'audience de 08.09.11,
la cour ayant sur la table seulement deux volumes, qui ne contenait pas la
requête de M. Ionitoiu. 47 des
volumes envoyés par le parquet... restaient introuvables. Percevant la
stratégie de boycott pratiquée à ICCJ, j'ai eu l'inspiration de demander
l'accès à mon dossier du mois de février, archivé - vide, avec
l'arrêt concernant mon manque de qualité processuelle. cînd mon dossier a
été apporté du dépôt, j'ai constaté qu'il était, entre-temps... plein. Les 47
volumes de l'enquête criminelle qui manquaient…étaient cachés dans mon
dossier... classé, en commençant par les trois premiers, qui contenaient nos
requêtes et les démarches initiales [29] et qui montraient, de façon concluante... ma qualité. J'ai signalé aux juges, pendant l'audience, la
situation, la localisation des volumes, leurs importance et la nécessité de
célérité imposée par l'îge et l'état de
santé de M. Ionitoiu [35] pour lequel j'avais déposé d'autres documents
pertinents, y compris son livre des mémoires, récemment publié [36]. L'affaire
a été... mise en délibéré, ne pouvant
que déposer une liste d'arguments contre la prescription. La décision de la
cour [36] étant... le renvoi vers un
tribunal inférieur.
Voici comment une plainte pénale collective, qui
déclenche une enquête d'une importance majeure, conjointement contestée,
peut être traitée variablement : moi, n'étant pas reconnu comme demandeur
(parce que le dossier a été caché….) et mon co-requérant étant renvoyé (car le dossier
avait été trouvé…)
Célérité pour un vétéran malade? Il a fallu six mois pour
que la Cour fasse la motivation de la déclinaison (renvoi). (On
procède de cette façon aussi pour
obstruer la documentation des plaintes à la CEDH). Mais M. Ionitoiu
[48] (qui a aussi une affaire à la CEDH, no. 16507/12, oû on
devrait tenir compte de la situation décrite ici) s'est obstinée à ne
toujours pas mourir... Et je n'ai plus fait une intervention séparée, pouvant
défendre la cause commune comme son représentant. À la première
audience du procès repris seulement le 09.05.12 chez la Cour d'appel
sous le no. 3095/2/2012, j'ai vérifié qu'ont été reçus à l'archive les
49 volumes de l'enquête criminelle
contestée [29] et j'ai fait une note [37a ] sur les vices fatals de la
cercetare et de la prescription - que je voulais aussi soutenir oralement
à l'audience. Mais, je n'ai pas pu dire aucun mot, parce que les juges
ont annoncé que…. l'affaire este mise en délibéré, me permettant seulement de
déposer des conclusions écrites (une limitation du droit de représentation, du
code de procédure de Roumanie, pour les représentants sans formation juridique
formelle). L'étude approfondie de la législation et des 49 volumes, m'ont
permis de rédiger des conclusions consistantes [37b], qui démontraient impitoyablement que la
répression génocidaire d'avant 1990, a
été continué après par la protection des coupables, y compris par
l'invocation abusive de la prescription, la justice étant complice. Pourtant
(ou justement pour ça) à 29.05.12 [38] le tribunal a
confirmé la décision du parquet, ce qui démontre qu'il este encore impossible
de juger les crimes politiques en Roumanie post-communiste. Les arrêts
[32] et [38] étant déclarées définitifs (sur la base de certaines dispositions
procédurales anti- constitutionnelles), donc sans possibilités de recours (voie
d'ataque).
Après avezi dénié mon droit à la justice
pour les deux chefs de la requête de 10.12.10, donc aussi pour le dossier de la Contre-révolution du
1990 (75/P/98), pour sauver les apparences, le procureur m'a communiqué le
10.03.11 [9] la rezoluþia de 17.07.09 pour le dossier 75 /P devenu 175/P/08, même
si celui-ci ne contient rien sur mon cas, en me demandant d'accepter, sans
aucune justification , que les leaders
de FSN ne sont coupables ni de ce qui s'est passé en 1990 à
Piatra Neamt ... Ma plainte de 25.03.11
[10] a reçu un réponse dans le
même style arbitraire [11], la
rezoluþia étant postdatée à 20.05.11, pour pouvezi éluder la rezoluþia CEDH de 24.05.11 dans l'affaire
Maries, qui confirmait
l'inadmissibilité de la
prescription sur la base de prolongation scandaleuse de l'enquête.
J'ai déposé alors de nouveau, le 20/06/2011, chez ICCJ
la plainte pour la non-cercetare dans le dossier 75/P/Ioan Rosca [40]. L'affaire 5170/1/11 qui
s'est ouvert a été traitée comme les autres, ce qui prouve que la couverture des crimes du pouvezi, qui a
annulé mes efforts, este méthodique.
J'ai signalé dans une note, au terme de
l'audience du 07/10/11 [41] le mode dans lequel la cause avait été traitée dans l'affaire no. 10636/1/10 et que j'exige
que le dossier de l'enquête criminelle contesté par moi, arrive à
la Cour! Comprenant qu'il ne sera pas trouvé, pour nier à nouveau ma
qualité processuelle, je suis entré en
contact avec Theodor Maries (co-réclamant dans 75/P/98) [12]. Celui-ci,
après de grèves de la faim prolongées à l'extrême a réussi d'obtenir le droit de copier une
partie des dossiers, y compris le volume 168 [6] (une partie du dossier
"Ioan Rosca", ne portant que sur Piatra Neamt- 1990"). De façon
qu'à l'audience de 05/12/2011,
j'ai signalé aux juges [42], qui n'avaient encore pas reçu le dossier d'instruction criminelle, que j'ai
trouvé une partie de celui-ci, que j'ai déposée le lendemain [6], accompagnée
des procès-verbaux de remise [3] des documents vers le procureur
militaire Dan Voinea, qui avait fait l'enquête et qui était disposé à faire un raport
écrit pour le procès (les témoins n'étant pas acceptées) - similaire
à la déclaration annexée ici [47].
Dans la note explicative envoyée pour l'audience de
13/02/12 [43], j'ai signalé le contenu de mon dossier d'enquête pénale,
déposé par moi le 06.12.11 [6] et j'ai
expliqué qu'il était caché par le parquet, pour ne pas révéler les vrais
intimés de ma requête de 2005 (les chefs de l'état en 1990 - qui
n'avaient pas encore été cités, sous le prétexte de la confusion entre les
dossiers). cînd on a vu que je mets en
évidence les jeux des criminels juridiques, ce procès a été aussi
arrêté brusquement et abusivement
[44] -pour que ma voix ne soit plus entendue dans les couloirs de la
Justice roumaine, accusée de complicité. Et cela, en mon absence à
l'audience de 13/02/12, annoncée
à temps et motivée par la force majeure (j'ai été bloqué par un
enneigement qui a paralysé
officiellement les trains à travers le pays) avant que les vrais intimés
soit cités! La décision étant
définitive, sans appel, et jusqu'à jour non motivée, de sorte que je
sois obligé, si je ne renonce pas, a
soumettre cette requête à CEDH, pour m'encadrer dans le délais
prévu, sans connaître la motivation, que d'ailleurs je n'ai pas des raisons
pour prendre trop au sérieux…
Heureusement, les crimes juridiques laissent des traces.
J'ai investi beaucoup de temps pour prouver la mauvaise foi de la Justice
post-décembriste: méthodique, omniprésente, inexplicable par des attitudes
accidentelles et autonomes. Trop d'équipes d'enquête et de jugement,
"n'ont pas réussi" à comprendre quoi que ce soit de
l'affaire du génocide communiste, pour qu'il ne s'agisse pas d'un complot
visant à couvrir les coupables initiaux et les complices qui les ont protégés, au plus haut niveau de
l'Etat.
Il suffit de comparer les deux documents traduits par
moi: Nos conclusions, déposés le 13/05/12 [37] et la Sentence pénale 222 / F
[38] qui a répondu à ces
conclusions... en les négligeant entièrement! Après que la ICCJ a
fermé le procès-frère no.16536 - sans aucune raison, a reporté le
débat dans l'affaire no.16535 parce' que "les dossiers étaient
introuvables", pour décliner ensuite la cause vers la Cour d'Appel au
moment ou je les ai trouvés cachés dans mon dossier archivé et après que
la cour qui a repris le procès m'a permis de présenter seulement des
Conclusions écrites, fermant les débats au premier terme de l'audience... la
décision ne fait absolument aucune
référence à ces Conclusions, l'unique parole admise aux demandeurs, ni aux 49 volumes de la cercetare,
que les Conclusions expliquent, synthétiquement mais solidement. On évite
même la citation de nos chefs de plainte, pour qu'on ne voie pas qui et
pourquoi était intimé par le chef B…. La
sentence répète presque intégralement la décision du procuratura dont on
avait demandé l'annulation et adhère sans distance critique aux
arguments que nous avions combattus rigoureusement, sans faire aucune référence à nos
observations et à nos preuves ou aux vices des conclusions du
procuratura civil (qui négligent le travail du procuratura militaire), éludant
les vrais chefs des plaintes initiales. Notez la technique éhontée utilisée
pour cacher le sabotage judiciaire: passer sous silence tout ce qui ne te
permet pas de décider conformément aux ordres occultes.
Trouvez quelque part dans la sentence 222 [38] une seule
mention sur le fait que la cercetare réclamée a été provoquée par des dizaines
de plaintes solidaires (même sous la forme du texte commun des
requêtes, soutenu par des listes de signatures!) suivies de déclarations
individuelles de partie lésée… Pourtant, les volumes 1 à 3,7, 9, 20-24
sont remplis de ces co-plaintes, en commençant par celles de Ioan Rosca et
Cicerone Ionitoiu, qui ont ouvert le dossier commun. Et les conclusions,
montraient clairement cela, de la première phrase! L'instance cache
l'aspect crucial de la solidarité entre les victimes co-réclamantes pour faire
une honteuse supercherie: on ne tient pas compte que de la situation de
Cicerone Ionitoiu, qui n'a pas individuellement porté plainte entre 1976 et
2006, mais sans compter les milliers des collègues qui se sont plaints
dans cet intervalle sans effet! Si la prescription a couru depuis 1990 et si le
procuratura était obligé de prendre des mesures, compte tenu de l'importance et
l'ampleur énorme des crimes... comment peut-on expliquer que personne n'a pas
été condamné, aucun demandeur satisfait, aucun crime punit, sur les millions
commis? Faut-il une autre preuve que la raison pour laquelle la prescription ne
se met pas en marche s'est prolongé aussi après 1990? Et ce n'était pas
ça le chef B de la plainte? La court n'a
même pas mentionné les co-réclamants dans 35/P/06 qui avaient déposé
des plaintes pénales entre 1989 et 2005, interrompant la prescription,
parce' qu'ils ont été traités avec des NUP ou des verdicts abusifs, illustrant
les raisons de la continuation de la suspension.
On ne dit pas un mot sur l'affaire pénale 430/P/90
ouverte par moi (co-initiateur de la cercetare et représentant de M. Ionitoiu
au procès) et fermée en 1994 [17], bien que l'affaire a été rouverte
[25a] et placée dans le vol 49 de la cercetare courante- fait fondamental, bien
expliqué dans les Conclusions. Pas un mot, ni sur les procès bloqués
(comme celle de Craciun, exposé dans le vol 4) tentés par d'autres
co-plaignants, comme Gh Jijie et Constantin Iulian (décédées entre temps), aspect aussi mis en évidence dans les
Conclusions négligées.
Trouvez-vous quelque part dans la sentence toute référence aux preuves présentées par
nous concernant la prolongation du
génocide après 1964 sous de nouvelles formes, ou tout au moins au cas
significatifs décrits dans les déclarations des co-plaignants Ionitoiu C., G.
Caraza, I. Bugan, V.Paraschiv, G. Vatamaniuc, etc? La Court a évité
complètement le sujet, lui aussi souligné clairement dans les
Conclusions, pour pouvezi faire le Hocus- Pocus du génocide évaporé. Elle
répète dans la langue de bois de la complicité, que seulement en 1969
ont signé, les criminels accusés par nous, les conventions internationales, et
qu'ils avaient cessé leur activité répressive en 1964 (aberration qui élude
toutes les preuves du contraire, mentionnée dans les Conclusions) et que, bien
qu'en 1969 s'étaient écoulés seulement cinq années depuis la prétendue
cessation du génocide (donc il n'a pas eu le temps de se prescrire) et il ne
pouvait pas être puni jusqu'à 1989, il devient prescrit en 2005
(quelle précision…! ) malgré toutes les cercetares et les procès bloqués
jusqu'aujourd'hui….Une telle instance ne
pouvait même pas contredire (pour ne
pas en parler) notre observation (exposée dans les Conclusions) que le génocide
et les crimes connexes ont continué après 1989 aussi sous la forme de la
main mise sur les biens que l'état communiste avait pris des victimes et sur la forme de l'oppression de ceux qui
demandaient la punition des coupables (comme c'était mon cas, brièvement
exposé dans les plaintes initiales [1.21], richement documenté dans les volumes
"perdus" par le parquet, comme v.168 [6]?
Quant aux questions "On a eu, ou non, un génocide en
Roumanie?" ou "A-t-on puni les responsables, après 1990?"
... ni cette Cour n'ose pas donner une réponse, même négative, faisant
appel à des médiocres artifices rhétoriques pour obstruer la justice,
sans en assommer la responsabilité.
15 Je me considère
victime de la violation des dispositions
de l'article 6.1 de la CEDH et subsidiairement des articles: 13, 14 et
17
15.1 Au sujet de l'article
17, je soutiens, appuyé par des preuves, que la violation du droit des victimes du communisme à
la justice post-communiste a été orchestrée par tous les leviers
de l'état usurpé par les complices de ceux qui auraient dû être condamnés
15.2 Relatif à
l'article 14, je souligne que
la situation qui a conduit à
ma discrimination este mon appartenance
à la catégorie de ceux qui ont demandé, à partir de 1990, la punition des
coupables pour les crimes du
communisme, une catégorie justicière traitée
d'abord de façon répressive puis, par totale
déconsidération juridique.
15.3 La violation flagrante de
l'article 13, s'est manifesté par le déni du droit de me plaindre en justice
sur la façon de laquelle j'ai été traité par le parquet, en tant que partie
endommagée par les régimes communiste et post-communiste, portant plainte dans les dossiers 35/P/06 et 75/P/98.
15.4 En ce que concerne
l'article 6.1, je montre que les
abus contre mes droits ont
atteint le fond et la forme des
actes juridiques. Aucun de mes revendications, arguments,
explications, preuves, qui m'ont
coûté tellement d'efforts, n'a pas été retenu, commenté
ou, au moins, contredit avec pertinence. Tout ce que les
diverses officines de la "justice" on
fait a été de rejeter en bloc, de
manière apriorique, irrespectueuse,
ma plaidoirie pour la réhabilitation du droit, sans vouloir l'entendre
et sans scrupules procéduraux. Bien que
j'aie consacré tant d'années à la cercetare des éléments de support pour les enquêtes criminelles initiées par
mes plaintes (qui étaient plus que des simples dénonciations,
on ne m'a même pas communiqué
des conclusions, jusqu'à ce que
j'insiste avec des réclamations, obtenant des réponses
sans liens avec mon dossier de partie lésée. Mes dossiers ont
été cachés à la court pour
qu'elle me refuse le statut de victime
réclamante, sans étudier une seule page de la poursuite pénale réclamée. Jeté hors du tribunal, sans respect pour mon droit
à la justice et celui de la justice à la
réhabilitation, je n'ai même pas eu droit à une voie d'attaque.
15.5 Je souligne les circonstances
aggravantes:
a. Mes actions ont été
personnelles, mais faites par solidarité avec les victimes d'un génocide démesuré et prolongé, qui se sont
heurtés d'un déni de justice continu, prémédité et irréparable. Face à ces personnes, que j'ai représentées comme porte-parole du CRVC, ont été systématiquement violés les articles 2-11 de la Convention. Apres
avezi découvert les crimes des
usurpateurs des institutions,
je n'ai pas eu de choix moral, étant obligé de négliger mes intérêts personnels, pour dénoncer
un crime qui met la société en grave danger et affaiblit la légitimité de l'état et du
droit.
b J'ai été traité
abusivement très longtemps, en
commençant par les représailles de 1990, pour les
démarches en justice annihilées en 1994 avec le NUP dans le dossier 430/P/1990,
sous le prétexte de la prescription jusqu'en
1990). Et en
terminant par les dernières décisions de 2011/2,
qui prétendent que des plaintes comme la mienne n'ont pas était
déposées après 1990, pour re-prescrire les crimes... Le sabotage de mes tentatives légitimes de réparer des dommages produits aux victimes m'a causé de
grandes pertes
c. Le déni de mon droit à la justice a pris une forme radicale, qui entraîne
la responsabilité délictuelle: la disparition des dossiers des enquêtes criminelles initiées
par moi, que j'ai essayé de
réclamer devant le tribunal, qui a nié ma qualité
processuele… sur la base de cette disparition
16. Décision interne
définitive (date et nature de la décision, organe - judiciaire ou autre –
l’ayant rendue)
16.1 Sentence
pénale 181 de 13.02.12, dans 5170/1/2011, de l’ICCJ (Haute Court de Cassation
et Justice) n'étant pas encore motivée, je dispose du certificat de
12.03.12 [44]
16.2 Sentence
pénale 325 de 25.02.11, dans le dossier 10636/1/2010, de la ICCJ, certificat le
03.03.11 et motivation avec grand
retard [32]
16.3 Sentence
pénale 222/F de 29.05.12, dossier 3095/2/2012, Cour d'appel
Bucuresti (par renvois du dossier10635/1/2010-ICCJ), la minute étant motivée
avec retard [38]
17. Autres décisions (énumérées dans l'ordre chronologique en indiquant, pour
chaque décision, sa date, sa nature et l’organe - judiciaire ou autre – l’ayant
rendue)
17.1 Rezoluþia
Cutea de NUP, dossier 430/P/1990, 8.10.93, procuratura militaire Bacau [17a]
17.2 Rezoluþia
Voinea de rouvrire, 430/P/1990, 22.03.07, procuratura ICCJ- militaire [25a]
17.3 Rezoluþia
Voinea, connexion 35/P/06, 68/P/06, 82/P/06, 9.10.07, procuratura ICCJ-militaire [25b]
17.4 Ordonnance
Levanovici- renvoi vers SUPC, 82/P/06, 31.07.08, procuratura ICCJ-militaire [25c]
17.5 Ordonnance
Molcut 1304/P/08 -renvoi vers DIICOT, 82/P/08, 24.11.08 pa.ICCJ- SUPC [25f]
17.6 Ordonn.
Stoica 328/P/D/08- NUP, renvoi SUPC, 1304/P/08, 20.01.09, pa.ICCJ-DIICOT [25g]
17.7 Ordonn.
Molcut-NUP, disjonctions, renvoi, 1304/P/2008, 29.09.10, procuratura ICCJ -SUPC [26]
17.8 Rezoluþia
Iacob, rejet plainte Rosca/Ionitoiu, 1304/P, 3.12.10, procuratura ICCJ-SUPC [28]
17.9
Communication de la rezoluþia 17.06.09, 175/P/2008, 10.03.11, procuratura ICCJ-SUPC [9a]
17.10 Rezoluþia
Iacob 1251/II/2/2011, rejet plainte Rosca, 20.05.11, procuratura ICCJ-SUPC [11]
17.11 Sentence
pénale 1368, renvoi Court d'Appel, 10635/1/2010, 08.09.11, ICCJ [36]
18. Dispos(i)ez-vous
d’un recours que vous n'avez pas exercé? Si oui, lequel et pour quel
motif n’a-t-il pas été exercé?
Les sentences de 16. ont été
déclarées définitives, sans voies de
recours. J'ai essayé de revenir
la sur la chaîne: plainte au procuratura / plainte en justice, profitant du
fait qu'on n'a pas répondu aux
chefs des requêtes, ou
que nous étions plusieurs co-réclamants dans
le même dossier. Mais la justice n'a pas pris en
compte ces plaintes, indifféremment de leur nombre et de
leur pertinence.
19.1.
Constatation. Je sollicite d'abord à
l'honorable Cour de constater que j'ai
souffert une violation majeure de
l'article 6.1 et des articles 13, 14, 17 de
la CEDH, en essayant de défendre le
droit à la justice des nombreuses victimes,
dont on a violé les droits garantis par les articles 2-11.
Demandez explicitement à l'État roumain de corriger les anomalies du traitement des enquêtes criminelles
majeures qui j'ai contesté, dans des
procès inacceptables. Qu'il
reconnaisse qu'en
Europe, le génocide este imprescriptible
et les crimes de ne doivent pas être
prescrits, sans tenir compte de: continuité,
suspension, interruption, prolongation dolosive
des cercetares.
J'espère éveiller la résonance
de la condition humaine en péril. Agissez
rapidement, peut-être vous trouverez encore
des victimes vivantes, qui attendent
depuis de décennies que justice soit faite.
Il n'est pas essentiel que je reçoive les indemnités
réclamées ci-dessous, mais je vous conjure de ne
pas laisser une monumentale saleté juridique sous un tapis international!
19.2 Réparation. Conformément
à l'article 41 de la Convention,
je sollicite l'obligation de l'état roumain de payer des dommages moraux et matériels d'un montant de 500.000 euros pour les souffrances et les pertes causées au soussigné, par ce que j'ai essayé de combattre l'injustice:
a Le temps et l'énergie
gaspillés dans l'intérêt public, pour la cause
juste de la dénonciation d'un génocide et du déverrouillage
de la justice, affrontant les obstacles
hissés par ceux qui occupent les organismes de l'État roumain, qui se sont avérées imbattables,
malgré mes efforts répartis sur deux décennies. Les
dépenses pour la documentation, la
cercetare, les démarches en justice, la propagation de la vérité. Les pertes
causées par l'interruption entre
1990 et 1992 de ma profession (ingénieur
et mathématicien). Le coût de l'exile, entre 1992 et 2005, pour
continuer les efforts justiciers. Coût
de l’interruption de carrière (de
chercheur et architecte de systèmes télé- informationnels) entre 2005 et 2012
et de l'abandon du domicile au Canada.
b Dérision,
insultes, humiliations, pressions, menaces,
agressions, et stress- auxquels j'ai été exposé. Affaissement de la foi dans
la légitimité du droit, l'équité de la
justice, la solidarité internationale, et la dignité humaine- contre-dites brutalement par la réalité de la complicité générale
pour la protection des responsables des crimes du régime
communiste, continué par le post-communisme. L'épreuve dévastatrice du contact solidaire avec les victimes du régime communiste,
forcés de mourir sans consolation, de
1990 jusqu'aujourd'hui.
19.3 Sens. La constatation que
les Romains ne sont pas aidés de l'extérieur,
affin de libérer l'appareil judiciaire (occupé par les complices de ceux qui les ont détruit tant de décennies)
- me déprimerai irréparablement. Ai-je
passé 22 ans à défendre une
justice illusoire? Ne peut-on pas réparer le droit à posteriori, en sanctionnant de façon exemplaire l'usurpation d'un Etat? Les descendants des Alliés
peuvent-ils reconnaître la façon de laquelle se termine la 2ème guerre
mondiale?
Je ne suis pas un chasseur de compensations. Je n'ai rien gagné de mon implication,
au contraire, j'ai dépensé toutes mes économies (et je ne suis pas un homme riche) pour pouvezi les entreprendre.
Je n'ai pas accepté d'être payé,
ni même pour les nombreux textes
explicatifs que j'ai mis à la disposition du
public. Il semble donc incongru de conclure mon activité avec prétentions pécuniaires. Ma démarche
après de vous n'est pas le signe que je renonce à mes principes pour mercantiliser
l'action, mais un cri de
colère face à sa stérilité. Les pénalités pourraient être utilisées pour compléter et publier mes cercetare boycottées ou pour aider les victimes des abus en
justice, développant le réseau de solidarité justicière envisagé par l'asociaþia CIVES, que je
conduits [46].
Je vous invite, à
travers le dédommagement-accordé à quelqu'un
comme moi, de contredire le sens d'une
Histoire qui s'est moqué de mon
peuple, des nobles aspirations de
mon espèce et des efforts pour
mettre en lumière des
vérités géostratégique accablants.
20. Avez-vous soumis à une autre instance
internationale d’enquête ou de règlement les griefs énoncés dans
la présente requête? Si oui, fournir des indications détaillées à
ce sujet.
Je n'ai pas encore porté une
autre plainte. Au cours de l'enquête
criminelle ICCJ, j'ai étudié avec
les procureurs la possibilité de recourir au tribunal pénal de Hague. Je me limite
aujourd'hui à cette démarche, en espérant, que vous considériez que la
violation flagrante de mes droits individuels a été
générée par mon implication à la défense de
droits collectifs.
On m'a fermé au nez la porte de la justice, pour ne pas laisser y entrer
la mer des victimes que le régime criminel a fait entre 1944 et 2012.
(cu note explicative, completînd declaraþia mea)
21.1) Plîngerea iniþialã
parchet din 26.04.2005
a. Plîngere depusã la parchetul militar de pe lîngã ICCJ
26.04.05
document: ataºatã, pusã în [6] -
volumul 168 din dosarul 75/P/1998, fila
294
explicaþie: Dupã sosirea mea de
Montreal ºi prima întîlnire cu generalul Dan Voinea [47], am depus aceastã
plîngere penalã, care reclamã represiunea pe care am suferit-o pe tot parcursul
anului 1990 (ºi nelegiuirile din anii urmãtori),
operate de cãtre conducãtorii FSN-ului,
pentru cã militam pentru pedepsirea criminalilor ºi rãsturrnarea
succesorilor lor, rãmaºi putere. Am precizat aici numele principalilor vinovaþi
ºi am semnalat metodele utilizate pentru manipularea / instigarea criminalã a
populaþiei, încheind plîngerea cu mijloacele de probã pe care propuneam.
Aceastã plîngere, ca ºi cea din 27.4.2005 [2] ºi din 06.05.2006 [4], care au lansat dosarul
" Ioan Roºca" au fost integrate în dosarul 75/P/1998 al procuraturii,
pentru cã era vorba de episoade diferite ale aceluiaºi proces criminal, care
poate fi numit "feseniada", deoarece a fost organizat de Frontul
Salvãrii Naþionale (FSN), care a preluat puterea 22 decembrie 1989 în numele
revoluþiei anti-comuniste, pentru a o deturna, operînd o adevãratã
contrarevoluþie. Cum scopul principal al acþiunii feseniste a fost protecþia
responsabililor pentru genocidul comis
între 1944 ºi 1989, dosarul "Ioan
Roºca", ar fi trebuit inclus, de asemenea, în dosarul 35/P/2006, aceastã
replicare fiind solicitatã de mine în scris [23]. Dar acest lucru putea
reprezenta riscul de a observa cã cei 15 de ani de protecþie prin prescriptia
invocatã ... nu trecuserã încã 26.04.05-
ceea ce probabil, a forþat rãtãcirea
reclamaþiilor iniþiale pe care procuratura ul nu le-a tratat cu adevãrat
niciodatã.
b. Declaraþie
publicã din 05.05.05
contenu: ataºatã, http://www.piatauniversitatii.com/ico/p2005/docs/declaratie.htm
explicaþie: Am difuzat pe Internet aceastã declaraþie
publicã asupra demersului meu penal (pe
care nici un ziar nu a vrut sã-l publice ºi nici o televiziune sã-l transmitã),
în care am explicat motivele justiþiare pentru care mi-am pãrãsit domiciliul
din Canada ºi am fãcut apel cãtre celelalte
victime ale represiunii din 1990, din diferite oraºe, care au trãit alte
episoade ale "feseniadei", sã depunã plîngeri ºi mãrturii, pentru
susþinerea anchetei de la Parchetul militair. Este o bunã introducere
explicativã a cazului meu.
document: plasat în [6] – f. 200-294
explicaþie: Am complété plîngera din
26.04.2005 [1] cu declaraþia de martor din
27.05.2005, care a constat într-o mãrturie publicatã pe Internet en
1994, cu privire la evenimentele la care
am asistat între 1 martie ºi 20 mai 1990: constituirea asociaþiei "Dialog
Piatra Neamt", activitãþile civice explicative pentru combaterea
manipulãrii din media, susþinerea lustraþiei enunþatã la punctul 8 al
Proclamaþiei de la Timiºoara, susþinerea
unei opoziþii coerente faþã de FSN-
care acaparase puterea, sprijinirea manifestaþiei din Piaþa Universitãþii,
greva foamei din 1-5 mai – reprimatã violent, retragerea din
"alegeri" ºi denunþarea lor, participarea la manifestaþiade Bucureºti
, proteste contra represiunii, etc.).
Dosarul de 75 de pagini depus la 27.04.05 a fost plasat în lucrarea 75/P/98, în volumul 168 -
foile 220-294.
Pe lîngã le récit de 1994, tel que semnalat în declaraþia din
27.04, am depus la sfîrºit cîteva articole care arãtau reacþia mea faþã de
represiunea din 13-15 iunie, pe care am denunþat-o ca l'écrasement zdrobire
a miºcãrii noastre de cãtre contrarevoluþie.
Integrarea acestei mãrturii în
lucrarea 75/P/1998 este normalã, fiind vorba de participarea mea la manifestaþiile anti-FSN din 1990, care au dus
la deznodãmîntul din 13-15 iunie.
Aceastã plîngere nu se
regãseºte în lucrarea 35/P/2006 – cum ar fi fost cazul.
Capitolele du récit /exposé au oferit parchetului posibilitatea sa înþeleagã
motivaþia manifestanþilor:
a. "Comemorare"
document: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/comemorare.htm
explicaþie: Explicã scopul acestui récit /exposé, difuzat pe 13.06.1994 sur
Internet (în grupul news soc.culture.romanian): demascarea contrarevoluþiei FSN
b. "Pentru început, un epilog"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_1.htm
explicaþie: Comunicatul nostru din
20.06.90, care anunþat o greva de conºtiinþã civicã pe duratã nedeterminatã, pentru contestarea
regimului instalat prin deturnarea revoluþiei, manipularea populaþiei, farsa
electoralã ºi zdrobirea adevãraþilor opozanþi anticomuniºti.
c. "Piatra Neamt: martie/aprilie
1990- 1";
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_2.htm
explicaþie: Constituirea asociaþiei
"Dialog- Piatra Neamt". Climatul în acest oraº lãsat a la merci informatorilor Securitãþii, de
cãtre media monopolizatã de cãtre puterea contrarevoluþionarã ºi
activiºtii FSN.
(d. "Piatra Neamt: martie / aprilie
1990 - 2"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_3.htm
explicaþie: Dintr-o eroare, în momentul
imprimãrii materialului pentru procuraturã, aceastã parte de récit publicatã pe Internet nu a fost
depusã la dosar pe 27.04. Ea descrie activitatea civicã a asociaþiei "Dialog Piatra Neamt",
în special pentru susþinerea lustraþiei prevãzute de punctul 8 al Proclamaþiei
de la Timisoara ºi pentru ajutorul
partidelo de opoziþie paralizate de teroarea electoralã a FSNului)
e. "Bucureºti : 27 aprilie
1990"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_4.htm
explicaþie: Prima participare la mitingul
din Piaþa Universitãþii ºi la reuniunea
Grupului de Dialog Social Bucuresti – pe care l-am convins sã se declare
disponibil ca mediator a unui dialog
intre manifestanþi ºi puterea
contestatã
f. "Timisoara: 28/9 aprilie 1990"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_5.htm
explicaþie: Participarea la primul congres al forþelor
anticomuniste, pentru fondarea Alianþei Naþionale pentru Proclamaþia de la
Timisoara (ANPT) ºi contestarea candidaturii lui Ion Iliescu ºi a altor
nomenclaturisti ca el
g. "Bucureºti 30 aprilie
1990"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_6.htm
explicaþie: Situaþia în regiunile
neeliberate de puterea comunistã, precum Moldova (restée din România), prrezentatã din balcoanele
din Pieþa Operei - Timisoara ºi Piaþa Universitãþii- Bucureºti
h. "Piatra Neamt: 1-3 mai 1990"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_7.htm
explicaþie: Relatare a modului în
care a fost organizatã de cãtre mine
ºi de reprimatã de cãtre populaþie
(instigatã de agenþii FSN) greva foamei din 1-3 mai de la Piatra Neamt, care a
demonstrat inadmisibilitatea condiþiilor create pentru activitatea politicã
i. "Bucureºti: 3-4 mai 1990"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_8.htm
explicaþie: Mãrturie despre deplasarea noastrã de la Piatra Neamt
la Bucureºti, pentru a putea continua
greva publicã a foamei, alãturi de alþi protestatari din Piaþa Universitãþii;
am declarat acolo contestarea alegerilor prevãzute pentru 20 mai, cerând lumii
libere azil politic pentru greviºtii
foamei din Piatra Neamt
j. "Piatra Neamt - 5 mai 1990"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_9.htm
explicaþie: Retur la Piatra Neamt pentru
continuarea grevei publice a foamei ºi pentru a prezenta oamenilor mãrturiile
cîtorva revoluþionari din Timisoara – veniþi cu noi. Stupefacþia delegaþiei din Timisoara faþã de violenþa
contrarevoluþionnarã cu care populaþia instigatã din Piatra Neamt a înãbuºit
încã o datã acþiunea noastrã.
k. "Bucureºti : 6 -19 mai 1990.
Raportul cu puterea"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_10.htm
explicaþie: Participarea mea la
pregãtirea des
pourparlers între manifestanþii anti-FSN ºi Consiliul
Provizoriu de Unitate Naþionalã- CPUN, dialog sabotat de cãtre puterea criptocomunistã, care întreþinea o imagine
monstruoasã despre manifestanþi, pentru
a pregãti zdrobirea lor de cãtre mulþime
l. "Bucureºti : 6-19 mai 1990.
Piaþa ºi reprezentanþii ei"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_11.htm
explicaþie: Observaþii privind poziþiile
asociaþiilor implicate în manifestaþie, care n-au înþeles-o pe cea a asociaþiei
Dialog Piatra Neamt – singura implicatã în protestele venite din Moldova,
lãsatã a la merci / cheremul propagandei Frontului.
m. "Bucureºti : 6-19 mai 1990.
Rãzboiul informaþional"
document: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_12.htm
explicaþie: Tehnicile (instrumentele) utilizate de cãtre
FSN pentru instigarea populaþiei dezinformate contra manifestanþlor anticomuniºti: presã,
televiziune, informatori acoperiþi.
n. "Bucureºti : 6-19 mai 1990. Manifestele
"Golaniei" ("la Friponie")
document :
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_13.htm
explicaþie: Acest ciclu de 10 manifeste, conceput
de mine ºi prezentat în fiecare zi din balconul Universitãþii, multiplicate în
mii de exemplare, difuzate de cãtre membrii asociaþiei mele - a constituit unul
din programele politice ale manifestaþiei.
o. "Bucureºti : 6-19 mai 1990.
Implicarea intelectualilor– 1"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_14.htm
explicaþie: Atitudinea ambiguã, laºã ºi
ipocritã a intelectulilor care pretindeau a susþine aspiraþiile manifestanþilor, monopolizau presa opozantã, dãdeau interviuri
presei strãine, dar au evitat sã se
implice frontal, pentru protejarea
contestatarilor care se expuneau represiunii FSNului.
p. "Bucureºti : 6-19 mai 1990. Implicarea
intelectualilor - 2"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_15.htm
explicaþie: Continuarea analizei
prestaþiei civice a "personalitãþilor" culturale pe care i-am
provocat în mod insistent sã intervinã în manifestaþie, pentru ridicarea
nivelului sãu ºi ameliorerea organizãrii sale.
q. "Bucureºti : 6-19 mai 1990.
Triunghiul manifestaþie-partide-alegeri - 1"
document: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_16.htm
explicaþie: Exposé / Descriere a
eforturilor mele pentru a convinge
opoziþia de a nu legitima farsa electoralã, participînd la "alegeri"
în care responsabilii pentru crimele regimului comunist, regroupqþi în FSN, beneficiau de închiderea arhivelor,
sprijin din partea presei aservite ºi a televiziunii monopolizate, de
activitatea agenþilor poliþiei secrete, de înfricoºarea opoziþiei brutalizate în timpul unei campanii
dirijate de cãtre FSN- pentru renunþarea la aplicarea punctului 8 (lustraþia).
r. "Bucureºti : 6-19 mai 1990. Triangle
manifestanþi-partide-alegeri - 2"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_17.htm
explicaþie: Continuarea expunerii trãdãrii
revoluþiei anticomuniste care murea în
stradã, de cãtre ºefii partidelor
politice: mediocri, intimidaþi, sau vînduþi ºi chiar de cãtre manifestanþi dezorientaþi. Situaþie
intolerabilã care m-a determinat sã-mi retrag asociaþia din manifestaþia din
Bucureºti, pe 19 mai 1990, pentru a marca contestarea radicalã a alegerilor
inacceptabile care urmau sã aibã (ºi din nefericire au avut) loc a doua zi.
s. "Piatra Neamt: 20 mai.
Epilog"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_18.htm
explicaþie: Situaþia constatatã la 20 mai, cu
ocazia controlului mai multor centre de vot din judeþul Neamt, care a
demonstrat justeþea punerilor mele în gardã. Dans le pays profond, departe de Bucureºti, programmé de cãtre televiziune ºi
securiºti, FSNul avea controlul urnelor ºi al conºtiinþelor.
t. Comunicat Dialog Piatra Neamt, publicat pe 29.07.90
document: ([6] vol 168, f 290-291, ºi f 102- vezi ºi
[4.i])
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/interv29iuliedreptatea.htm
;
explicaþie:
Intervenþiile mele explicative de protest contra represiunii demonstranþilor
anti-FSN, atât de tranºante încît ziarele au ezitat sã le publice sau au
fãcut-o cu o mare întîrziere - precum Dreptatea, pe 29 iulie. Acest text este integrat în
relatarea 2b.
u. Comunicat Dialog,
publicat pe 7.09 - 1990
document: ([6] vol 168, f 292 ºi f 105 – vezi ºi [4.i])
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/comunicatsolidarizaredrept7sept.htm
explicaþie:
Comunicatul din 7 septembrie, declara solidaritatea noastrã cu cei ce încercau
sã reaprindã contestaþia în stradã,
depãºind intimidarea.
v. Comunicat Dialog
publicat pe 8.08.90
document: ([6] vol 168, f 290-293 ºi f103- vezi ºi [4.i]))
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/apeldinmoldova8august.htm;
explicaþie: Pe
8 august, un nou "Apel din Moldova" scotea în evidenþã condiþia
noastrã de prizonieri într-un stat capturat de cãtre usurpatori sîngeroºi ce au
uzurpat puterea prin furtul revoluþiei ºi fraudã electoralã.
w Copie a plîngerii din 26.04.90
document: (vol 168, f 294)
explicaþie: Copia plîngerii iniþiale [1]
în volumul 168 al dosarului 75/P,
demonstreazã cã este vorba aici despre completarea mãrturiei reclamantului din 26.04.2005.
document: disponibile
explicaþie: Considerînd participarea mea ca ºef al
unei dintre asociaþiile implicate în protestele maraton din Piaþa
Universitãþii, ºi –pe de altã parte- observaþiile mele asupra unitãþii fenomenului
"feseniadei" la nivel naþional, M. Voinea a integrat dosarul meu în
lucrarea 75/P/1997, cu speranþa cã reclamanþi din alte oraºe, care au suferit
agresiuni similare, din partea trupelor de presiune FSN, vor adãuga mãrturiile
lor în cauzã, pentru a pune în evidenþã adevãrata esenþã a problemei, ce se
încerca a fi redusã la evenimentele din Bucureºti, din 13-15 iunie.
În scopul susþinerii
investigaþiei în marele dosar
75/P, revelînd sensul evenimentelor din
1990, instigarea mediaticã ºi acþiunile antidemocratice ale FSNului, am depus,
începând cu aprilie 2005 (cu procese-verbale, cîteva regãsite: 29.04-40 file,
3.05-166 file, 5.05-128 file, 9.05-21+28 file, 10.05-144 file, 11.05-101 file,
16.05-78 file, 17.05- 22+82 file, 23.05-95+82+56 file), o serie de revues média extrase dintr-un jurnal al dr. în istoire, Livia Dandara
ºi selecþii de articole de presã pertinente din 1990, organizate de cãtre ea.
Am continuat activitatea de cercetare documentarã, în urma cãreea am trimis
prin email sinteze privind aspecte
importante pentru anchetã.
Acest material ar fi trebuit sã fie prezent în
volumele lucrãrii 75/P, tel que déclaré / aºa cum a declarat domnul Voinea [47], dar nu am gãsit
decît cîteva fragmente în vol. 168, restul acestei documentaþii cruciale pentru
dirijarea cercetãrii cãtre adevãratele fenomene ºi adevãraþii vinovaþi,
evaporându-se, se pare….
a. Jurnale de martor media (radio-TV)–
1990, de Livia Dandara
document: disponibil, un mic fragment care se
gãseºte la f 201-206 vol. 168 este ataºat
contenu (complet):
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/cdandara/agende/
explicaþie: Aceastã revistã a emisiunilor din 1990 ale
televiziunii naþionale (post unic- în aceste
momente cruciale, condus de Razvan Theodorescu ) ºi de radio, aratã cum
populaþia a fost dezinformatã ºi
incitatã la zdrobirea forþelor de contestaþie anticomunistã, de cãtre FSN.
materialul a fost utilizat de cãtre
procurori pentru a înþelege cadrul
istoric al evenimentelor ºi pentru a
orienta investigaþiile cãtre fenomenele de fond. Nu am gãsit decît un singur
fragment , (în jurnalul 2, zilele 29-30 ianuarie) în volumul 168, care poate sã dea o idee
asupra utilitãþii acestei lucrãri pentru anchetã, deci a faptului cã pierderea
sa accidentalã nu este plauzibilã.
b. Mii de articole de presã din 1990
document: disponibile, copiile depuse la procuraturã nemaigãsindu-se în volumele 75/P
contenu (parþial):
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/cdandara/ziare/
explicaþie: Selecþiile articolelor apãrute, zi de zi, în presa din 1990, pe care le-am gãsit,
organizat ºi depus cu eforturi mari (dar care….nu se mai gãsesc) sunt probe
directe ale manipulãrii instigatoare operate de cãtre ziariºti controlaþi de
cãtre FSN, care a condus la zdrobirea
opoziþiei de cãtre o populaþie dezinformatã continuu. Cele cîteva ziare libere
(care nu pãtrundeau în locuri precum oraºul în care încercam sã contrez
propaganda puterii) reflectã loviturile puternice primite de cãtre forþele
fidele revoluþiei anticomuniste. Aceste lovituri au condus în final la victoria
unei contrarevoluþii sîngeroase, care a divizat românii, împingîndu-i la
marginea unui rãzboi civil, înainte de a distruge þara pentru a permite
nomenclaturii de a se deroba de responsabilitãþile penale ºi a se îmbogãþi.
c. Sinteze cronologice ºi pe problematici
document: disponibil, un mic fragment ataºat - se gãseºte în vol
168 (file 2-10)
contenu: disponibil, douã sinteze (privind
provocãrile mediatice) ataºate
explicaþie: Dupã reorganizarea extrselor
de presse în 10 imense sinteze cronologice, am trecut la redactarea de sinteze
pe problematicã, asupra aspectelor de
interes prioritar pentru anchetã (organizarea de cãtre FSN, în toatã þara, de
trupe de asalt trimise la Bucureºti,
brutalitãþile commise la diverse date , în diverse oraºe, etc.). Am trimis la parrchet,
(procurorului Lupu, din equipa Voinea) un email introduisant aceste suporturi, oferite "pistelor de
cercetare": "Sunt pe cale sã organizez un bloc de
semnale documentar, bazat pe mai mult de
zece mii de articole din presa anului 1990 ºi din jurnalele TV-radio, etc. Pe baza
acesteia, voi compune ºi depune o sintezã - cadru. Pânã atunci, munca
mea fiind enormã ºi nevoile dvs. de informaþii probabil urgente, voi începe sã
vã trimitã blocuri de semnale,
utilizabile ca piste. Elemente interesante sunt evidenþiate cu caractere aldine. Comentariile mele în italice. Este specificatã sursa informaþiilor.
Sumarul iniþial reflectã
numele persoanelor - resurse potenþiale pentru
audiere. Voi încerca sã grupez semnalele
pe tematici. Veþi gãsi probabil
aici elemente ce vã sunt
cunoscute sau care nu vã intereseazã. Cel mai
bine ar fi dacã aþi
imprima textul
dîndu-l domnului general Voinea. Aºtept confirmarea dvs. Depun acelaºi text direct în e-mail ºi ataºat ca fiºier word. Ioan Rosca, 26
februarie". Singurul fragment al unei
asemenea sinteze (trimis prin email la 27.02.07) care se regãseºte în vol.168
[6] ºi care priveºte organizarea minerilor pentru agresiune – prouve à lui seul
l'utilité de ses contributions, pentru restabilirea adevãrului. Ataºez, ca un alt
exemplu, sinteza asupra manipulãrii prin presa fesenistã (o vastã colcþie de
extrase din ziare care a fost depusã de noi - vezi punctul b) ºi o altã
sintezã, asupra urmelor manipulãrilor
prin TV ºi sourse video (trimisã pe 26.02.07). Subiectul instigãrii mediatice,
pe care-l consider crucial, nu a fãcut încã obiectul cercetãrilor reclamate de
mine. Devine deci important de stabilit unde au
ajuns celelalte sinteze – piste de cercetare, pe care deciziile parchetului
par a le fi neglijat complet.
document:ataºat
contenu: proces verbal la fila 26- vol 168 [6]
explicaþie: Cu ocazia vizitei unei echipe
de procurori militari la Piatra Neamt, pentru anchetarea evenimentelor din
1990, în particular din 1-5 mai ºi 16 decembrie, am prezentat, prin acest
proces-verbal, alãturi de declaraþiile altor martori audiaþi în acea zi [6], o
declaraþie suplimentarã, în care am prezentat mésaventures trãite de membrii asociaþiei Dialog,
fondatã ºi dirijatã de mine, pentru a fi
manifestat public împotriva confiscãrii revoluþiei anticomuniste ºi pentru
procesul crimelor comunismului. Declaraþia a fost sprijinitã cu numeroase documente care se regãsesc în volumul 168 al
Parchetului ([6] - paginile 66 - 152) - dosar 75/P/1997. Nici aceastã plângere,
nici majoritatea documentelor ataºate, nu se regãseºte în lucrarea 35/P/2006 –
cum ar fi fost cazul.
a. Declaraþia mea ºi le bordereau des
documents
document:disponibil, vol 168 [6], filele 59-65
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2006-5
explicaþie: Aceastã declaraþie completeazã
pe celelalte douã depuse înainte ([1], [2]), acoperind astfel evenimentele din a doua parte a anului 1990
ºi explicînd conexiunea între toate episoadele luptei adepþii revoluþiei
anticomuniste ºi agenþii contrarevoluþiei FSN . Scopul acestei intervenþii era
sã atragã atenþia echipei Voinea cã evenimentele din Bucureºti dintre 13 ºi 15
iunie au fãcut parte dintr-o serie de situaþii similare care s-au produs în
toatã þara, tot timpul anului. Studiul cazului Piatra Neamt, era o ocazie
pentru a dirija ancheta cãtre esenþa fenomenelor, înþelegînd mobilurile
combatanþilor de cele douã pãrþi ale baricadei.
Era fundamental sã se ia notã cã în ciuda aparenþelor formale, c'est
protestatarii antiguvernamentali care au încercat sã reabiliteze
justiþia ºi statul de drept. Din pãcate, Contrarevoluþia FSN a reuºit sã
blocheze cale de emancipare a României.
Declaraþia din 6.05.05 a
fost sprijinitã de 75 documente,
descrise mai jos (semnalînd filele corespondente din volumul 168, lucrarea
75/P- vezi [6]).
b. Articole de presã - Piatra Neamt,
1989
documents:disponibile, vol 168, f66
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/dezintoxicarea.htm,
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/interventieclarificatoare.htm
explicaþie: Cele douã articole
(«Dezintoxicarea» ºi "Intervenþie clarificatoare") pe care le-am
publicat în ziarul local "Ceahlaul" în decembrie 1989, aratã poziþia
publicã pe care am luat-o faþã de emanaþia FSN încã de la început (amintesc cã
am demisionat din acest organism la 22 dec 1989, ora 20, constatînd cã este
condus de Iliescu- Roman- Brucan). Aceastã atitudine m-a costat pendant 1990 les coups contrarevoluþiei.
c. Actele de constituire a asociaþiei
"Dialog Piatra Neamt" -
document: disponibile, vol 168 f. 67-69
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/procverb_dialog_febr90.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/04c_sentinta_1990_inf_dialog_1.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/04c_sentinta_1990_inf_dialog_2.jpg
explicaþie: Dezamãgit de poziþia Grupului
pentru Dialog Social din Bucureºti (ºi, în general, de intelectualii care au
evitat lupta cu FSNul criptocomunist), dupã ce am încercat sã lansez miºcarea "Alternativa '90"
ºi un partid "de renaºtere spiritualã", am fondat (la 27.02.1990) aceastã asociaþie
civicã, împreunã cu alþi cetãþeni din Piatra Neamt care vroiau sã reziste
contrarevoluþiei FSNului. Tot ceea ce am suferit din partea agenþilor FSNului a
fost partagé / împãrþit cu colegii mei ca
reprezentant al acestei asociaþii.
d. Revista proprie "ACUM" ºi
articole despre demonstraþiile în
sprijinul lutraþiei
document: disponibile, vol. 168 f.70-79
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/acum_nr0_1.jpg
www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/acum_nr0_2.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/16mecanisme.htm
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/realitatiscandate.htm
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/04d_dialog_pn_2.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/04d_dialog_pn_3.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/04e_dialog_pn_apr90.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/04e_represiuni_strin_semnaturi_pct.8.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/delegatie_dialog_pn_anp_timisoara.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/invitatie_dialog_pn_anp_timisoara.jpg
conþinut:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/dovada_politia_pn.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/petitie_pct8_timisoara.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/pct8_lectii_gratuite_mat_fizica.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/decl_protest_27apr90.jpg
explicaþie: Constatînd cã presa de
opoziþie nu poate sã pãtrundã în oraº, pentru a explica concetãþenilor noºtri
farse care îi orbea, am editat cu un gestetner aceastã revistã localã (f70-71),
pe care am lansat-o cu ocazia manifestaþiei din 25.03.1990 (discursul meu cu
aceastã ocazie, "16 mecanisme care frîneazã revoluþia"- fiind
ataºat la f 72 ºi relatãrile din presa localã ºi centralã - în filele urmãtoare). Activitãþile noastre
dedicate dezintoxicãrii informaþionale (au provocat o reacþie din ce în ce mai
agresivã, pe mãsurã ce manifestam în mod public - vezi f 77-79- adeziunea
noastrã la articolul 8 al Proclamaþiei de la Timisoara (cerînd lustraþie
electoralã) care ne-a condus cãtre
congresul ANPT.
e. Dovezi privind participarea la
alegeri ºi represiunea electoralã
document: disponibil, vol. 168 f.80-81;
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/candidatura_independent_retrasa.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/04g_dialog_pn_5.jpg
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/rosca_alegeri_1.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/rosca_alegeri_2.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/rosca_alegeri_3.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/rosca_alegeri_4.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/rosca_alegeri_5.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/rosca_alegeri_6.jpg
explicaþie: Constatînd cã partidele de
opoziþie anticomuniste sînt boicotate prin toate mijloacele, pentru a nu
putea participa la campania electoralã (de multe ori din cauza fricii), am încercat sã întãrim listele lor cu
independenþi din asociaþia noastrã – cea mai activã din judeþul Neamt în lupta
contra contrarevoluþiei. Personal am
fost prezent pe lista candidaþilor PNTcd (Partidul national þãrãnesc
creºtin-democrat) ca independant (susþinut de 256 de semnãturi). Tribunalul Neamt
a refuzat aceastã posturã (vezi documentele
semnalate), respingînd calitatea mea de independent, astfel încît poziþia mea (a doua ) pe listele PNTcd a devenit bizarã (nu eram membru al
acelui partid, în acel moment) chiar
înainte de a mã retrage din joc – pe 3 mai.
f. Preuves de participation aux congres
ANPT ºi aux manifestaþias de Timisoara en aprilie
document: disponibil, vol 168- f. 82,
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/mesajpopereiuniv.htm
contenu:
explicaþie: Susþinerea noastrã publicã
pentru punctul 8 al Proclamaþiei de la Timisoara, precum ºi strîngerea de
semnãturi pentru acestã mãsurã imperios necesarã lustraþiei ne-au condus sã ne alãturãm Congresului de constituire al
ANPT (Alianþa naþionalã pentru nationale
pentru Proclamaþiei de la Timisoara – cea mai importantã agregare a opoziþiei)
ºi de a explica (în mesajul ataºat - f82) lors manifestaþilor de la Timisoara (28
aprilie 1990 din Piaþa Operei) ºi Bucureºti (30 aprilie 1990 din Piaþa
Universitãþii) situaþia insuportabilã a opoziþiei în oraºele încã ocupate de comuniºti, ca al nostru.
g. Dovezi privind înãbuºirea grevei foamei din 1-5 mai ºi a
denunþãrii "alegerilor"
planificate pentru 20 mai – ca inacceptabile.
document: disponibil, vol.168, f 83-91
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/foto1.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/declaratiepolitie.htm
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/tiraniaconsensului17mai22.htm
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/04g_dialog_pn_8.jpg
conþinut:
explicaþie: Reprimarea grevei publice a
foamei din 1-3 mai (vezi relatarea [2]), întreprinsã în condiþii dramatice de
cãtre 6 membri ai asociaþiei noastre (Ioan Rosca, Ioan Balan, Petru Popovici,
Radu Dobinda, Veronica Andone, Olteanu Jan) a fost reflectatã timid de cãtre presa localã (f
87). Pourtant,
au cenzurat notre mesajul-concluzie: retragerea noastrã din alegeri ºi contestarea lor,
înainte sã aibã loc, din cauza condiþiilor electorale de teroare ºi camuflarea fostei
nomenclaturi securi-communiste, nelustratã. Proba condiþiilor electorale
îngrozitoare ayant été faite / fiind fãcutã pentru cã cerusem autoritãþilor sã ne protejeze (documente ataºate la f 83-85) – în timp ce noi semnalam
public – în liniºte, numai prin cîteva
pancarte – convingerile noastre justiþiare (foto ataºatã la f 86). ªeful
poliþiei Neamt a a declarat - dupã
asaltul final împotriva noastrã - cã este imposibil sã protejeze membrii opoziþiei de furia adepþilor FSN, în
tot judeþul. Terrorisés, sabotés ºi
calomniés, critiques Front n'ont pas pu
faire de campagne électorale. În ces conditions, am compus o declaraþie de
contestare localã (f89) a climatului anti-democratic care ne-a obligat sã
pãrãsim oraºul, pentru a continua greva foamei în Piaþa Universitãþii din
Bucureºti. Aici, pe 4 mai 1990, am lansat Apel din Moldova (f 90)- declarînd
contestarea alegerilor viitoare ºi statutul nostru de prizonieri de conºtiinþã.
Dupã care, am revenit pe 5 mai la Piatra Neamt,
încerecînd sã ne reluãm poziþiile
din faþa Turnului lui Stefan cel Mare – acþiunea fiind înãbuºitã prin
aceleaºi mijloace. Sur quoi, timiºorenii ne-au rugat sã întrerupem greva foamei,
lãsîndu-ne un document descriind stupefacþia lor faþã de ceea ce au trãit la
Piatra Neamt (f 89).
h. Manifestele concepute pentru mitingul
din Piaþa Universitãþii
document: disponibile, vol.168 f. 92-101
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_13.htm http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/manifest7.gif
explicaþie: Fiind obligaþi sã pãrãsim
oraºul nostru, ne-am adãugat, între 4 ºi 19 mai 1990 manifestaþiei din Piaþa Universitãþii din Bucureºti – fiind
singura asociaþie din Moldova (partea
rãmasã în România dupã raptul din 1941/1944) implicatã oficial în organizarea
protestului. Acest ciclu de 10 manifeste, conceput de mine, editate de colegii
mei, prezentate în fiecare zi în balconul de la universitate, multiplicate în
mii de exemplare, difuzate de membrii
asociaþiei - constitue unul din programele politice ale manifestaþiei (au fost
de asemenea prezentate în declaraþie [2n]). Consultîndu-le, se poate vedea
poziþia constructivã a protesta care ne voulaient nullement s'en prendre tout membri parti communiste, ci îi invitau de partea lor pentru
eliberarea României de o nomenclaturã care împiedica justiþia, vindecarea
moralã, emanciparea socialã ºi redresarea economicã.
i. Comunicat de protest pentru reprimarea
manifestaþiilor din 1990
document: disponibil, vol 168 f. 102-105
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/contrarev_1.htm, http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/interv29iuliedreptatea.htm,
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/apeldinmoldova8august.htm,
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/comunicatsolidarizaredrept7sept.htm
explicaþie: Motivul retragerii noastre de
la manifestaþia din Bucureºti (pe 19 mai 1990) fiind contestarea
"alegerilor" prevãzute pentru a doua zi, chiar dacã nu am fost fizic
alãturi de cei ce au fost reprimaþi sãlbatic de cãtre forþele FSN pe 13-15
iunie, ne-am considerat ºi declarat
solidari cu ei, în o serie de intervenþii publice (semnalate de asemenea în
[2t,u,v]). Înfricoºate de demonstraþia de forþã a frontului, avînd amintirile
îngrozitoare lãsate de
"minerii" pilotaþi de Securitate rebotezatã "Serviciul Român de
Informaþii", ziarele au ezitat sã
publice poziþia noastrã tranºantã, sau au fãcut-o cu o mare întîrziere, prima
oarã în Dreptatea din 29 iulie (f 102). Pe 8 august (f 104), un nou "Apel din Moldova" scotea
în evidenþã condiþia noastrã de prizonieri într-un stat capturat de cãtre
usurpatori sîngeroºi ce au uzurpat puterea prin furtul revoluþiei ºi fraudã
electoralã. Comunicatul din 7
septembrie (f 105), declara solidaritatea noastrã cu cei ce încercau sã
reaprindã contestaþia în stradã, depãºind intimidarea. O altã ocazie ce denotã
o realitate inadmisibilã a fost întîlnirea cu comitetul Helsinki pentru
drepturile omului (f 103).
j. Documente despre contribuþia la
unificarea opoziþiei anti-FSN
document: disponibils, vol 168, f 106-110
conþinut:
explicaþie: Dupã falsele alegeri care au
legitimat impostura FSN ºi lovitura
încasatã pe 13-15 iunie, opoziþia anemicã, intimidatã ºi satelizatã de
cãtre Front nu reuºea agregarea unei adevãrate
rezistenþe politice. Am participat la eforturile pentru depãºirea acestei
situaþii (f 106-7) cerînd ºefilor de partid sã-ºi depãºeascã vanitãþile
obtuze ºi sã treacã la unificarea
forþelor care ar fi putut oferi poporului român o alternativã – la timp. Aceastã viziune m-a
determinat sã constitui pe 31 august
1990 (f 109-110) Alianþa Opoziþiei din Neamt, coagulatã prin asociaþia Dialog ºi prezidatã de mine,
integratã în octombrie în Forumul Democratic Antitotalitar Român (FDAR) - care
a fost înlocuit în 1991 de Convenþia
Democraticã. Am condus (pînã la auto- exil) aceastã federaþie a opoziþiei din judeþul Neamþ de
l'opposition în district Neamt, organizînd mai multe activitãþi (conferinþe, manifestaþii,
comemorãri, etc.) care n-au convenit adversarilor noºtri politici.
k.
Sãpãturile de la Dealul Marului, ancheta 430/P/90 ºi apelul la procesul
comunismului
- document: vol 168, pagini 111-128 - vezi
detalii [13]
explicaþie: În calitatea de preºedinte al
FDAR Neamt am organizat sãpãturile care
ne-au condus la prima groapã comunã descoperitã în România dupã 1990 ºi la
plîngerea penalã depusã în 1990 [17].
Era debutul unei activitãþi justiþiare
care a condus la plîngerea din 31 iulie 2006 ( [21]) În momentul audierilor din mai 2006, nu
deschisesem încã celãlalt dosar, al
genocidului ºi ascunderii lui. Dupã ce l-am deschis, am solicitat în scris
domnului Voinea [23] sã copie
documentele (procese verbale, fotografii, declaraþii, relatãri ) din
dosarul 75/P cãtre dosarul 35/P - vezi o parte în volumul 48.
Divizarea dosarului Ioan
Rosca în douã mari dosare ar fi trebuit
sã conducã la unificarea lor. În loc de aceasta, a condus la disjungerea
absurdã a cazului meu….
l. Dovezi privind unificarea opziþiei
civice ºi politice confruntate cu Contrarevoluþia
document: disponibile, vol 168 f 129-140
explicaþie: Dupã
ce am constituit
AOA (FDA) – al judeþului Neamt, am fãcut eforturi mari pentru ca aceastã alliance opérée au niveau de
base des forces de l'opposition sã acþioneze de manierã eficace, pentru a devoala,
contesta ºi combate dictatura disimulatã
a FSN. Am dedicat numãrul din 16 octombrie al revistei ACUM (f 129-135)
activitãþilor AOA/FDA Neamt, începînd cu descoperirile de la Dealul Marului.
Mai tîrziu (24/25 octombrie ºi 8/9 decembrie am participat (f 136) la primele
(ºi ultimele) congrese naþionale ale FDAR, încercînd sã imprim o atitudine
intransigentã faþã de abuzurile neocomuniste. Dar parlamentarii opoziþiei au refuzat de a nu
mai legitima aparenþele democratice prin
prezenþa lor decorativã. Cealaltã cale, a opoziþiei civice, nu mergea
mai bine. Dupã ce am participat la o conferinþã privind drepturile omului la Timisoara (f 136), unde am întîlnit din
nou " personalitãþile " dizidenþei …anti-feseniste, am fondat Alianþa
Civicã Neamt. Astfel, am putut coordona pentru un anumit timp acþiunile
opoziþiei civice ºi politice din Neamþ, cum ar fi manifestaþia de comemorare a revoltei din 15
noiembrie, a
Bassarabiei sau
din 1 decembrie ( f 137-138). Intervenþiile mele la Congresul national al
AC au fost respinse de cãtre
"moderaþi" (f 139-140), care preluaserã controlul opoziþiei
civice ºi fãceau jocul puterii (legitimînd simulacrul democratic). M-am trezit din ce în ce mai izolat
în faþa sistemului putred, de plus en
plus isolé face au système pourri, expus de "radicalismul"
meu, manifestat public. Documentele
annexate la dosar aratã aceastã posturã ingratã care m-a împins cãtre le dénouement din 16.12.1990.
m. Dovezi privind comemorarea reprimatã
a victimelor comunismului din 16.12.90, urmatã de cea de-a doua mea grevã a
foamei, vol168 f 141-150 – vezi detalii [15]
explicaþie: Publicarea în presa localã (f
141-143) a explicaþiilor mele privind necesitatea unui proces al genocidului comunist ºi a epurãrii
din aparatul de stat a celor care îl împiedicau a
mis feu aux poudres. Reacþia agenþilor puterii la acþiunea noastrã (apobatã - f144) de
comemorarea a victimelor comunismului a demonstrat justeþea cauzei noastre. Am
descris în altã parte (vezi ºi [15]) maniera tipicã în care manifestaþia a fost
înãbuºitã ºi umilinþa (foto f 145) pe care am trãit-o la un an de la
declanºarea revoluþiei la 16.12.89. Cîteva ziare locale ºi centrale au
reflectat aceste evenimente penibile (f
146-148) aunþînd, de asemenea, a doua mea grevã a foamei (certificat medical la
f 149-150) .
Legãtura între agresiunile din
mai ºi decembrie, atmosfera creatã de FSN în oraºul nostru în 1990 a fost evidenþiatã prin toate mãrturiile luate la Piatra Neamt [6]. Am fost atacaþi pe
16 decembrie de cãtre aceleaºi forþe din
1-5 mai ºi pentru aceleaºi
motive. În consecinþã , am cerut [23] replicarea acestor mãrturii în dosarul
35/P. Dar nu lea-m gãsit în lucrarea parchetului.
n. Certificate constatînd activitatea mea
civicã
document: disponibil, pagini 151-152
explicaþie: Chiar dacã nu au partajat
strategia mea "radicalã", ºefii
opoziþiei civice (Ticu Dumitrescu - AFDPR, Ana Blandiana -AC) au recunoscut
contribuþia mea, dupã trei ani dedicaþi
în întregime încercãrii de a ridica o rezistenþã autenticã faþã de restauraþia puterii
comuniste. Ceea ce n-au sesizat a fost preþul pe care l-am plãtit, întrerupînd brutal ºi voluntar, o carierã bine lansatã.
document:disponibil-page1(extras [14] - pagini
27-58)
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-2-2007-12
explicaþie: Constatînd cã dosarul 75/P a
fost disjuns, în ciuda protestului meu,
în o parte civilã ºi una militairã, ºi cã secþia civilã care se ocupã de o parte din dosare a întrerupt orice contact cu
mine, am trimis parchetului militar rezumatul/concluzie al cercetãrilor mele privind activitatea criminalã a FSN în 1990
(dimensiunea juridicã, politicã, socialã, culturalã, nationalã) ºi analiza
motivelor împotmolirii anchetei. Acest rport de sintezã este inclus în vol. 168
(paginile 27-58) ºi poate fi considerat drept rechizitoriul unei justiþii atinse de cangrena
statului.
Publiés en 1991-1992 dans la
presse de Roumanie :
explicaþie: Acest volum a fost consacrat demonstraþiilor din alte oraºe,
similare celor din Piaþa Universitãþii, înãbuºite de partizanii FSN.
Prima parte conþine documente înaintate de mine
pentru dosarul Ioan Rosca (couverture-f 199)- Piatra Neamt (26.04.05-vezi [1],
27.04.05-vezi [2], 2005-2007 -vezi [3] ºi [5], 6.05.06-
vezi [4]) ºi mãrturiile strînse
la 6.05.06 (f. 154) de cãtre procurori
privind evenimentele din 1990 de la
Piatra Neamt (mai ales din 1-5 mai ºi 16 decembrie).
Luînd notã cã parchetul nu pune dosarul "Ioan Rosca" la
dispoziþia instanþei ICCJ, am recuperat acest volum de la Theodor Maries, care
a copiat dosarele compunînd lucrarea 75/P. Nu ºtiu unde se gãseºte restul
documentelor mele (articole ºi sinteze de presã, jurnale TV LD- vezi [3])
nici de ce replica dosarului din lucrarea 35 /P ne se gãseºte în cele 49 de
volume [29] (cu excepþia
proceselor verbale de cercetare de la Dealul Marului [13])
Martorii au
descris teroarea care domnea în
oraºul controlat de cãtre agenþii FSN ºi represiunile din 1-5 mai ºi 16 decembrie [vezi ºi 15], ale cãror victime au
fost- alãturi de mine. Dar indiciile pe
care le-au furnizat nu au fost valorificate deoarece ancheta nu a pãtruns
în archivele instituþiilor implicate în
punerea în scenã a "furiei populare" contra noastrã. Toate aceste
declaraþii ar fi trebuit sã se regãseascã în lucrarea 35/P/06, deoarece
priveºte capãtul 2 de cerere al plîngerii mele: l'étouffement violent de nos essai de
bloquer le procès du génocide communiste. Este clar de ce au fost rãtãcite.
La sfîrºitul dosarului se gãsesc
declaraþiile luate din alte oraºe unde
s-a purtat în 1990 lupta împotriva contrarevoluþiei FSN. Nu ºtiu însã dacã
confruntãrile din: Iasi, Ploiesti, Craiova, Deva, Brasov etc. ºi dacã
declaraþiile corespunzãtoare se gãsesc pe undeva.
Orientarea în oceanul de
documente a lucrãrii (75/P) a parchetului (depuse de Doru Maries Mãrieº la
CEDO, la un moment dat) trebuie sã se facã plecînd de la volumele care nu
conþin decît opise (sumare) ale altor volume. Adaug, ca exemplu, opisul
volumului 171 (Declaraþii de martori -GDS ºi jurnaliºti- personalitãþi ale
presei române care explicã în mãrturiile lor
sensul evenimentelor) conþinînd, de asemenea, o declaraþie a lui
Cicerone Ionitoiu care, ca ºi alþi
membri ai CRVC (Gavril Vatamaniuc, etc) a trãit de asemenea represiunea din iunie 1990.
document: disponibil
explicaþie:
a. f. 1-10 – mail cu documentaþie pentru
o pistã de cercetare, vezi [3]
b. f. 11-20 declaraþia lui Sandulescu
Serban asupra mineriadei din 1997, rãtãcitã aici
c. declaraþia martorului Viorel Cosma-
jurnalist
document:disponibil, f 23-25
explicaþie: Priveºte:cariera mea
profesionalã; atitudinea mea din 22 dec. 1989; încercãrile comune (din ianuarie
- februarie 1990) de a activa vigilenþa civicã contra hoþilor revoluþiei; constituirea asociaþiei Dialog –
scopurile ºi activitãþile sale; zdrobirea protestului din 3 mai 1990; condiþiile electorale improprii; represiunea
din 16.12.90; motivele exilului
membrilor asociaþiei - din oraº sau din þarã.
d. f. 26 proces-verbal din 6.05.06 -vezi
[4]
e f.27-58- raport din 21.12.07- vezi [5],
f. f 59-152- declaraþie din 6.05.06
ºi documente ataºate - vezi [4], f. 111-128 - vezi ºi [13/14/15], f.
143-150 - vezi ºi [15],
file 153-197- declaraþii de martori:
g Declaraþia preotului Constantin
Tutuianu- preot
document:disponibil, f 153-158
explicaþie: Se referã la: evenimentele din decembre 1989 de la Piatra
Neamt (cînd a condus acþiunea revoluþionarã localã); constituirea de cãtre el a
filialei locale a partidului PNT-CD ºi opresiunea irezistibilã suferitã din
partea adepþilor FSN; colaboraþionismul preoþilor cu Securitatea; colaborarea
cu asociaþia Dialog Piatra Neamt – condusã de Ioan Rosca; rolul educativ al
acþiunii din 1-5mai; teroarea electoralã doveditã de asemenea cu aceastã ocazie
- care l-a determinat pe Ioan Rosca sã se retragã din alegeri, fãrã ca tribunalul
sã opereze modificarea listei – cerutã
de el în instanþã; recidiva din 5 mai 1990,
ameninþãrile pe care le-a primit pe tot parcursul anului 1990, controlul
total al alegerilor de la 20 mai de cãtre FSN; constituirea la 30.08.90 a alianþei opoziþiei din Neamt- conduisã de
Ioan Rosca; sãpãturile de la Dealul
Marului ºi reacþia violentã a vinovaþilor menacés par la justice din 16.12.1990; evenimentele din cimitir ºi organizatorii represiunii.
h Declaraþia lui Neculai Popa – fost
deþinut politic trecut prin Piteºti
document:disponibil, f 159-160
explicaþie: Se referã la: detenþia
sa pînã în 1964; motivele pentru care a susþinut acþiunile asociaþiei fondate
de Ioan Rosca; greva foamei din mai 1990, cine erau organizatorii
represiunii; sãpãturile din toamna lui
1990, manifestaþia din 16.12.1990 -
pentru comemorarea victimelor comunismului; reprimarea manifestanþilor de cãtre
persoane instigate de foºtii securiºti, terminatã în faþa casei de culturã prin
salvarea lui Ioan Rosca într-o maºinã a poliþiei.
i Declaraþia lui Mihai Agape - profesor
document:disponibil, f 161-162
explicaþie: Se referã la: legãturile cu Popovici Petru, grevist al
foamei în mai 1990, încercarea de a fotografia represiunea din 16.12.90 soldatã
cu agresarea sa; singurele 4 fotografii
pe care le-a putut salva – depuse la dosar.
j Declaraþia lui Florin Ghinet –elev , în acel moment
document:disponibil, f 163-164
explicaþie: Se referã la: manifestaþiile din 1990 din Bucureºti ºi
Piatra Neamt, agresiunile
contra greviºtilor foamei din
PiatraNeamt, 1-5 Mai; pasivitatea poliþiei;
evenimentele din 16.12.90- pe tot traseul marºului de comemorare.
k Declaraþia lui Costache Munteanu - cercetãtor, scriitor, preºedintele CPUN
Piatra Neamt, , în acel moment
document:disponibil, f 165-168
explicaþie: Se referã la: dizidenþa
sa înainte de 1989 ºi participarea la evenimentele din decembrie 1989;
dezgustul faþã de campania de manipulare ºi intimidare a FSN care a creat condiþii
electorale insuportabile pentru adversarii Frontului; simpatia pentru misiunea civicã a asociaþiei
Dialog - care l-a determinat sã-i susþinã ºi apobe acþiunile; marºul din 25
martie 1990 ºi semnãturile pentru
punctul 8 al Proclamaþiei de la Timisoara; aprobarea grevei publice a foamei din mai 1990; atitudinea
poliþiºtilor – care nu puteau fi controlaþi de cãtre ºeful lor, Goraº;
înãbuºirea grevei ºi reuniunea din primãrie – pe care a prezidat-o, recunoscînd
pe cîþiva din cei ce ne aduseserã cu forþa; declaraþia ºefului poliþiei cã nu
poate sã asigure protecþia greviºtilor; ostilitatea tuturor funcþionarilor primãriei faþã de adversarii FSN;
reticenþa jurnalelor locale de a populariza
descoperirile de la Dealul Marului; cauza violenþelor: instigarea populaþiei
contra apãrãtorilor adevãrului.
l Declaraþia lui Panait Duhnea -profesor
document:disponibil, f 169-170
explicaþie: Se referã la: participarea
la acþiunile asociaþiei Dialog - pentru denunþarea contrarevoluþiei conduse de
Ion Iliescu; marºul din 25 martie 1990 – fãrã confruntãri; încercãrile de a informa ºi calma oamenii în
1-3 mai; violenþele din 16.12.90
(pancarte distruse, etc.); sa chasse pentru încercarea de a face fotografii
m Declaraþia Margaretei (Ghinet)
Ursache - chimistã
document:disponibil, f 171-174
explicaþie: Se referã la: rolul
civic al acþiunilor Dialog, reprimarea grevei foamei din 1-5 Mai, observatã assez en détails; ameninþarea cu moartea pe
care a primit-o apropiindu-se de un individ care organiza filarea
evenimentelor; conþinutul anticomunist al pancartelor- pentru comemorarea din
16.12.90; marºul - de 300 de participanþi agresaþi de pretutindeni, injuriaþi, lapidés/ bulgãriþi; grupul care care bloca
intrãrile în cimitir pentru a nu putea depune coroana de flori; depunerea
coroanei de cãtre ea ºi Bulugean Elena, singurele lãsate în final sã pãtrundã
în cimitir; identitatea anumitor provocatori - securiºti; pasivitatea poliþiei
faþã de agresiunile împotriva participanþilor la o manifestaþie de comemorare
aprobatã; în timpul marºului cãtre casa de culturã, mai mulþi colegi l-au
înconjurat pe Ioan Roºca, pentru a nu-l lãsa la cheremul merci des tueurs; continuarea marºului dupã ridicarea lui Ioan Roºca de
cãtre o maºinã a poliþiei; atacul final
al ultimilor manifestanþi în zona turnului lui Stefan - cu bîte: fabricarea
acestor bîte de cãtre Stamate Constantin, fost informator, la ordinele ºefilor
de la CFS Savinesti.
n Declaraþia Anei Serban - profesoarã
document:disponibil, f 175-177
explicaþie: Se referã la: manifestaþiile din Bucureºti ºi încercãrile de a trezi populaþia din Piatra
Neamt ; traitamentul greviºtilor foamei din Piatra Neamt de cãtre mulþimea
manipulatã - la 1-3 Mai 1990; sensul civic al acþiunii din 16.012.1990 – explicat
clar populaþiei; agresiunea initialã –
în faþa Turnului lui Stefan, pentru distrugerea
pancartelor anticomuniste; la prezenþa securiºtilor printre atacatori.
o Declaraþia Elenei Bulugean - asistentã medicalã
document:disponibil, f 178-180
explicaþie: Se referã la:
motivele pentru care s-a adãugat acþiunilor civice ale asociaþia Dialog:
deturnarea revoluþiei de cãtre FSNul condus de Ion Iliescu; solidaritatea
cu contestatarii puterii neocomuniste;
evenimentele din 1-3 Mai 1990;
evenimentele din 16.12.900 - o bunã parte din participanþi pãrãsesc
manifestaþia - înfricoºaþi, cei care rãmîn sunt hãrþuiþi pînã la cimitir, unde
porþile sunt blocate de cãtre alþi contra-manifestanþi; depunerea unei coroane
la mormîntul generalului Dascalescu , de cãtre ea ºi Dna Ghinet- singurele lãsate sã intre; pasivitatea poliþiºtilor în uniformã ºi
atitudinea suspectã a civililor careerau probabil în misiune.
p Declaraþia lui Radu Bendescu - elev în acel moment
document:disponibil, f 181-184
explicaþie: Se referã la: activitatea
sa ca tînãr membru al PNTcd Neamt;
evenimentele din 1-3 mai, cînd protestele civilizate ale greviºtilor
foamei au fost zdrobite; evenimentele
din 16 decembrie 1990, fabricarea pancartelor ºi a coroanelor PNTcd- distruse
de agresori în faþa turnului; reacþia poliþiºtilor: sfatul de a pleca acasã; lapidation ºi insulte în timpul marºului; agresiunile de la poarta cimitirului,
loviturile pe care le-a încasat; marºul final cãtre casa de culturã ºi turnul
lui Stefan; atacul ultimilor
participanþi de cãtre indivizi solizi înarmaþi cu bîte ºi bastoane; urmãriþi
fiecare de cãtre un grup ce încerca sã-i prindã, mulþi au fost bãtuþi; a fost
salvat în ultimul moment de cãtre un prieten – într-o maºinã. Atacatorii erau
foºti miliþieni, securiºti, ºoferi de la
salubritate. A continuat sã fie urmãrit
de cãtre autoritãþi.
r Declaraþia lui Ioan Balan, arhitect,
grevist al foamei în mai 1990
document:disponibil, f 185-187
explicaþie: Se referã la: participarea
la evenimentele din 22.12.89, cînd l-a condus pe dl. Rosca la "Casa albã" pentru
prema reuniune a FSNului, pãrãsitã de Ioan Rosca dupã douã ore, deoarece nu putea sã accepte cooperarea cu
Securitate împotriva þiganilor turbulenþi; demersuri alãturi de Ioan Rosca, în
ianuarie-februarie 1990, pentru a provoca rezistenþa contra deturnãrii
revoluþiei; organizarea asociaþiei Dialog ºi activitãþile sale; raporturile cu GDS -Bucureºti ºi iniþiatorii Proclamaþiei de la
Timisoara; agresiunea din aprilie 1990
contra celor care strîngeau semnãturi
pentru lustraþie (punctul 8); scopul grevei foamei din 1-5 mai la care a
participat ºi el: demisia/ demiterea nomenclaturii comuniste (în special
a lui Ion Iliescu), aspirée par
FSN; insulte, injurii,
ameninþãri, hãrþuiri în timpul grevei; atacul final ºi discuþiile din
sala Consiliului Local; deplasarea la Bucureºti ºi înscrierea printre greviºtii
foamei -din Bucureºti, pe 4 mai 1990; returul la Piatra Neamt ºi epilogul
represiv din 5 mai; evenimentele
similaire din 16.12.90; a doua grevã a foamei începutã în 16 decembrie cu Ioan
Rosca- singurul dintre cei doi care a continuat-o; exilul politic al lui Ioan
Rosca, distrugînd accumulations
carierei sale.
s Declaraþia lui Victor Brailescu- administrator, în acel moment
document:disponibil, f 188-189
explicaþie: Se referã la: acþiunile pacifiste ale asociaþiei Dialog;
scopul grevei foamei din 1-5 mai: denunþarea deturnãrii revoluþiei de
cãtre ºefii FSN; reprimarea greviºtilor în ciuda
atitudinii lor reþinute; conferinþa din 5 mai în sala liceului Petru Rares,
cînd revoluþionarii veniþi din Timisoara au constata cã nu sunt bineveniþi la
Piatra Neamt; evenimentele din
16.12.1990 – trãite de el la cimitir – unde preotul Tutuianu organizase o
procesiune religioasã, anulatã deoarece jurnaliºtii Cosma Viorel ºi Balenescu
i-au anunþat despre confruntãrile provocate în faþa Turnului lui Stefan;
printre cei ce au blocat intrarea în cimitir au recunoscut ºoferi ºi casieri
din transportul public; tineri poliþiºti (în stagiu militar) nu i-au permis sã
se alãture marºului cãtre casa de culturã; el a asistat – în faþa stadionului-
la agresarea unei eleve care nu a putut sã fie protejatã de un profesor-
agresat la rîndul lui.
t Declaraþia lui Petru Popovici,
profesor, grevist al foamei în mai 1990
document:disponibil, f 190-191
explicaþie: Se referã la: acþiunile asociaþiei Dialog împotriva uzurpãrii FSN; réplique dure des contestés: prima confruntare în
aprilie, cînd strîngea semnãturi pentru punctul 8 al Proclamaþiei de la
Timsoara (lustraþie); participarea sa ca grevist al foamei (mergînd totuºi sã-ºi
þinã lecþiile pentru a nu-ºi perde postul) - între 1 ºi 3 mai 1990; tratamentul
agresiv al manifestaþiei civice de cãtre
cetãþeni provocaþi; înãbuºrea grevei din 3 mai ºi discuþiile de la primãrie
unde greviºtii fuseserã împinºi de cãtre mulþime.
u Declaraþia lui Viorel Chirila,
inginer
document:disponibil, f 192-194
explicaþie: motivele participãrii la constituirea ºi
activitãþile asociaþiei Dialog: contestarea legitimitãþii puterii neocomuniste; susþinerea Proclamaþiei de la
Timisoara ºi a manifestaþiei din Piaþa Universitãþii; scopurile grevei foamei din 1-3 mai,
susþinutã de cãtre ceilalþi membri ai
asociaþiei: lustraþia sau cel puþin publicarea listelor vinovaþilor pentru
abuzurile comuniste, înaintrea alegerilor; "dialogul" greviºtilor cu
duºmanii duºmanilor frontului; poliþiºtii au refuzat identificarea agresorilor;
v Declaraþia lui Constantin Balan,
economist
document:disponibil, f 195-196
explicaþie: Se referã la: performanþele fostului sãu coleg, Ioan Rosca,
ca elev matematician; dezinformarea populaþiei pe care asociaþia Dialog ºi-a
propus sã o contracareze printr-o varietate de mijloace; marºul din 25 martie
1990 ºi atacul -în aprilie- al celor ce strîngeau semnãturi pentru punctul 8 al
Proclamaþiei de la Timisoara; agresiunile suferite de greviºtii foamei între 1
ºi 3 mai 1990; efectul manipulãrii prin televiziune asupra românilor care nu
înþelegeau ce se întîmplã în Piaþa Universitãþii; cercetãrile ºi descoperirile de la Dealul
Marului, conduse de Ioan Rosca; represiunea din 16.12.90; cei care ar fi
trebuit sã apere ordinea publicã au organizat tulburãrile; din cauza acestei
situaþii Ioan Rosca a decis sã se
exileze.
f197 lista martorilor audiaþi pe 6.05.2006
w f 198 page de garde Ioan Rosca , f 199 ºi 201-293-
documente ºi declaraþie-rélatare din 27.04.2005 vezi [2], f 294- plîngerea
iniþialã din 26.04.05 vezi [1]
------- ------------------
explicaþie:
Pe de o
parte - declaraþiile persoanelor care au fost implicate în represiunea
manifestaþiei de la Bucureºti. Pe de altã parte, declaraþiile manifestanþilor anti-FSN din
Constanta, care au întîlnit probleme similare celor de la Piatra Neamt ºi din
alte oraºe unde am încercat sã împiedicãm
continuarea puterii
securicommuniste. Este clar cã în oraºe precum Cluj, care a plãtit în 1989
un tribut de sînge pentru libertatea þãrii,atmosfera era mai sãnãtoasã decît în
localitãþile neeliberate. Cu toate acestea, datoritã alegerilor cîºtigate
de front în regiune "roºie",
oraºele libere au recãzut în captivitate.
Cîteva comentarii privind
aceste declaraþii (în speranþa cã restul de peste 250 de volume ale lucrãrii
75/P, la care nu am acces, conþin un material bien plus pertinent asupra fenomenului contrarevoluþiei).
x. declaraþii din Alba Iulia
document: f. 296-398
explicaþie: Ancheta unuia din centrele
þãrii unde
agenþii FSN au pregãtit represiunea contra manifestanþilor. Existã chiar rezoluþii de declanºare a
urmãririi penale, anulate ulterior.
Declaraþia martorului Oprea
Ioan-Florin, serie C, nr.0344839 din 19.04.2007 - voluntar pentru a înãbuºi
tulburãrile din Bucureºti, dirijatã de celula FSN (Alba Iulia), ajuns la Bucureºti pe 14 iunie, a fost
reþinut pentru a interveni într-o unitate militarã pînã pe 17 iunie.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0345291, Cârja Gheorghe din 19.04.2007 – director la Baia Aries, a fost
presat de oameni sã organizeze un transport la Bucureºti.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0344840, Pasca Ion din 19.04.2007- nu ºtie nimic.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0344819, Mucea Nicolae-Dãnuþ din
9.04.2007- inginer ºef la Rosia Montana, organizarea unui transport, de cãtre
Gh Gruber;
Declaraþie martor, seria C,
nr.0374993, Bordea Gh-Radu din 07.06.2007- din Aiud, transport organizat pe 14
iunie prin directorul Emil Fodor, tren secial- fãrã bilete; plasaþi într-o
unitate militarã ºi îmbrãcaþi în soldaþi – fapt ce i-a îngrijorat întrucît la
televiziune s-a anunþat cã toþi minerii au plecat.
Declaraþie olografã Mateºoi
Adrian, 18.04.2096, ºeful
Inspectoratului de poliþie Alba, inculpat la 18.04.06 de cãtre procurorul
Sasarman.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0092812, Criºan Vasile din 18.04.2006 - vice-preºedinte FSN Aiud; indignat
de ceea ce vede la televizor, mobilizeazã persoane din Alba Iulia pentru a
pleca la Bucureºti , organizaþi de FSN.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0092816, Fodor Emil din 18.04.2006- director Aiud, a acceptat deplasarea.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0092814, Demeter Ioan din 18.04.2006 - electrician Aiud, efectul
televiziunii; deplasare voluntarã… cu autobuze ºi trenuri puse la dispoziþia
lor - fãrã bilete, fãrã opriri;
îmbrãcaþi în soldaþi într-o unitate militarã fidelã guvernului; calmaþi de
cãtre NS Dumitru - ºef FSN ; retur în vagoane marcate cu
"rezervate pentru copii".
Declaraþie martor seria C
nr.0373202 Volcinschi Raul din 02.03.2007 – viaþa sa , dedicatã luptei
împotriva comunismului; dupã 1990
fondeazã partidul PUDC, pe care-l reprezintã în CPUN; cu aceastã ocazie
stabileºte contacte - de exemplu cu NS Dumitru, care-l viziteazã împreunã cu
Bogdan Suru [(dar nici-un singur cuvînt despre cazul Roventu!!)]; acesta le povesteºte despre
participarea sa la organizarea mineriadei, pe 11 iunie 1990, cu Ion Iliescu,
Petre Roman, Virgil Magureanu. La observaþia
cã anumiþi manifestanþi ar fi putut sã-i
opunã rezistenþã, Iliescu ar fi rãspuns "o duzinã de morþi ºi opoziþia
intrã în gãuri de ºobolan, ºi noi guvernãm fãrã ea". Cazimir Ionescu avea
sarcina sã aducã minerii de la Filiasii de Padure din judeþul Prahova dacã planul A de a utiliza muncitorii din
Bucureºti eºua.
Declaraþie martor seria C
nr.0092809 Semeniuc Gheorghe din 18.04.2006, ºef UM 01033 ºi apoi SRI Alba; în prima jumãtate
a lui 1990 s-a ocupat de protecþia fostelor cadre ale Securitãþii, ameninþate.
Virgil Magureanu, ºeful SRI s'occupait de miºcãrile des mouvements à risque. Participarea lui Mircea Chelaru ºi Dan
Gheorghe, adjunctul sãu. Col. Man a
primit ordin sã organizeze deplasarea cãtre Bucureºti, împreunã cu
prefectul Borza; totul a fost centralizat de cãtre autoritãþile FSN, cu sprijinul operaþional al
SRI .
Declaraþie martor, seria C,
nr.0092808, Borza Octavian din 18.04.2006- preºedinte CPUN Alba; n-a ºtiut
nimic despre transporturi, organizate de cãtre ºefii FSN Alba.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0092807, Bele Ioan din 18.04.2006- preºedinte FSN Cugir ºi vice- preºedinte FSN Alba ;
iniþiative spontane de a organiza transportul cu un tren care a ajuns pe 14
iunie dimineaþa; dirijat de civili; l-a
întîlnit pe Miron Cosma la salle Polivalentã unde erau cazaþi; capturi de
þigani în Ferentari, ordinul de deplasare
a venit de la conducerea FSN
Bucureºti ºi oamenii erau din mai multe
oraºe.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0092820, Oltean Nicolae din 18.04.2006 - miner; organizaþi de cãtre ºeful de
sindicat; pontaj în timpul deplasãrii, alimente, transport gratuit.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0092817, Asaftei Dumitru din 18.04.2006- miner, fãcînd deplasarea pe 14
iunie; gratuitate totalã (tren, alimente, cazare) , pointage en absence prime au retour; ascunºi într-o unitate militarã de
unde au fugit cînd oameni din Bucureºti au realizat cã sunt acolo.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0092819, Petreanu Gh. din 18.04.2006- din Zlatna, fãcînd deplasarea pe 14
iunie; gratuitate totalã (tren, alimente, cazare); oameni din FSN au organizat transportul,
recepþia la Bucureºti ºi sloganurile pe
care trebuiau sã le strige; campement/ cazare într-o unitate
militairã – îmbrãcaþi în uniforme; dar la ora 2 noaptea au fost trimiºi la garã
pentru ca populaþia sã nu-i gãseascã acolo; la întoarcere, recepþie de cãtre
ºefii FSN, mulþumiri, pontaj pentru toatã perioada.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0092813 Hãdãrugã C. din 18.04.2006- Baia de Aries, poste similarã cu a
celorlalþi, transport într-o maºinã a poliþiei fãrã ãnsemne, campement% cazare într-o unitate militairã pînã
în noaptea de 17/18 iunie cînd NS Dumitru i-a trimis acasã, reproduce mesajul
FSN FSN care i-a fãcut sã plece:
"Atenþiune, atenþiune, cetãþeni ai municipiului Alba, cunoaºteþi cu toþii
evenimentele ce se produc la Bucureºti ; la ora 3 va pleca de la garã un tren
cãtre Bucureºti ; patrioþii sunt
aºteptaþi."
Declaraþie martor, seria C , nr.0092810, Nistea Gheorghe din
19.04.2006- nu ºtie nimic.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0092811, Jurca Gheorghe din 19.04.2006 – întreprinderea cinematograficã
Alba- nu ºtie nimic despre folosirea maºinii lor pentru propagandã de filme în
stradã pentru a convoca oamenii pe 13 iunie
Declaraþie martor, seria C,
nr.0344202 , Costea Oniºor din 06.07.2006 - poliþist, despre mãsurile luate
pentru organizarea trenurilor speciale la gara din Alba.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0344201, Man Ioan din 06.07.2006 – în
calitate de ºef al SRI Alba pe 13-15 iunie, n-a auzit nimic despre organizarea
deplasãrilor de cãtre FSN….
y. declaraþii din Cluj ºi Timisoara
document: f. 399-433
explicaþie: Declaraþie martor, série
C, nr.0374957, Pollnitz Laszlo din
15.05.2007- nu a remarcat nimic în timpul manifestaþilor anti-FSN de la Cluj , que / decît discursul lui Doru Braia.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0374958, Iuhas Leontin-Horaþiu din 22.05.2007- acþiunile pe care le-a întreprins împreunã cu
mama sa, Doina Cornea, înainte de 1989 ºi represiunea suferitã din aceastã
cauzã; participarea sa la revoluþia de la Cluj- 21.12.1989; situaþia confuzã
dupã 22 decembrie ºi primele
manifestaþii anti-FSN de la Cluj (pe 18.03.90- pentru Proclamaþia de la
Timisoara ); mitingul de solidarizare cu Piaþa Universitãþii – deschizînd
ºi la Cluj o "zonã liberã de
comunism" unde s-au þinut discursuri contestatare – fãrã incidente; în
iunie 990 mai multe personalitãþi dizidente au fost invitate în Canada, probabil pentru a evita
implicarea lor în evenimentele programate.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0344849, Netea Gheorghe-Alexandru din 28.03.2007- sensul protestelor
anti-FSN din primãvara anului 1990: prezenþa la putere a nomenclaturii
comuniste. Miting fãrã probleme la 18.03.90. Mînia stîrnitã în mediul
intelectual ºi cu adevãrat revoluþionar de vizita ºi atitudinea lui Ion Iliescu
la Cluj, venit în campanie electoralã.
Confruntare vocalã ºi corporalã -între
cele douã grupuri de manifestanþi: cei care îl aclamau pe Iliescu ºi cei
care îl huleau, pe care poliþia a reuºit sã o aplaneze; încercarea de a demola
statuia eroului sovietic; decizia de a nu mai pãrãsi strada, lansînd un protest
maraton care a durat pînã pe 19 iunie;
discursurile invitaþilor: anticomuniºti … dar apolitici; încercãrile de discreditare ºi provocare puse
la punct de cãtre FSN; tactica de a nu rãspunde provocãrilor
contramanifestanþilor care hãrþuiau;
poliþia a împiedicat confruntãrile ºi generalul Cheler a prevenit la timp tentativele de producere a
unor ciocniri dure; contactul permanent cu mitingul din Bucureºti; au reuºit sã
convingã televiziunea localã sã transmitã o casetã compromiþãtoare pentru Iliescu.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0344816, Suciu Isaia, din 17.04.2007- nu ºtie nimic
Proces-verbal din 17.04.2007
Declaraþie martor, seria C,
nr.0374996, Borodi Petru, din 06.06.2007- participarea sa la protestele din
21.12.90 de la Cluj; avea informaþiile necesare pentru a-ºi da seama cã
comuniºtii au rãmas la putere – ceeea ce îi provoca o intensã revoltã;
participarea sa la manifestaþia de la Bucureºti din 12 ianuarie, cînd a sesizat
forþa de manipulare a lui Iliescu- care s-a salvat de la o tentativã de
continure a revoluþiei; revenit la Cluj a participat la manifestaþia pacifistã
din 18 martie, pentru punctul 8 al proclamaþiei de la Timisoara; a asistat - la
Bucureºti la momentul în care manifestaþia de comemorare din 21 aprilie s-a
transformat într-o miºcare anti-FSN, pentru repornirea revoluþiei deturnate;
aflînd cã aceastã manifestaþie a fost
tratatã cu sãlbãticie, revine la Cluj cu ideia organizãrii ºi aici a
unui protest; ocazia e datã de vizita electoralã a lui I Iliescu care s-a
transformat într-o confruntare sonorã între douã tabere; au decis sã ocupe în
mod permanent o zonã din apropierea statuii lui Matei Corvinul pentru a protesta împotriva farsei FSN ºi pentru
aplicarea punctului 8; a petrecut aici multe nopþi; în timpul zilei,
personalitãþile culturale þineau discursuri
în aceastã zonã liberã; o singurã datã provocãrile FSNului au fost pe
punctul de a declanºa o confruntare fizicã dar poliþia a intervenit la
timp;
Declaraþie martor, seria C,
nr.0374971, Boilã Tudordin din 01.06.2007-
evenimentele declanºate de vizita
lui Ion Iliescu la Cluj; Ideia de a ocupa o zonã în mod permanent , pentru a
protesta, a venit de la Sorin Bobis; au emis mesaje de contestaþie a puterii
neomuniste 24 de ore din 24 cu oratori
precum Doina Cornea ºi Calin Nemes; refuzul postului de televiziune
local de a programa casetele care dovedeau trãdarea revoluþiei de cãtre FSN.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0374972, Boilã Matei, din 01.06.2007- student ºi membru PNTcd (continuînd
tradiþia familiei); revolta faþã de capturarea puterii de cãtre
comuniºtii echipei Iliescu;
participarea sa la manifestaþia din Timisoara cînd Proclamaþia a fost lansatã ºi la manifestaþia de la Cluj din 18
martie, pe care au organizat-o pentru sus-inerea lustraþiei; boicotarea vizitei
electorale a lui Ion Iliescu; ideia manifestaþiei continui care a durat o
lunã; discursurile din timpul zilei ºi
garda de noapte; l'édition de "feuille des golans";
legãtura cu alte manifestaþii anti-FSN.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0374973, Bobiº Sorin-Radu din 05.06.2007- student ºi membru PNTcd;
participant la evenimentele din 21.12.89. Era profund nemulþumit de confiscarea
revoluþiei de cãtre comuniºti regrupaþi în spatele lui Ion Iliescu ºi FSN;
participã la manifestaþia din Bucureºti din 12 ianuarie împotriva lui Iliescu
ºi Roman ºi constatã cã televiziunea a rãsturnat sensul evenimentelor; manifestaþia din 18 martie pentru Proclamaþia
de la Timisoara; tulburãrile provocate
de vizita electoralã a lui Iliescu la Cluj- organizatã cu logisticã de cãtre
armatã; sînt filmaþi ostentativ în timp ce protesteazã; este debutul mitingului
maraton din Cluj, inspirat de cel din
Bucureºti; nenumãratele provocãri erau
respinse cu aplauze; manifestaþia s'est étouffée dupã alegerile din 20 mai.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0374970, Boilã Adrian din 30.05.2007-
parcurs similar fraþilor sãi; participã la manifestaþia din Bucureºti din 22
aprilie care s-atransformat într-un maraton anticomunist ºi assistã la
represiune, la provocãrile ºi calomniile contra protestatarilor; revine la Cluj ºi organizeazã o serie de
manifestaþii pînã la vizita lui Ion Iliescu care provoacã ocuparea permanentã a
unei zone libere din Cluj; Revendicãri:
epurarea instituþiilor a celor vinovaþi de crimele comuniste, sau condamnarea
lor; similitudini ºi colaborare cu manifestaþia din Bucureºti; casetã video
demascîndu-l pe Iliescu [prezentatã la Piatra Neamt în martie] ajuns la Cluj;
nici-un incident.
Fotocopie declaraþie martor,
série C, nr.0374957, Pollnitz Laszlo
din 15.05.2007
Timisoara
Declaraþie martor, seria C,
nr.0373205, Alãmorean Pompiliu-Viorel din 14.03.2007- primar al Timisoarei care a prouvé manifestaþia din 11.03.1990
din Piaþa Operei unde a fost lansatã
Proclamaþia de la Timisoara - al
cãrei program îl partaja. Nici-un ºef al
FSN nu a participt la aceastã manifestaþie. Organizarea unui
protest continuu la Timisoara, în semn
de solidaritate cu cel din Bucureºti, ale cãrui obiective erau partajate de
revoluþionarii din Timiºoara. Ocupau piaþa încã pe 13 iunie 1990, cînd Claudiu
Iordache, vice-preºedintele naþional al Consiliului FSN
le-a cerut (în faþa mai multor martori) sã evacueze strada, altfel va
chema minerii ºi le va închide toaletele… a primit de asemenea un telefon din
partea lui Iliescu – pe acelaºi subiect.
z. declaraþii din Constanta
document:disponibil, f.440-457
explicaþie:
Declaraþie martor, seria C,
nr.0345556, Tisa Milica din 23.08.2006- redactor al publicatiei
"Contrast" din Constanta;
ocuparea puterii locale de cãtre
foºtii ºefi comuniºti ºi securiºti – în relaþie directã cu Ion Iliescu- revolta; decide în aprilie sã deschidã
la Constanta o "zonã liberã de
comunism" dupã modelul manifestaþiei din Bucureºti; ºefii FSNului local aiu organizat marºuri de
intimidare ºi provocãri, dar nu au reuºit sã producã confruntãri; într-o noapte
o maºinã a trecut în vitezã prin perimetrul manifestaþiei dar oamenii s-au
salvat de puþin; legãturile cu manifestaþia din Bucureºti ; el era în Piaþã
cînd a început atacul forþelor represive pe 13 iunie ºi a fãcut cîteva fotografii
de la hotelul Intercontinental; erau în jur de 100 de manifestanþi; întors la
Constanta a auzit anunþul pentru formarea unui tren cãtre Bucureºti ; dar la
garã, primarul oraºului ºi ºef al FSN
Calin Marinescu, care pregãtise o garniturã de tren cu 12 vagoane a constatat cã sunt numai 50 de
amatori; el se strecurase între voluntari; dã numele mecanicilor trenului ; se
deplaseazã la Bucureºti ºi face cîteva fotografii minerilor.
Declaraþie martor, seria C,
nr.0345778, Moldoveanu Iacob, din 31.07.2006 - fost deþinut politic ºi membru
AFDPR, manifestaþiiile din Constanta;
asistã de asemenea la confruntãrile din Bucureºti din dimineaþa lui 13 iunie.
Declaraþie martor, seria C, nr.0369951, Stoleru
Lorendo-Cristinel - student ºi jurnalist, organizarea manifestaþiei maraton din
Constanta; tentativa FSN de a provoca
confruntãri - eºuatã; apelurile din 14
iunie pentru formarea de trenuri cãtre Bucureºti ; 4 vagoane cu partizani FSN au fost ataºate;
document:disponibil, vezi [29] (pag.194-197
vol.27)
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-2-2010-8
explicaþie: Aflând cã tot dosarul se
gãseºte la secþia civilã ºi vãzînd cã
aceasta nu mai dã semne de viaþã, avînd informaþii cã dosarele luate la secþia
militarã nu sît nici mãcar deschise, am depus acest memoriu ("Rolul
procuraturii în evitarea Procesului comunismului, contrarevoluþiei ºi
tranziþiei criminale "), în care am relatat parcursul cercetãrilor în dosarul 75 / P ºi 35 / P, începînd cu
momentul depunerii plîngerilor mele. Am evidenþiat cã nu am primit rãspuns la
cererile mele, în ciuda probatoriului masiv cu care le-am susþinut. De asemenea
– cã nimic nu arãta cã exista o anchetã (în 75 / P) privind activitatea de
instigare la rãzboi civil de cãtre mass-media, împotriva celor ce doreau
pedepsirea sau mãcar lustraþia criminalilor (vezi 35/P). Am semnalat cã aceastã
întîrziere indicã complicitate.
a. Memoriu din 11/12/10 privind
dosarul "feseniada 1990"
document:disponibil, vezi [29]
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-3-2010-12
explicaþie: Dacã în cazul plîngerii Ioan
Rosca-35/P (din 31/07/06) mãcar s-a rãspuns la memoriul din 6.08 cu o
rezoluþie, nu am primit nici un rãspuns privind soarta dosarului Ioan
Rosca-75/P, deschis la 26.04.05. În consecinþã, j'ai înaintat acest nou memoriu
[29/v27f194, v26f106] în care am explicat încã o datã raportul între cele douã
dosare ºi cele douã plîngeri ale mele.
(b Plîngere pénalã la ICCJ deschizînd dosarul 10636)- vezi [30]
explicaþie: Neprimind nici un rãspuns la memoriile
mele din 06.08 ºi 11.12 am depus o plîngere judiciarã la ICCJ, reclamîndt – la
al doilea capãt de acuzare, modul în care cercetarea agresiunilor de la Piatra
Neamt (din 1-5 mai) fusese tratatã de cãtre procuraturã - care dovedea
tratamentul necorespunzãtor al dosarului 75/P în ansamblul sãu. La primul capãt de acuzare am contestat
decizia din dosarul 35/P, care conþinea
de asemenea un exemplar al dosarului meu, axat pe evenimentele din 16.12.1990. O plîngere unicã, avînd în
vedere unitatea cauzei (et de altfel ansamblul 35/P-75/P) pe care îl prezint pe
douã fire, pentru a explica ordinea gesturilor fãcute împotriva dreptului meu la
justiþie.
c "Rãspunsul" parchetului la
memoriul meu din 11.12
document:disponibil
explicaþie: La 17/01/11, ca rãspuns la
memoriile mele, mi s-a comunicat încã o datã rezoluþia din dosarul 35/ P. Chiar
considerînd cã procuratura rãmîne în totalã confuzie (în ciuda explicaþiilor
mele din memorii) faptul de a mi se comunica decizia pentru 35/P în loc de 75/P aratã cã ºtiau
bine cã sunt reclamant, deci procuratura a comis parjur la 25.02.2011, cînd a
negat calitatea mea proceduralã, dupã ce ascunseserã dosarele anchetei penale.
(d Decizia penalã a ICCJ
deschizînd dosarul 10636)- vezi [32])
explicaþie: Procesul ICCJ 16636/1/2010 a
fost închis încã de la prima ºedinþã din 25.02.2011, din cauza declaraþiei
reprezentantului procuraturii, care a exploatat faptul cã judecãtorii nu
primiserã încã dosarele 35/P ºi 75/P. Nemaiputînd sã ascundã abuzul sãvîrºit
pentru primul capãt de cerere al plîngerii mele, au încercat ulterior sã
simuleze o neînþelegere, rãspunzînd cu foarte mare întîrziere memoriilor mele
privind soarta dosarului "Ioan Rosca-75/P". Procedînd astfel, mi-au
dat posibilitatea se reiau lanþul demersurilor, pentru a demonstra complicitatea
justiþiei.
a. Comunicarea rezoluþiei din 10.03.11
document: disponibil
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-4-2011-3
explicaþie: Prin aceastã rezoluþie,
procuratura a rãspuns tardiv memoriilor mele din 06/08/10 ºi 11/12/10. Se face
referire aici la rezoluþia din 17.06.09 pentru 75/P/97 (devenit 175/P/2008,),
afirmînd cã soluþioneazã ºi dosarul meu,
cu toate cã evenimentele din Piatra
Neamt ... nu sunt tratate deloc în aceastã rezoluþie!
b 175/P/2008, 17.06.09, Parchet ICCJ-SUPC
document: http://www.mpublic.ro/presa/2009/rezolutie_13_15_iunie_1990.pdf
explicaþie: nu
existã absolut nici-o referire la dosarul "Ioan Rosca- Piatra Neamt" (contenu în
vol 168 al lucrãrii 75/P/98) în rezoluþia 175/P/2008 din 17.06.09- care
trateazã un alt episod al represiunii FSN (avînd comun cu plîngerea mea doar
cîteva acuzaþii ºi fapte similare). De altfel, rezoluþia 175/P/2008 nu mi-a fost comunicatã, pentru a putea sã mã
adaug celor ce au contestat-o (fãrã succes – la 3.09.09, contestaþiile lor
fiind respinse).
c Alte rezoluþii
document: http://www.mpublic.ro/presa/2009/Ordonanta_mineriada.pdf;
explicaþie: Pentru a înþelege cum a ajuns
procuratura sã distrugã coerenþa
dosarului 75/P/98, în momentu în care ancheta, sprijinitã intens de cãtre
mine, se dirija vers
les grands chefs d'accusation împotriva
responsabililor FSN, trebuie observat jocul de declinãri ºi disjungeri
în cascadã 1.
Urmãrire penalã:
Iliescu- 9.06.05, Magureanu- 12.06.06, Stanculescu ºi alþii - 28.05.07 2. La
19.12.07 procuratura militairã reacþioneazã la o decizie a Curþii
Constituþionale (610 din 20.06.07) ºi opereazã disjungerea pãrþii civile
(222/P/07) declinînd-o cãtre SUPC. 3. La 27.02.08 disjungerea este anulatã ºi
SUPC primeºte tot dosarul la 29.04.08. 4.
La 26.05.08 SUPC declinã o parte din 175/P/2008 cãtre DIICOT ºi la
3.09.08 pronunþã NUP (non-lieu, classement sans suite) pentru anumite acuzaþii.5. La 10.03.2009, secþia DIICOT
266D/P/2008 (în rezoluþia semnalatã mai sus) decide alte clasãri, fãrã sã þinã
cont de dosarele primite din partea secþiei militare. De exemple, singura referinþã
la subdosarul dedicat plîngerii mele este:" Precizãm cã ancheta a
stabilit cã,dupã modelul „Piaþa Universitãþii” din Bucureºti , în aceeaºi perioadã, în municipiile Piatra-Neamþ ºi Constanþa,au avut
loc manifestaþii similare, dar de amploare mult mai micã. [] în declaraþiiile numiþilor Þuþuianu Constantin;
Cosma Constantin-Viorel; declaraþia numitului Roºca Ioan depusã la dosar la 21.12.2007, precum ºi a altora
(vol.128),sunt descrise manifestaþiile de solidaritate ale anumitor persoane
din municipiul Piatra-Neamþ cu manifestaþia din Bucurest din acea
perioadã". Este de le sine înþeles cã, cu un astfel de tratament
superficial al dosarelor, DIICOT n-a înþeles cã ºi eu sînt reclamant, deci cã
ar fi trebuit sã se pronunþe ºi asupra cazului meu ºi sã-mi comunice aceastã decizie (lucru pe care nu
l-au fãcut nici pînã azi…)
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-5-2011-3
explicaþie: Am reluat ciclul
formalitãþilor prevãzute de lege (articolul 278 Cod de procedurã penalã),
explicînd situaþia ºi cerînd din nou qu’on dévoile dosarul Ioan Rosca - 75/P/97 (despre care – am aflat între timp – cã se
gãseºte în vol 168 dosar 75 / P) ºi sã se ia notã cã dosarul 75/P a fost tratat
în derizoriu, ºi astfel deciziile, precum cea din 17.06.09 trebuie sã fie anulate ºi reluate
cercetãrile. Am explicat din nou cã la Piatra Neamt, ca de altfel ºi în alte oraºe, nu am atacat nici-o instituþie la 13
iunie, nu am fost atacaþi de mineri pe14 iunie dar cã am suferit atacul
trupelor comandate de cãtre FSN, între 1
ºi 5 mai. Ceeea ce aratã mãsura în care procurorii s-au rãtãcit de la
semnificaþia realã a evenimentelor din 1990, pe care le-ar fi putut înþelege cu
uºurinþã dacã ar fi studiat dosarele, de exemplu, documentele ºi explicaþiile
pe care le depusesem.
document:disponibil
conþinut:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2011-6
explicaþie: Un exemplu tipic de limbã de
lemn... complice. Se "rãspunde" la plîngerea mea fãrã sã se
reacþioneze pertinent la aserþiunile mele, repetînd însã mecanic afirmaþiile pe
care le respinsesem, privind un episod la care nu am participat, parte dintr-un
fenomen infracþional eludat în totalitate.Nici un singur cuvînt depre dosarul
meu, care pare a nu fi fost niciodatã citit, din moment ce nu se procedeazã
decît la a-mi copia consideraþiile (care de altfel nu sunt deloc respectabile) privind nevinovãþia conducerii FSN relativ la
atacurile minerilor asupra studenþilor din Bucuresti….Dupã atîtea explicaþii
date de mine, nu se rãspunde practic nimic la plîngerea mea privind modul în
care a fost închisã ancheta relativ la
un act fundamental de uzurpare a puterii, fãcînd parte ºi continuînd un
genocid. Explicaþia acestei "neânþelegeri" era evidentã. Am dovedit par suite/ deci/prin urmare cã justiþia face acelaºi joc.
A
explicaþie: Articole
publicate în 1991-1992 în presa centralã ºi localã.
a. Intervenþie - publicat în Dreptatea, 14.06.1991
document : http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/interventie_dreptatea-iun91.jpg
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/interventie_text_integral_iun91.htm
explicaþie: Reaminteºte românilor sensul
manifestaþiei din 1990 ºi gravitatea victoiriei contrarevoluþiei,
b. Articole publicate în Dreptatea : „Arbitri” ºi „instanþe
critice” -9.10. 91,
“Cavalerism ” -11.10.91, “Mineriada” -15.10.91, “Provocatori
” -13.11.91,
“Reconciliere” -5.10.9, „Vînãtoarea de
vrãjitoare” -8.10.91
documente : http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/arbitri_instante_critice_91.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/cavalerism_dreptatea_91.jpg
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/mineriada_dreptatea_91.jpg
www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/provocatori_dreptatea_91.jpg
www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/reconciliere_dreptatea_91.jpg
www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/vinatoare_vrajitoare_dreptatea_91.jpg
explicaþie: o serie de articole explicative despre termeni propagaþi de cãtre
putere pentru a lucra
conºtiinþele convenabil (în sensul lui 1984 de Orwell)
c. Delimitare (de
legitimarea situaþiei politice) – Dreptatea, 5 sept 1991 ºi Solidarizare-
Alianþa Civicã, 9.10
document :http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/delimitare_dreptatea_sept91.jpg
;
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/solidarizare_ac_91.jpg
explicaþie:
d. Cerere de clarificare a poziþiei opoziþiei
–nov. 1991, ºi Contestarea referendumului pentru Constituþie – Cotidianul, 5.12.1991 ºi
Romania Libera, 6.12.91
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/cerere_clarificare.htm
documente : http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/falsuri_politice_cotidianul_91.jpg
;
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/referendum_demag_rl_dec91.jpg
explicaþie:
e. Pentru a salva credinþa
noastrã în justiþie – anunþ al grevei foamei colective, în buclã –Cotidianul,
31.12.1991
document : http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/credinta_dreptate_cotidianul_91.jpg
explicaþie:
f. Polemici politice – Actiunea,
15.11.91, Operaþiunea "Haos"- Acþiunea, 21.02.1992, Exodul- Ceahlãul, sept 1992, Scene penibile
în faþa prefecturii- Ceahlãul, sept 1992
documents :
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/polemici_politice_actiunea_nov91.jpg
;
www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/operatiunea_haos_actiunea_92.jpg
;
www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/exodul_ceahlaul_92.jpg
;
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/scene_penibile_ceahlaul_92.jpg
explicaþie:
B
explicaþie: Articole
publicate între 1994-1996 pe grupul news soc.culture.romanian, aºa
cum am semnalat în primul text
g. Libertatea
de expresie en email ºi problemele majore ale României, 23 august 94
document :
h. Revoluþie ºi contrerevoluþie-
s.c.r 12.03.1994
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1993-1994/docs/a0revolsicontrarev.htm
i. Epopeea tragicã a þãranului
român, s.c.r 1.06.94
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1993-1994/docs/a3taranulroman.htm
j. Explicaþii despre încercarea
de revoluþie, s.c.r. juillet 1994
conþinut:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1993-1994/docs/ddiversiunidesprepiata.htm
k. Au de ce jubila securicomuniºtii
de la Bucureºti , s.c.r, aout 1994
conþinut:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1993-1994/docs/eaudecejubilasecuristii.htm
l. Scara tranziþiei s.c.r,
21.05.1995
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1995-1996/docs/nsctranz.htm
m. Eu rãmîn în revoluþie, s.c.r.
17 dec. 1995 ºi Rions de tout 10.01.96
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1995-1996/docs/3raminrev.htm
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1995-1996/docs/6ridem.htm
n. Înainte sã se aºtearnã
liniºtea, s.c.r. 17.12.96
conþinut:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1995-1996/docs/30liniste.htm
o. Contrarevoluþia ºi
legitimitatea revoluþiei, s.c.r 31.07.2002
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p2000-2003/docs/14.htm
C
explicaþie: Articole
publicate în grupul yahoo : Societatea de Miine, descriind evenimentele de
la Montréal (septembrie 2004) care m-au determinat sã pãrãsesc Canada pentru a
relua lupta,
întorcîndu-mã în România pentru « vacanþe justiþiare » care nu s-au
terminat încã.
p. Manifestaþia împotriva lui Ion
Iliescu ºi Razvan Theodorescu - Montreal, 18/09/04
document: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p2004_2/docs/the_gazette_19.09.04.jpg
conþinut:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p2004_2/docs/29a.htm
traduction: realizabilã
explicaþie: Se poate vedea în clipurile
video documentare (http://www.piatauniversitatii.com/filme/) maniera în care criminalii din 1990 au fost primiþi de
cãtre victimele lor exilate în Canada, în Piaþa României din Montreal -
manifestaþie descrisã ºi explicatã în textul meu. Declaraþia mea pentru
Radio-Canada poate fi observatã în clipul no.4 (http://www.piatauniversitatii.com/filme/clip04.wmv) ºi intervenþia mea la conférence
susþinutã de Dl.
Theudorescu la
UQAM est relatatã la http://www.piatauniversitatii.com/ico/p2004_2/docs/29b.htm
q. Apel « Acþiunea pentru eliberarea
României»
conþinut:
http://www.piatauniversitatii.com/paer/
explicaþie: Un program de luptã contra
uzurpãrii distructive a statului român, redactat la 25.09.04, în urma
reacþiilor faþã de manifestaþia din 18.09 ºi lansat cu ocazia noii manifestaþii
de la Montreal, din 3.10.04. (1. Apelul initial – lansat în Piaþa României dupã
expulzarea lui Iliescu ; 2.
Propagarea explicaþiei libératrice;
3. Marºuri ºi delimitãri; 4.Electoratul captiv ; 5. Schimbarea liniei frontului
cãtre proiecte polarizante; 6. Eliberarea conºtiinþelor de degradãri ºi iluzii;
7. Piaþa Universitãþii Distribuitã)
explicaþie: În toamna lui 1990, ca preºedinte al
FDAR Neamt (incluzînd asociaþia Dialog ºi asociaþia foºtilor deþinuþi
politici), am condus cercetãrile ce au dus la descoperirea gropilor comune de
la Dealul Marului-Neamt. Am participat la exhumarea a 15 cadavre (operaþie
filmatã continuu), la ascultarea martorilor, strîngerea de probe, redactarea
proceselor-verbale, alertarea autoritãþilor, declanºarea anchetei penale,
depunerea osemintelor ºi a obiectelor descoperite - pentru expertizã,
informarea publicului în jurnalele locale ºi centrale, redactarea comunicatelor
– care au reclamat blocajul anchetei penale, etc. Procuratura nu va putea niciodatã pretinde cã plîngerile mele din 2005 (2006)
au fost primele reclamaþii fãcute de mine dupã 1990. Faptul cã-n ciuda tuturor
elementelor de probã ºi a legilor,
ancheta a fost clasatã prin NUP în 1993, nu poate fi invocat pentru a nu aplica principiul întreruperii
prescripþiei (în România, juriºtii ridicolului prétendent que si o cause portée
au parquet ne mène pas des inculpations, parce que celui-ci refuse
abusivement d'agir, nu existã
motive de întrerupere ºi de suspendare a prescripþiei).Este
cheia simplã a aceastei afaceri,
aparent complicatã.
Am depus, la 6.05.06 [4] copii
ale acestor documente, care se regãsesc în volumul 168 din lucrarea 75/P (f 111-128, vezi [2k]).
Pe de altã parte, sesizînd cã
unele documente importante sînt absente din dosarul 430/P/1990 (vol 49 f3-4), redeschis la cererea mea [23] de cãtre procuraturã, am cerut sã fie depuse copii ºi în 35/P [29 v23f173-181 vol 48 75-80,]
Semnalez mai jos documentele depuse despre
sãpãturile din 1990.
a. Declaraþiile lui Luca, Tudor,
Buzdugan, procesele verbale din 20.09, 2.10, 3.10, 4.10, constatarea
procuraturii Roman - din 4.10.90 (vezi
punctul d- feuille 1-2) ºi
procesul-verbal din 30.10.90- cãtre procuratura militarã Bacau.
document: disponibil, [6 vol. 168-f
111-118], [29 v23f173-181 vol 48 75-80,
vol 49 f3-4]
explicaþie: Primul proces-verbal este din
20.09.90, cînd M Tudor ne-a condus la
locul unde acoperise mai bine morþii gãsiþi în 1949 în pãdure ºi ºi marcase pe
un arbore o cruce… care era încã vizibilã. Urmeazã declaraþiile celor care
aveau informaþii despre execuþia criminalã
. Apoi, procesele verbale din
2-3-4 octombrie fãcute cu ocazia sãpãturilp dirijate de mine, care au condus la
descoperirea osemintelor ºi obiectelor monede, linguriþe, gloanþe, etc.),
situaþie constatatã în nota din 4.10.90 de cãtre procurorul de la procuratura
Roman (deschizînd dosarul 793/P/90), probele fiind depuse prin procesul-verbal
din 30.10.90 la dosarul 430/P/1990 - la procuratura militairã Bacau (aceasta
fiind alertatã de cãtre procuratura Roman ºi deschizînd dosarul 430/P/90).
b. Comptes rendus
ale ziarelor privind descoperirile de la
Dealul Marului :
documente: disponibile, [6 vol 168-f 119-127]
[29 vol 48 f 65-74, 82-83],
explicaþie: Mai multe ziare
(Ceahlaul-oct. 90, Opinia Studenteasca- oct. 90, Revista 22-din 7.12.90,
Romania Libera-oct 90, Baricada, Dreptatea, etc.) au trmis jurnaliºti pentru a
reflecta începutul explorãrilor des Katyns roumains. Copii ale acestor articole au fost plasate
în dosarul Ioan Rosca - 75/P -v 168 ºi replcate
în 35/P-vol 48. În unele fotografii se poate vedea Ioan Rosca, atunci de 32 de
ani, sãpînd în groapã…
c. Mãrturii ale lui Ioan Rosca ºi Nicolae Popa
documente: [29 vol 48 84-132]
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/dealulmarpitesti.htm
explicaþie: În introducerea relatãrii
"Reeducarea de la Pitesti (4)" am prezentat Dlui Neculai Popa, fost deþinut politic, trecut prin reeducarea
de la Pitesti, care a dedicat ultimele sale energii cãutãrii de gropi comune, vrînd sã ofere tovarãºilor
sãi asasinaþi o tardivã justiþie ºi o
înmormîntare creºtinã.
A dedicat o carte subiectului
sãpãturilor din 1990 - care a fost pusã
la dispoziþia procurorilor (volumul 48 f 50-147). Fiind ºi el printre cei ce au redeschis ancheta în 2006, a fost surprins de afirmaþia procuraturii cã
nici-o plîngere penalã nu fusese depusã pînã-n
2006 [23b].
Adaug
o mãrturie a lui N Popa asupra detenþiei
de la Pitesti.
d. Documentele lucrãrii 430/P/1990
documente: [29 vol 49] f 1-132
explicaþie: Avceastã lucrarea a
procuraturii, declanºatã de acþiunea noastrã din 1990, înãbuºitã în 1993 prin
rezoluþia de neîncepere a urmãririi penale a procurorului Cute, recuperatã de
procurorul Voinea, pentru redechiderea anchetei la cefrerea mea, conþine
documente interesante, tel que
semnalate în opisul adnotat [29]. Dintre
ele, subliniez:
1-Proces-verbal
din 9.10.1990 de trimitere a dosarului
793/P/1990 de la procuratura localã Roman la
procuratura Militairã Bacau - Dealul Marului /
2-
Proces-verbal– descoperirea osemintelor
în urma sãpãturilor din 2 oct 1990 /3
[semnat ºi de Ioan Rosca. În mod ciudat, celelalte procese verbale (vezi
punctul a) ºi declaraþiile luate de noi cu ocazia
descoperirilor, sunt absente din acest
dosar!]
3-
Notã de constatare a procurorului D Tanasa din
4.10.1990 /4 [A asistat la
terminarea sãpãturilor fãcute de AFDPR Neamt ºi Asociaþia Dialog Piatra Neamt-
în cadrul FDAR Neamt- condusã de Ioan
Rosca]
4-
declaraþia de martor a lui Popa Neculai din 8.10.1990 /5-6
5-
declaraþie de martor (1990) a lui Ipate Vasile/ [ S-a întîlnit cu militarii
care i-au împuºcat pe cei de la Dealul Marului - en 1949].
6-
declaraþie de martor a lui Popovici Ion
din 9.10.1990 /9 [Primar care a fãcut constatarea în 1950, gãsind morþi
rãu îngropaþi ºi cartuºe Beretta de calibru 7,75 ] /7
7-
declaraþia lui Tudor Ion din 9.10.90 /11
[Cel care a marcat o cruce pe un arbore
- ºi ne-a condus în acel loc în 1990].
8-
declaraþia lui Luchian Ctin din 8 oct
1990 /13 [A vãzut maºina ºi militarii,
în ziua execuþiei, apoi cadavrele rãu îngropate – descriindu-le
îmbãcãmintea]
9-
declaraþie de martor alui Oita Gh, din
9.10.90 /15 [A întîlnit în pãdure militarii ce au fãcut execuþia; apoi a
vãzut trei morminte; ipoteze asupra celor
asasinaþi ºi ºoferul camionului ce-i transportau]
10-
notã din 17 oct.1990 /17 [Constatare
în urma investigaþiilor. Arama Mircea era ºeful Securitãþii Roman în 48-49 ºi
Davidovici, adjunctul sãu – emigrat în Israel]
11-cerere
de predare a obiectelor gãsite la Dealul Marului, 19.10.1990, cãtre AFDPR Neamt
/19
12-
predarea a douã planºe fotografice ale locului /20
13-
ordonanþã pentru efectuarea unei expertize medico-legale din 19-10-90 /22 [pentru dosarul 430/P/1990]
14-
proces-verbal din 30.10.2012, Popa Neculai predã lui Cute Aurel, de la
procuratura militairã Bacau, obiectele
gãsite în groapa de la Dealul Marului/ 24
[pantofi, curea, oglindã, linguriþã fãrã coadã, glonþ, monedã de 5 lei
emisã în 1948 de Republica Populairã
Românã]
15- anonimã semnatã "G.C." din 16.10.90
/27 [comisarul Alimanescu, venit de la Miliþia din capitalã, a executat þigani
infractori la Dealul Marului]
16-
reclamaþia lui Tanase Mircea, din
6.10.1990 /30 [Este vorba despre un genocid imprescriptibil]
17-
explicaþiile lui Tanase Mircea /31
2.11.90 [Privind hãrþuirea familiei sale de cãtre Securitate]
18-
declaraþie nesemnatã/33 [Bande de hoþi
au fost împuºcaþi în aceastã pãdure, sub pretextul cã au încercat sã evadeze de
sub escortã]
19-citaþie
pentru Arama- Galati, 28.11.90 /37
20-declaraþia
lui Luca Vasile /39-42 [venit ca adjunct al ºefului postului de poliþie la 11
sept. I-a fost fricã sã se amestece în afacerea Securitãþii ºi a spus oamenilor
sã tacã]
21-
declaraþie de martor a lui Epure Ctin,
10.12.90 /43-45 [ jurnaliºtii au inventat declaraþiile sale pentru
presã]
22-
declaraþie de martor a lui Scorchion, 10.12.1990 / 46-49 [se pare cã a fost
martor la un alt caz, în aceeaºi pãdure]
23-
declaraþie de martor a lui Oiþã,
10.12.1990 / 50-55 [martor la
crimã, dînd indicii importante]
24-
raport de expertizã medico-legalã - 12.12.90 Institutul din Iasi. / 57-58
[10-15 bãrbaþi, dux orifice de balles, un
adolescent]
25-
notã a Poliþiei Galati/ /59 [Arama
Mircea e mort de 2 ani la Galaþi]
26-
notã din 15.02.1991/ 62 [extrase din jurnalul „Desteptarea”, cu indicii cunoscute de Bâtcã ªtefan din Bacau]
27-
declaraþie de martor a lui Bâtcã ªtefan din Bacau, 15.04.1991 / 63 [Erau þigani infractori, în anchetã la Roman
de cãtre criminalistul Firea din Bucureºti. Cunoaºte situaþia pentru cã lucra
la Securitate (y inclut pentru apaiser révoltes de zone) ºi a vorbit
cu ºoferul maºinii care i-a transportat în pãdure, pentru a-i executa în numele unei false tentative de
evadare. Erau 60.]
28-
citaþii /69-71
29-
notã de investigaþie /72 [Notã de contact, Demidovici ºi-ar fi schimbat numele
în Ion Dinescu ºi locuieºte la Iasi etc.]
30-
declaraþie de martor a lui Popovici Ion, /74-80 [Fost secretar de partid în
sat. Revine cu detalii. L-a dus pe Luca la locul unde au fost descoperite
cadavrele dar acesta a refuzat sã facã constatarea. ªefii PCR de la regiune erau Rosu Gh, ºi de la
Securitatea din Roman - Marcu Abramovici si Davidovici Leon - care au fãcut
investigaþii privind cadavrele fãrã sã vorbeascã cu el]
31-
declaraþie de martori a lui Ghetu Nicolai, 29.04.91 /81 [Adus în
pijama de cãtre fiul sãu de la psihiatrie pentru a vedea dacã declaraþiile sale
din 29.04.1991 pot avea repercusiuni: cã a asistat la
toatã execuþia celor 11 persoane de la Dealul Marului. Nu a vorbit
despre asta decît fratelui sãu, de fricã]
32-
citaþii ºi procese verbale, erori de identificare: Gidniceanu, Iorga /86-98
[soldate cu un mandat pentru Iorga, de 02.12.91]
33-
notã cãtre Parchetul général Bucureºti/ 100 [din 9.12.1991, dosar 430/P/1990,
80 file, este trimisã procurorului Vasiliu,
pentru consultare]
34-
nota Parchetului General-Eugen Vasiliu/ 101 [explicaþie privind banda video
depusã de cãtre AFDPR Neamt, examinatã la 12.12.91 în cadrul cercetãrilor în
dosarul 46227/9821/1991]
35-
notã cãtre PM Bacau / 101 [dosarul de 80 file este returnat, acompaniat de o
bandã video ºi de o depoziþie de martor la 20.12.91]
36-
declaraþie de martor a lui Hopan Gh, din 9.03.1992 108 [se oferã sã arate mai
multe gropi comune cu victime ucise în zonã) ]
37-
notã cãtre Onel, Rusu- 10.03.1992, procureur Cosma Vasile, /111
38-
notã /112 [Onelnu e transportabil, Iorga este bolnav ºi nu poate veni la
Bacau]
39-
mandat pentru aducerea lui Iorga, 8.04.1992, Cute Aurel /113
40-
notã din 23.04.92- /115 [Iorga este bãtrîn ºi bolnav, nu poate veni]
41-
notã din sept 92 /116 [Vasile Stanca,
procuror ºef adjunct, cere
noutãþi în dosar - 08.09.1992 ]
42-
note - articole din Tineretul Liber din 1.09.92 /117 [blocajul anchetei; fãrã
reacþia jurnalelor, bãtrînii martori nu pot fi deranjaþi de cãtre procuraturã]
43-
notã Romania Libera, etc /119-120 [sintezã de presã ce reflectã
blocajul cercetãrilor]
44-
raport cãtre Direcþia parchetelor
militare Bucuresti. / 121 [Sumar al situaþiei pentru 430/P/1990, deschis
la 4.10.1990 de cãtre membri ai AFDPR Neamt ºi
Dialog Piatra Neamt, care au
gãsit cadavrele; se impune continuarea investigaþiilor - procuror Cosma Vasile
]
45-
declaraþia lui Iorga Costache, din 24.11.92 / 123 [Cariera sa în Militie,
de la Roman (pînã în 03.11.1949) la
Buhusi. La
Dealul Marului au fost uciºi þigani infractori conduºi de Gogu, care erau
închiºi – fãrã forme legale - la Miliþia
Roman. Anchetaþi ºi executaþi în pãdure (simulînd evadarea) de cãtre Firea
(ajuns mai tîrziu general, ºef al direcþiei judiciare) ºi Ceacanica – din echipa
lui Alimanescu, ajunsã în martie 1949 la Roman, de la Bucuresti. Dosarul celor
60 de deþinuþi era la Curtea de Apel
Iaºi (lucru confirmat într-o dicvuþie din
1956, de cãtre Barjoveanu Vasile - secretarul procuraturii Buhusi). A
participat la înãbuºirea revoltei de la Butea dar nu au fost morþi acolo]
46-
declaraþia lui Onel Ioan de la Securitate,
3.12.92 /128 [nu ºtie nimic ºi este
bolnav]
47-
Notã din 25.01.1993 /129 [verificãri
în archivele din Piatra Neamt,
procuratura Roman – nu s-a gãsit nimic
pertinent]
48-
rezoluþia Aurel Cute din 8.10.1993 /
130 [AFDPR ºi grupul Dialog au
procedat "empiric";
scheletele a aproximativ 15 persoane; "obiecte pe care cei ce au
descoperit groapa pretind cã le-au gãsit înãuntru";
colectivizarea nu s-a fãcut în aceastã période";
"nimeni nu a reclamat dispariþii"; declaraþiile lui Costache Iorga
privind þiganii împuºcaþi; „deþinuþi de drpt comun ºi în nici-un caz opozanþi
ai regimului comunist”; omor deosebit de grav,
pedeapsa cu viaþa sau de 15-20 ans;
"constatînd cã termenul de prescripþie
(15 ani) este împlinit ºi cã nu existã cauze care sã justifice
suspendarea termenului de prescripþie", DISPUN "neînceperea urmãririi penale",
"soluþia nu se comunicã"… ]
document:disponibil, conþinut de asemenea în
[6 f 128] ºi [29-vol 48-f81]
conþinut:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1989-1990/docs/dmaruluiviitorul11oct90.htm
explicaþie: Am lansat acest apel patetic
în mai multe jurnale locale ºi centrale, în speranþa de a provoca un val de
sãpãturi similare, urmate de anchete penale ºi procese de rigoare. Rezultatul a
fost dureros. Criminalii care s-au
simþit ameninþaþi de justiþie, s-au activat mult mai intens decît victimele sau
martorii supravieþuitori ºi au organizat o intensã campanie de dezinformãri,
calomnii, insulte, ameninþãri, provocãri, sous couvert des "oameni de bine",
manipularea opiniei publice fiind facilittatã de faptul cã listele informatorilor poliþiei secrete n-au
fost divulgate ºi archivele au fost
încuiate de cãtre FSN, prin legi speciale promulgate în grabã, informaþiile despre crimele regimului "rãsturnat" fiind
declarate "secret de stat".
explicaþie: (vezi ºi [4m] ºi [6]) Pentru a
permite schimbarea paradigmei socio-politice,
criminalii au obþinut garanþii din partea FSNului, cã vor fi scutiþi de poursuites, cã vor avea pensii uriaºe / mari, cã vor rãmîne în poziþii de
comandã, ceea ce le va permite sã se îmbogãþeascã, pilotînd tranziþia.
Sãpãturile de la Dealul Marului ºi de la Dealul Balaurului .precum ºi apelurile
în presã pentru un proces al comunismului, au stîrnit furia torþionarilor
contra asociaþiilor din Neamt pe care le conduceam. Toate acestea au explodat
pe 16 decembrie 1990, cînd am organizat o manifestaþie de comemorare a
victimelor comunismului, zdrobitã de mulþimea condusã de agenþi FSN ºi de foºti
securiºti reconoscuþi de victimele lor.
În toate plîngerile mele
penale (ca [21]) am subliniat faptul cã motivul de netãgãduit al represiunii
din 16.12.90 a fost revendicarea noastrã de
a fi judecate crimele comunismului, ceea ce explicã prezenþa mea alãturi
de foºtii deþinuþi politici în dosarul 35/ P- unde ar fi trebuit sã ajungã o
copie a declaraþiilor, documentelor ºi mãrturiilor privind evenimentele din 16/12/90, extrase din lucrarea
75/P/97 [6], conform cererii mea [23].
Nu am gãsit decît cîteva pãrþi în vol. 23 ºi 48 din lucrarea 35/P [29], fãrã sã
ºtiu, chiar dupã explicaþiile Dlui Voinea
[47] unde au ajuns celelalte documente ridicate la 6 mai 2005 de
cãtre procurori, alãturi de declaraþia
mea explicativã [4], care ar fi trebuit sã fie reprodusã în 35/P.
Rãmîn puþine imagini deoarece
cei care au încercat sã facã fotografii au fost goniþi. De asemenea, nu mai
gãsim dosarul deschis de poliþie cu aceastã ocazie.
Enumer mai jos documentaþia în
chestiune, aparent rãtãcitã …
a Dovezi ale organizãrii manifestaþiei
din 16.12.90
documente: disponibile [6] f. 59/65 [29] vol
48 f.64
explicaþie: Scopul manifestaþiei a
fost cu claritate enunþat în nota
noastrã cãtre autoritãþi, în Comunicat,
ºi în articolul din 14 decembrie publicat în jurnalul local Ceahlaul ("Între
retoricã justificatã ºi aventurã"- interviu luat de C Lamatic lui Ioan
Rosca). Se poate deduce sensul ºi rolul descurajator al reacþiei represive
"populare" care a fost pus la
punct la 16.12.90 pentru a da o lecþie celor care "dezgropau
morþii".
b Fotografii ºi comptes rendus ale evenimentelor
documente: disponibile, extrase în [6] f. 59/65 ºi
143-197) ºi [29] vol 48 f.57 ºi f63
explicaþie: Comemorarea la Piatra Neamt
a Victimelor Comunismului, la 16/12/90 a
fost reprimatã, într-o manierã similarã
grevei foamei din 1-5.05.90, de cãtre o mulþime incitatã de media ºi mai ales de cãtre nenumãraþii agenþi ai
poliþiei secrete încã activi (ºantajaþi prin divulgarea faptului cã erau
informatori). Puþine jurnale au relatat aceste evenimente, opoziþia politicã ºi
civicã eludînd poziþia noastrã intransigentã, consideratã "radicalã"
de cãtre adepþii compromisurilor.
c Comunicat- protest ºi a doua mea
grevã a foamei [29] vol 48 63
documente: disponibile , vol 48 f.57et 63-64
explicaþie: Luînd notã cã oraºul nostru striga
"Jos Timisoara» ºi «Iliescu – Roman » am înþeles cu o amãrãciune
inexprimabilã cã nu puteam sã ne opuneam contrarevoluþiei FSN. Am marcat
protestul meu faþã de aceastã situaþie abominabilã printr-o a doua grevã a
foamei ( între 16-22.12), declarînd cã renunþ la calitatea de cetãþean condus
de un uzurpator al revoluþiei precum Ion
Iliescu. Aceastã poziþie m-a determinat în final sã pãrãsesc þara, pentru a nu
mai accepta o "normalitate" criminalã.
c Declaraþii de martori - vezi
[6b-k])
explicaþie: Mãrturii relevés la Piatra Neamt pe 6 mai 2006 s-au
referit la evenimentele din 16.12.1990,
precum ºi la cele din 1-5 mai. De altfel
este vorba de o unitate de sens, lupta noastrã continuã din 1990 avînd ca scop
penalizarea vinovaþilor de crimele comuniste. La filele 23-25 se gãseºte declaraþia
martorului Viorel Cosma, ºi la f1. 53- 197 alte declaraþii (Tutuianu C., Popa N., Agape M., Ghinet F,
Munteanu C, Duhnea P., Ursache M , Serban A, Bulugean E, Bendescu R, Balan I,
BrailescuV, Popovici P, Chirila V, Balan C.).
d Descrieri ulterioare ale evenimentelor
documents: disponibile, [29] vol 48 f.57 ; vol
168 [6], file 59-65
explicaþie: O scurtã descriere este fãcutã
în plîngeres mea din 31.07.2006, care a deschis dosarul 35/P/2006, ca explicaþii a calitãþii
mele de reclamant pentru capãtul 2: represiunea suferitã din partea agenþilor FSN pentru a fi luptat pentru judecarea
crimelor comunismului. O alta se gãseºte în declaraþia din 6.05.2006 , care ar
fi trebuit adãugatã în lucrarea 35/P.
a. Scrisoare deschisã cãtre AFDPR, în
1991
document: [vol 48, f62], http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/scrisoaredeschisaafdp.htm
explicaþie: Am constatat cã anchetarea
crimelor comunismului nu progreseazã ºi cã asasinii obþin liniºtiþi pensiile
lor mari în timp ce victimele mor fãrã consolare, cã protejarea criminalilor de cãtre FSN nu se
confruntã cu nici-o rezistenþã din partea
unei societãþi româneºti evident degradatã. Indignat ºi disperat, am fãcut aceastã declaraþie de boicot
profesional total, la congresul foºtilor deþinuþi politici, sperînd cã s-ar
simþi mai puþin singuri. Mi-am þinut cuvîntul,
oprindu-mi activitãþile pînã în momentul în care am pãrãsit
România, pe 26/09/92. Puteþi aprecia
dacã am rãmas consecvent.
b Protest pentru blocarea anchetei, în
1991
document: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1991-1992/docs/16a_vol48.jpg
explicaþie: Constatînd cã ancheta penalã
nu avanseazã, în ciuda pistelor pe care le-am furnizat (martori, probe
materiale, etc.)am emis acest comunicat comun în 1991, care a fost publicat în nr 7 al Documentelor Rezistenþei.
El este suficient pentru a distruge
pretenþia procuraturii cã dupã 1990 nu a fost alertatã prin plîngeri – o
realitate care impune suspendarea termenelor de prescripþie.
c. Ce este fenomenul Pitesti
–s.c.r vara 1994
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1993-1994/docs/a5fnomenulpitesti.htm
explicaþie: Aceastã analizã este foarte
importantã pentru a înþelege reacþia paradoxalã a victimelor regimului, dupã
schimbarea paradigmei din 1989. Cînd un cîmp de concentrare clasic este eliberat,
prisonierii cer dreptate sau rãzbunare. Cînd un cîmp supus tehnicii de maculage a victimelor, pus
la punct la Pitesti este dentelé,
victimele care n-au rezistat mecanismelor de degradare prin colaborare
ºi la propagandei intoxicante tac, sau chiar colaboreazã cu cãlãii lor, pentru
ca adevãrurile insuportabile sã nu fie dezgropate.
d. De ce nu este Ion Ilescu
preºedintele meu s.c.r, iunie, 1994
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1993-1994/docs/biliescunuepresedintelemeu.htm
explicaþie: Aceastã primã parte a
rechizitoriului ãmpotriva celui mai nociv uzurpator din istoria României, reaminteºte trecutul sãu de activist de
frunte în nomenclatura partidului genocidar. Era stupefiant pentru noi, contestatarii
lui, sã-l vedem în poziþia de ºef al unei Românii "eliberate" de
comunism.
e Tacerea ingroapa adevaruri -
eu nu vreau sã tac, s.c.r iunie 1994
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1993-1994/docs/ctacearaingroapa.htm
explicaþie: Ajuns în Canada, am reluat lupta pentru reabilitarea
adevãrului ºi a justiþiei, într-o þarã pe care o pãrãsisem numai pentru a nu
accepta faptul monstruos împlinit. Am descoperit cã în reþeaua academicã
internaþionalã, copiii nomenclaturii, îmbrãcîndu-se în democraþi care resping
"vînãtoarea de vrãjitoare" fãceau lobby pentru cauza anti-justiþiarã
a pãrinþilor lor.
f. Antisemitism ºi anticomunism
- s.c.r., aprilie 1995
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1995-1996/docs/mantisemit.htm
explicaþie: Un alt curent ce se opunea pe Internet judecãrii genocidului comunist
era cel al cîtorva evrei foarte activi (probabil
urmaºi ai comuniºtilor implicaþi în crimã ºi interesaþi ca participarea lor
sã rãmînã pentru totdeauna necunoscutã). Ei pretindeau cã uciderea în
masã a românilor nu este genocid ºi cã adesea victimele nu meritã dreptate
deoarece au exprimat poziþii naþionaliste, vezi "anti-semite". Am încercat sã le explic cã victimele tuturor
genocidurilor trebuie sã fie solidare ºi
nu în comoetiþie, cã justificarea unui genocid, pentru cã loveºte ºi antisemiþi
– face rãu cauzei lor, cã majoritatea "fasciºtilor" închiºi ºi uciºi
dupã 1944 erau patrioþi fãrã vinovãþie rasistã, cã agenþii Securitãþii vor
jubila dacã pot gãþi sprijin în exterior
(cumpãrat prin retrocedarea unor proprietãþi), etc. M-am lovit de o
reacþie deplorabilã care m-apus în gardã asupra pericolului pe care
participarea la genocidul comunist a unor evrei emigraþi în occident ºi ajunºi
în poziþii de influenþã, ar putea fi un obstacol pentru internalizarea acestei
situaþii.
g. Iliescu-KGB , s.c.r.
29.05.95
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1995-1996/docs/oiliescukgb.htm
explicaþie: Aici accentul este pus pe l'allégeance / supunerea lui Ion Iliescu cãtre l'URSS,
care l-a crescut ca agent al intereselor lor, ceea ce explicã comportamentul
sãu dupã 1989, incluzînd aici refuzul
reunificãrii României.
h. Proteste adresate lui Clinton la
primirea lui Iliescu -septembrie 1995
conþinut:
http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1995-1996/docs/sclinton.htm
explicaþie: Am compus ºi trimis aceastã
sintezã a crimei continuate / continuate din 1944 pînã în 1994, în 75 de puncte, la Casa Albã, cu ocazia primirii
de cãtre preºedintele Clinton a protectorului autorilor unui genocid. Ea se înscrie
într-o lungã serie de apeluri explicative, cu care am încercat
sã sensibilizeze opinia publicã cu privire la drama juridicã
românã, în timpul exilului meu
din Canada
i. Alibiul pedepsirii
ntisemitismului, s.c.r.
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1995-1996/docs/1gelehrter.htm
explicaþie: Mesajul de simpatie din
partea M Gelehrter, un evreu anti-comunist care a înþeles apelul meu la
solidaritate cu victimelor ºi faþã de combinaþia cu securiºtii transformaþi în
oameni de afaceri, vînzînd aproape gratuit România la licitaþie, mi-a permis sã
mã explic mai bine, fãcînd nuanþele necesare.
j. Praful de pe dosarele
securitãþii, s.c.r. , 18.01.96
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1995-1996/docs/7prafdos.htm
explicaþie: Denunþã blocajul
arhivelor care
ar fi putut (trebuit) sã sprijine procesul crimelor fostului regim. Din pãcate, continuatorul sãu FSN
a interzis accesul la probe, de la preluarea puterii, în
numele "revoluþiei".
j. Bariere împotriva denunþãrii comunismului
- apel cãtre evreii români, SCR, 17.03.96
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1995-1996/docs/9dencomun.htm
explicaþie: Revenire asupra temei raportului
dintre crimele anti-semite si crimele comunismului. Lansarea unui apel de
sprijin pentru condamnarea crimelor împotriva umanitãþii comise dupã 1944 în
România, din partea celor care au suferit
la rîndul lor crime similare, înainte de 1944. Dar ideea cã setea de
afaceri profitabile ar putea fi paralizatã de cãtre solidaritatea justiþiarã
s-a dovedit utopicã, prezenþa unor evrei comuniºti în rândul criminalilor de denunþat,
complicînd situaþia.
k. contestation de Ion
Iliescu-ma déposition, s.c.r 13.10.96
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p1995-1996/docs/25contestiliescu.htm
explicaþie: Istoria acþiunilor pe care
le-am întreprins pentru a contesta prezenþa lui Ion Iliescu, fost ºef al
propagandei comuniste, în fruntea noii Românii. Începând cu contestaresa
oficialã pe care am depus-o în aprilie 1990, bazatã pe punctul 8 al Proclamaþei
de la Timiºoara (lustraþia foºtilor membri ai nomenclaturii de partid ºi
Securitate)
l. Alibiul pedepsirii antisemitismului în sovietizarea României, s.c.r.
16.07.02
conþinut: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p2000-2003/docs/09.htm
explicaþie: Opinia publicã româneascã
era bombardatã de cãtre o propagandã ce servea perfid interesele de nepedepsire. Una din manevre a fost accea
de a pretinde cã "anti-semitismul"
ºi "fascismul" dinainte de 1944 nu au fost încã dezvãluite ºi
pedepsite. Pentru a arãta falsitatea acestor afiemaþii, am reprodus o listã de
procese înscenate de cãtre regimul de ocupaþie instalat de sovietici, împotriva
foºtilor lor duºmani. Închisorile ºi mormintele au fost umplute de cãtre
"tribunale ale poporului", cu "criminali de rãzboi" ,
"naziºti", " distrugãtori
de þarã." Marea majoritate a celor au suportat 10-15 ani nu erau vinovaþi de nimic (în sens penal),
sau chiar au fost patrioþi. Scopul ascuns al acestei campanii de
"holocaustizare" a victimelor
comunismului fiind de a justifica abuzul sovietizãrii.
m. Procesul comunismului - un apel din
2002
document: http://www.piatauniversitatii.com/ico/p2000-2003/docs/12.htm
explicaþie: Acest apel pentru
constituirea unui centru de cercetare similar lui Simon
Wiesenthal a fos postat pe
grupul yahoo SdM, la 19/07/02 si o fost urmat de o serie de reacþii privind
maniera ipocritã în care subiectul genocidului comunismului o fost tratatã în
România.
explicaþie: Principala motivaþie a clasãrii tuturor
infracþiunilor legate de crimele
comunismului, un fost invocarea prescripþiei. Argumentele noastre
de drept nu s-au
rezumat la evidenþierea
imprescriptibilitãþii genocidului, în ansamblul sãu ºi a
continuitãþii. Am reamintit, de
asemenea, faptul cã înainte de 1990 pedepsirea acestor infracþiuni
a fost imposibilã, astfel încât, în conformitate cu Codul penal, termenul de prescripþie a fost
suspendat. Suspendarea pentru forþã majorã ce se
impune de asemenea dupã 1990, avînd în vedere cã nici-o plîngere penalã ºi nici un proces nu au reuºit sã învingã rezistenþa justiþiei complice. De
unde importanþa
dublã a cauzelor închise cu NUP sau de cãtre instanþele
de judecatã între 1990 si 2006 (care, de asemenea, au produs
întreruperea prescripþie). Echipa
Voinea a reperat doar
cîteva cazuri, integrate în 35 / P, începîând cu plângerile noastre din 1990.
a. Dosarul 430/P/1990 privind groapa
comunã de la Dealul Marului -Neamt,
document: extras din [29-v1 rezoluþie f 15-17,
v49 integral, rezoluþie la f130-133]
explicaþie: Dupã strîngerea osemintelor, dovezilor, proceselor-verbale ºi mãrturiilor luate de cãtre noi
(FDAR Neamt, pe
care îl conduceam),procuratura militarã a efectuat
mai mulþi ani cercetãri în acest dosar, un
exemplu de caz care demonstreazã falsitatea afirmaþiei cã nu au existat plângeri
pânã în 2006 - pe
care se bazeze deciziile de prescriere
ale procuraturii, confirmate de cãtre
instanþele judecãtoreºti [26,28,38]. Cu toate cã examenul medico-legal
a confirmat moartea prin împuºcare a grupului
asasinat de cãtre autoritãþile comuniste
foarte interesantele mãrturii ar fi putut
conduce la vinovaþi, procurorul
Aurel Cute a închis
cazul prin rezoluþia din 10.08.1993, reþinînd
cã prescripþia a început sã curgã... din 1950, fãrã a a stabili mãcar identitatea victimelor,
partizani romani, þãrani demni sau þigani
infractori uciºi. Astãzi, cei care susþin
cã termenele curg începînd cu 1990, nu pot evita
dosare precum 430/P/1990, închise abuziv, antrenînd
întreruperea ºi, din cauza blocajului dovedit - suspendarea.
b. Dosarul 203/P/1994 privind gropile
comune de la Dealul Balaurului - Neamt
document: extras din [29 v1 f32-34, v.
48, f146-246, rezoluþie la 244-246, v4 f54-56; declaraþii de martori vol18
f1-12]
explicaþie: Acest al doilea caz a fost
descoperit de cãtre AFDPR Neamt, dupã sãpãturile din 1990 care au provocat furia torþionarilor ºi
represiunea noastrã din 16.12.90. Acest caz a fost transferat la 25.01.1995 la
Parchetul militar teritorial Bucureºti (dosar 146/P/95) ºi închis cu NUP de
cãtre procurorul Dan Finica, la 08.11.96, cu aceeaºi motivaþie inacceptailã:
prescripþia ar fi curs pînã în 1990.
c. Alte cazuri închise de procuraturã (Briceag, etc)
document: extras din [29 v1, f20, 23-26, etc] -
cazul Spermezeu, vol 38 - cazul Suvac, Ursu, Bulea (procuror Tanasa)
explicaþie: Din multitudinea de cazuri
similare închise ilegal de procuraturã,
generalul Voinea a recuperat cîteva reîngropate ulterior de Ion Vasilache.
Exemple – la vol.38 la f3 (NUP al procurorului Tanase din 16.12.1996, în
cazurile Suvac, Bulea, Ursu), sau vol.30 f96 –cazul Tira Gheza. În [29 v1] sunt
expuse rezoluþiile NUP ale lui Ilie Botos din 10.01.1997 - in dosarele
342/P/1995-f.19, 980/P/1995-f.25 ºi 981/P/1995-f.26 ºi ale lui Marius Budu din
31.10.1996 – în 979/P/1995-f.23 , 350/P/1995-f.28 ºi 1410/P/1995-f.27. Crimele
lui Briceag, ºeful Securitãþii din Dej, au fost spãlate la cererea lui Samoilã
Joarzã (f.14) . NUPurile iniþiale fiind justificate pe baza prescripþie (în
1990!) cu argumente ca [29 v1, 23] "Chiar dacã s-ar interpreta teoretic
cã, din cauza imposibilitãþii din acea epocã de a reclama prezentele fapte din
cauza fricii de repercusiuni, aceasta ar echivala cu o întrerupere a cursului
termenului de prescripþie, aceastã ipotezã nu poate sã schimbe soluþia în cauzã
deoarece intrã în joc prescripþia specialã prevãzutã de art 124 din codul penal
("si
el est passé encore o moitié terme") Nici un cuvânt despre celelalte temeiuri ale non-prescrierii,
articolele privind genocidul sau la
articolul 128 - cu privire la suspendarea prescripþiei pentru forþã majorã. În acest timp anchetarea celorlalte crime ale lui Briceag a fost blocatã
ºi acesta a fost albit ca element
impecabil cãruia i se poate reduce pedeapsa
minimã pentru a aplica amnistia din 1988 (în
procesul Drãghici-vezi
mai jos- [29 v4]).
d Dosarul Draghici/Ibrahim Sefit,
închis în 1968 de Comitetul Central al
Partidului Comunist Român ºi dupã 1990 de cãtre instanțele judecãtoreºti
document: extras din [29 v1; v4 f1-53]
explicaþie: Un caz foarte semnificativ,
deoarece, de data aceasta, un adevãrat procuror (Zaharia Nicolae în
rechizitoriul din 08.04.1993 în dosarul 393/P/1992, deschis pe 05.09.1992) a
subliniat în mod clar motivele de suspendarea
prescripþiea. El a arãtat cã inculpatul, Alexandru Drãghici, a
împiedicat judecarea propriilor crime, profitând de poziþia sa ca ministru de
Interne ºi cã Comitetul Central al PCR a luat (la 19.09.1968) decizia explicitã
de a acoperi crimele sale, aºteptînd - cu premeditare, împlinirea termenului de
prescripþie. Forþatã sã se îndrepte cãtre
condamnãri, dupã emigrarea si moartea lui Drãghici, Curtea Supremã de
Justiþie, Secþia Militarã, la 02.06.2007 (cauza 46/1995) i-a condamnat pe
ofiþerii care au executat asasinatul comandat de cãtre acesta, la doar 10 ani
(sub pragul minim de pedeapsã prevãzut pentru infracþiune), pentru a le putea
aplica amnistia din 1988 ºi pentru a evita astfel crearea unui precedent- en les mettant în închisoare. Justificarea
acestei clemenþe "supreme" este nãucitoare: ofiþerii criminali au
fost cadre exemplare (ale poliþiei represivee). Aceasta (a se vedea punctul c)
în timp ce unul dintre ei (Briceag) a fost albit de plîngerile penale pentru
alte infracþiuni, cu NUPuri ... motivate de prescripþie.
e Affaire Craciun, fermée par tribunaux
document: extras din [29 v1; v4 f 3-108]
explicaþie: Plângerea penalã depusã
la 21.12.1998 de cãtre mai mulþi deþinuþi politici FRFDPLA, împotriva lui Gh.
Craciun, ºeful sadic
al uneia dintre
inchisorile de exterminare, rezultând într-o anchetã care a deschis dosarul 513/2000,
la Tribunalul Militar Teritorial,
deoarece rechizitoriul din 7.09.2000
demonteazã argumentele vide împotriva
suspendãrii ºi întreruperii prescripþiei ºi aratã cã amnistia
din 1988 nu se
aplicã (pedeapsa apropriatã fiind mai mare de 15-20 de ani). Dar atunci
cînd nu se mai poate evita
audierea lui Craciun ... acesta moare, ceea ce
închide (TMB - 11.09.2001), singurul proces care pãrea sã conducã
la o condamnare. Desigur
- victimele nu
mai pot solicita despãgubiri
nimãnui, pentru cã în România nu se
practicã soluþia corectã pentru aceastã situaþie
– angajarearãspunderii statului comitent, care sã se poate întoarce apoi in regres cãtre
prepuºii sãi vinovaþi.
f Cazul Diamandi -Misu Dulgheru
(Dulbergher) [29 v1; v4 f74-77]
document: extrait [29 v1; v4 f74-77 v38 f17-51]
explicaþie: Cazurile ajunse în faþa instanþelor
de judecatã au fost, de asemenea, închise prin invocarea prescriptiei,
care ar fi trebuit întreruptã. Generalul
Voinea a studiat cãteva (procesele Draghici si
Craciun fiind foarte semnificative)
care aratã caracterul sistematic de du déni de justice, justifie la suspension à jour
– pentru forþã majorã. Circuitul cazul Diamandi este
asemãnãtor cu al meu. Dupã demersuri penibile pentru
a gãsi urmele dispãrutului,
clasate în1992, descendenþii lui Alcibiade Diamandi ucis
prin torturã în 1948, au depus o plîngere
penalã împotriva lui Dulbergher
Misu si Zotescu
Nicolae, plîngere închisã cu NUP (rezoluþia SPM din 19.02.1999 pentru cazul 11 /
P / 1998) prin invocarea dolozivã
a prescripþiei. plângeri legale
Dar plîngerile în justiþie contra acestui abuz s-au lovit (dosarul 73/2005, Curtea militarã de
apel, sentinþa nr.9 din 17.08.2005) de aceeaºi
"orbire" criminalã.
g Recursuri extraordinare în anulare,
cazul Roventu
document: extrait [29 v1; v4f74-77]
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/roventu/
explicaþie: Singura concesie fãcutã victimelor de cãtre instanþele de judecatã a fost admiterea cîtorva recursuri în anulare de cãtre Procurorul General sau revizuiri
solicitate de sute de victime ale jusþiei comuniste (exemple- cazul
Porumb- 16506/55/2006 vol.4 f.71-73, cazul Soare/157/2007 vol8 f180-193,
cazul Moldovan vol19 f44-66, cazul Duzineanu - sentinþa 85 din 6.1.1994 v20
f240-247, cazul Bulea D Mihai (vol 23 f95),
cazul Ursaceascu, Lungu,
Ciobancan (vol 24 f1-74). Cu mare grijã ca, cu aceastã
ocazie, legitimitatea legalitãþii
comuniste sã nu fie
contestatã, sã nu fie rãsturnate "retroactiv", prezumþiile conform
cãrora cei care au încercat sã rãstoarne
regimul au fost pedepsiþi pe bunã dreptate - pentru
cã ei au încãlcat legile, în timp ce securicomuniºtii
care l-au apãrat în forþã, nu pot fi acuzaþi,
fãcîndu-ºi datoria legalã.
Ca în penibilul proces 3/1998, atunci când completul CSJ, prin Decizia 40
din 12.10.1998, a revizuit sentinþele din lotul Maniu, de
o manierã ce trãdeazã memoria preºedintelui martir al Partidului
PNÞ (vol.24 f
0.116-143). În alte
cazuri, aceste recursuri au fost tratate
ca înainte de 1990.
Cazul cel mai frapant fiind menþinerea în detenþie a grupului
condus de Viorel Rovenþu
care furase douã
pistoale mitralierã în 1983, cu intenþia de-nerealizatã- de a-l executa pe tiranul Ceauºescu. Pedeapsa
lor cu moartea prin sentinþa 63 din 12.10.1983,
comutatã în 1984 la 25 de ani de temniþã grea, nu a beneficiat
de amnistie din 1988,
grupul de patrioþi rãmînînd în
închisoare pânã în 1999 ...
când a fost graþiat
de cãtre Emil Constantinescu.
Dupã 1990 Roventu a fost supus unui
tratament similar celui anterior (torturã, nedreptate etc.) pentru a-ºi
fi manifestat anticomunismul sãu rezidual.
Iatã sensul juridic al tranziþiei:
doar cei corecþi pot intra sau rãmîne în
închisoare.
h Cazuri înãbuºte ãnainte de 1989 (Canal, Salcia, Pitesti, Draghici etc.)
document: extras din [29 v1 f23-30; v4 f74-77;
v31 f94-211, v30 f1-41, v 44]
explicaþie: Din
motive
strategice, regimul comunist a simulat în cîteva reprize
cã recunoaºte unele abuzuri, explicate prin excesul
executanþilor ordinelor paretidului: cazul
Canal [29 vol.44)], Pitesti [29 vol.28 f150-155], Salcia [29 vol.30 f.2-41)],
Draghici [29 vol4 f89 vol30 f39-41], Pãtrãºcanu (vol.28 f.317-334) etc. Dar aceste reconsiderãri dictate
de sus nu au dat victimelor
dreptul la plângeri în justiþie. Din contra, recursul a fost împiedicat la cel mai înalt nivel. Dupã o scurtã perioada de sancþiuni,
cadrele pedepsite în dosarul Salcia cadre au fost reabilitate
prin decrete ºi repuse în
funcþie! Milioanele de victime nu
au fost încã dreptul la o reparaþie. Înainte de
1989 o plîngere ar fi dus la
represalii zdrobitoare. Dupã, ele
au dus la demersuri juridice interminabile
sau întrerupte cu
classement sans
suite.
explicaþie: Am expus pe Internet numeroase
rapoarte ºi analize privind evenimentele
din 1990 ºi investigarea lor de cãtre parchet, regrupîndu-le pe site-ul
meu: "Piaþa Universitãþii Distribuitã", discutîndu-le cu
participanþii la forumul aferent, în particular în secþiunile «Decembrie 1989» ºi «Revoluþia ºi
contrarevoluþia din 1990».
contenu: www.piatauniversitatii.com
http://www.piatauniversitatii.com/forum/index.php
a Forumul "Revoluþia din decembrie 1989"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/forum/viewforum.php?f=21
explicaþie: Dedicat mãrturiilor despre evenimentele din decembrie 1989 ºi
relatãrilor ºi comentariilor privind tratamentul lor de cãtre parchet ºi
justiþie. O revoluþie neputînde dura ºase zile, este vorba doar de o
etapã crucialã, urmatã, din pãcate, de contrarevoluþia perfidã a FSNului criptocomunist.
b. Forumul "Revoluþia ºi
contrarevoluþia din 1990"
document:
http://www.piatauniversitatii.com/forum/viewforum.php?f=22
explicaþie: Dedicat mãrturiilor despre evenimentele
din 1990 ºi relatãrilor ºi
comentariilor privind tratamentul lor de cãtre parchet ºi justiþie. Este povestea luptei disproporþionate
între forþele contrarevoluþionare conduse de
FSN ºi contestatarii zdrobiþi de acestea.
c. "Întîlniri cu Gheorghe Nechita
Dorel - o istorie în douã pãrþi"
document: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-314-2005-1
explicaþie: La data de 22.01.05 am
postat aceastã mãrturie privind cazul
Gheorghe Nechita, coechipierul
meu la balcaniada de matematicã pentru studenþi care a avut loc
la Ankara în 1980,
unul dintre revoluþionarii
uciºi în decembrie 1989 , în condiþii obscure.Aflînd, dupã 15 ani,
de vestea morþii sale, m-am simþit obligat sã intervin pentru ca ancheta sã fie deblocatã.
Asa cã am parasit locul de munca ºi domiciliul meu din Montreal si am ajuns faþã în faþțã cu generalul Dan Voinea
care instrumenta ºi acest dosar
(97/P/90), fãrã a reuºi sã-l
conving sã-l alãture celui al mineriadei, cum ar fi fost cazul.
d. " Eºecurile unui anticomunism
confiscat ideologic", 27 janvier 2006
document: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-9-2006-1
explicaþie: În aceastã analizã, am denunþat derapajul
analizei juridice a crimelor comunismului, cãtre o dezbatere ideologicã, dreapta ºi stânga partajînd interesul de a nu recunoaºte
cã în spatele elucubraþiilor teoretice, se ascunde un gigantic viol al drepturilor omului.
e. Rosca, I. Organising a public
information space about the crimes of a totalitarian regime, InSciT2006 Merida,
Digital libraries track. Proceedings in Current research in information science
and technologies, Vicente P.Guerrero-Bote ed. pp 191-197, 2006
document:http://www.ioanrosca.com/education/articles/organising_a_public_information_space_about_the_crimes_of_a_totalitarian_regime.pdf
explicaþie: Constatând cã organizarea
cercetãrii privind genocidul comunist este total inadecvatã, am încercat sã
suscit interesul comunitãþii ºtiinþifice internaþionale, asupra provocãrii
constituitã de gestiunea documentaþiei specifice. Din pãcate, nu am gãsit
sprijin pentru realizarea acestui proiect de organizare a sinapselor teleinformatice pentru memoria
colectivã a unei reþele sociale justiþiare.
f) "Apel la consolidarea dosarului
P75/97"
document: http://www.piatauniversitatii.com/forum/viewtopic.php?f=22&t=491
explicaþie: Încercãrile
mele de a semnala anchetele victimelor represiunilor FSN în întreaga þarã ºi pe tot parcursul anului
1990, lovindu-se de un boicot mediatic total, am plasat aici, pe
12.12.06, apelul de
a sprijini ancheta realizatã de echipa Voinea.
g. "13 iunie 2007 - un bilanþ",
10/06/07
document:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2007-6
explicaþie: În
acest editorial am revelat ºi explicat blocarea anchetelor penale, în contrast
cu declaraþiile justiþiare ipocrite ºi goale ale prºedinelui Basescu
si cu paradigmele demagogice ale falºilor combatanþi civici.
h. "Sãriþi!"- 21.06.07 ºi
"Manifest pentru rezistenþã"- 22.06.2007
documents: http://www.piatauniversitatii.com/forum/viewtopic.php?f=22&t=618
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-3-2007-6
explicaþie: Aflînd
de la domnul
Voinea despre intenþia parchetului de a declina cauza cãtre procurorii de la
secþia civilã, am lansat pretudindeni mesaje de alarmã, inclusiv cel difuzat pe
21/06/07. Editorialul din 22 iunie face rechizitoriul unei societãþi
degenerate, care renunþã la reabilitarea justiþiei, încercînd sã ascundã
laºitatea ºi complicitatea generalã.
i "Cum putem merge înainte
?"-15/09/07
document:
http://www.piatauniversitatii.com/forum/viewtopic.php?f=21&t=632
explicaþie: Am semnalat în acest apel situaþia
gravã creatã prin disjungerea pãrþii civile ºi
declinarea sa cãtre SUPC. Strategia adoptatã de cãtre generalul Voinea
(care a încercat sã împingã la capãt partea militarã a
cauzei, s-a dovedit a fi deficitarã, aºa cum am ºi prezis de altfel.
document: http://www.procesulcomunismului.com [29, vol 48 f. 61]
explicaþie: Dupã întâlnirea cu Cicerone Ionitoiu,
am lansat acest spaþiu la 01/11/2004, tratînd procesul comunismului, al
contrarevoluþiei si tranziþiei criminale ca un proiect de societate, cãruia
i-am prezentat scopurile, etapele, metodele, instrumentele. În cadrul primei
etape, de documentare, am adãugat la colecþia - probatoriu copii digitalizate
ale unor cãrþi (a cãror editare electronicã ºi difuzare ne-a fost permisã) în
care crimele comunismului sunt prezentate de cãtre martori direcþi. Acest
material a fost pus la dispoziþia echipei de investigaþie a parchetului.
Am regrupat aceste mãrturii în
sub-colecþii, din care nu prezint decît titlurile cãrþilor:
a. Colecþia Cicerone Ionitoiu,
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/
explicaþie: 1. Rechizitoriu –
Genocidul din România: repere în procesul comunismului 2. Victimele terorii
comuniste. Arestaþi, torturaþi, întemniþaþi, uciºi. Dicþionar. 12 volume (de la
A la R). 3. Martiri si mãrturisitori ai bisericii
catolice. 4. Martiri si mãrturisitori ai bisericii ortodoxe 5. Rezistenþa
anticomunistã din munþii României 6. Reprimarea rãscoalelor
þãrãneºti 7. Morminte fãrã cruce -vol 1-3. (http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/morminte1/ volumul 1 en français ) 8. Viata politica si procesul lui Iuliu Maniu. 9 Album al eroilor din decembrie
1989. 10. Arestaþi în 21-22
decembrie 1989
11. Arestaþi în 13-15 iunie 1990
12. Alte publicaþii 13. Album al martirilor
b. Colecþia Remus Radina,
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/rradina/
explicaþie: 1. Testamentul
din morgã. 2. Securitatea îºi hãrþuieºte victimele 3. Refuz decoraþia lui Iliescu! 4. Eforturi pentru informarea occidentului despre suferinþele românilor
sub jugul comunist 5. Cãtre liderii democraþiilor occidentale (versiune în francezã)
c. Colecþia Gavril Vatamaniuc
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/vatamaniucg/
explicaþie: 1. Necrolog din 2012 2. Muntele mãrturisitor – relatarea vieþii unui partizan pentru libertate 3.
Mãrturie filmatã a lui Vatamaniuc- în 55 de episoade, de mare importanþã
istoricã ºi juridicã 4. Apariþie la televiziune, alãturi de mine – la 19 dec.
2006
d. Colectia marturiilor ºi analizelor
despre perioada 1945-1964
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/mart45_64/
explicaþie: Cîteva cãrþi - mãrturie, din
sutele publicate dupã 1990 (Grigore
Caraza, Ion Gavrilã Ogoranu, Atanasie Berzescu, Pintilie Iacob, Aspazia-Otel)
ºi cîteva analize pe acest subiect
(Nicoleta Chicinas, Florin Baranescu,
Adi Daschievici, Stelian Gombos)
e. Colecþia « Fenomenul Pitesti » (reeducarea):
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/pitesti/
explicaþie: 13 cãrþi - mãrturie de: Nicolae Popa, Octavian Voinea,
Dumitru Bordeianu, Grigore Dumitrescu, Ioan Muntean (2), Viorel Gheorghiþã (2),
Constantin Merisca, Eugen Magirescu, Aurel Visovan, Traian Popescu, Dumitru Bacu,
o rezoluþie a simpozionului PERT de la Pitesti.
f. Martiriul Basarabiei ºi Bucovinei:
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/basarabia/
explicaþie: Basarabia ºi Bucovina au fost
ocupate de sovietici în 1940, dupã un ultimatum care se baza pe pactul secret
Hitler-Stalin (Ribentropp-Molotov). URSS ocupant a lansat un genocid
socio-politic cu puternice conotaþii etnice, revelate de texte cum ar fi cele
ale Aniþei Nandriº ºi Vadim Pirogan. Pentru recuperarea acestui teritoriu furat
si salvarea vieþii românilor ce nu fuseserã încã deportaþi ºi uciºi in Siberia,
a intrat România în al doilea rãzboi mondial în 1941. Pierzîndu-le, aceste
istoriceºte româneºti, au fost incluse de cãtre Stalin în "Ucraina"
ºi "Moldova" nefiind încã recuperate. Jocurile geopolitice nu ar
trebui sã ascundã amploarea extremã a genocidului anti-românesc, care a avut
aici vîrful.
g. Asociaþia des anciens deþinuts
politics en Roumanie,
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/afdpr/
explicaþie: Am reluat
doar douã albume memoriale
din activitatea celei mai mari a
deþinuþilor politici, care a încercat sã îmbunãtãþeascã condiþiile de viaþã ale
victimelor supravieþuitoare.
h. Literatura de detenþie - Mihai
Radulescu
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/mradul
explicaþie: Demersul memorialistic nu
este numai de interes literar. Este
vorba despre literatura românã de
detenþie, un fenomen din pãcate important, având
în vedere numãrul de intelectuali
închiºi de regimul comunist, unde o poezie consideratã ca ofensatoare costa 15 ani muncã silnicã, ºi eventual, viaþa ...
i Colecþia Sergiu Grosu ºi Nicole Valéry
Grosu
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/grosu/
explicaþie: 1. levage des cerveaux-
complot psycho-politique comunismului 2. Au milieu de l'abîme. règne de
haine sous comunismului. 3 De tout cœur. 4 Hégémonie de violenþ 5 devezi
souvenir - calendrier des persécutions religieuses în pays communistes 6 Au secours de vérité -
pensées au début millénium 7 Pensant la Bassarabie
j. Colecþia Viorel Roventu
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/roventu/
explicaþie: cas care prouve parfaitement
continuité régime répressif, dupã 1990. On ne peux donner que aceastã
explication l'abus incroyable souffert par cet homme, care a voulu assassiner
en 1983 dictateur… exécuté - pentru génocide- par FSN 25.12.1989, care a resté
en prison jusqu'à 1999, souffrant, en réclusion injuste ºi illégale,
vengeance securi- communiste. Cela
pendant que tout autres délinquants des
prisons communistes avaient été libérés, même si ses complices complot de
1983 contre Ceausescu avaient témoigné sur vrai but, patriotique ºi libertaire,
de Roventu.
k. Colecþia Ion Bugan,
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ibugan/
explicaþie: Un autre Mãrturie care montre continuité de répression
(après 1964), M Bugan étant emprisonné de nouveau dupã aceastã date,
pentru avezi exprimé son désaveu face la politic de Ceausescu. : 1. Information
biographique 2. cauchemar de Jilava 1945-1964 3 Deva, Hunedoara ºi l'or. 4.
condamnation pentru manifestaþia de 10.03.1983 5 harcèlement de famille
Bugan 6. Mãrturie sur traitement psychiatrique appliqué aux
opposants anticommunistes de Roumanie 1945-1989. 7 Amnesty international
meeting. 8. "The Cold War Veterans Asociaþia For Freedom And Human
Rigts" - Michigan, USA 9. L'assassinat par des méthodes diaboliques des deþinuts politics de Aiud 10. colonies de lucrarea de l'île grande de Braila
ºi l'instruction forcée 11 L'industrie crime organisé commis par des
terroristes internationaux 12. Mãrturie - proteste 13 Crimes commis par police
politic communiste de Roumanie 1983-89 14 Génocide communiste -Ana Pauker
(Hannah Robinshon) 15 décision sur sa qualité de combattant în résistance
anticommuniste. 16 délateurs pénaux
l. Colecþia des mãrturii ºi des
analyses sur période 1965-1989
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/mart65_89/
explicaþie: el n'y a ici que quelques artic (
de Nica Leon, Ioan Bozac, Radu Negrescu-Sutu, Iulius Filip, Liliana Corobca)
sur aceastã période , cînd régime a changé
méthodes dar pas caractère. Nous n'avons pas accordé encore
l'importance nécessaire a aceastã section, seulement parce que victimes de période précédente sont en train
de disparaître, ce care a imposé de prélever leurs mãrturii cu priorité. Nos
allons insister sur démonstration de continuation régime répressif - que
procuratura complice a déclaré terminé en 1964, pentru puter prescrire génocide.
m Colecþia des mãrturii sur revoluþi de
decembrie 1989 ºi Colecþias CADA, Marius Mioc, Nica Leon , Dumitru Dinca
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/rev89/
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/cada/
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/mmioc/
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/nica_leon/
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/dincad/
explicaþie: répression sanglante de
revoluþi de decembrie 1989 a fost suivie, o fois que dictateur a fost renversé,
de son détournement par FSN. Des importants acteurs des evenimentele
analysent ici ces phénomènes. Ce n'est qu'une goutte de littérature care
documente cet important épisode génocide communiste, care a marqué passage în o
nouvelle phase, transition feseniste.
n. Colecþia Dumitru Iuga
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/iuga/
explicaþie: Un autre cas expressif, care
montre sort de ceux care ont osé s'opposer au régime dupã 1964. Un homme care a
fost emprisonné entre 1983 ºi 1988
pentru avezi contester régime ºi care a
essayé en vain, dupã 1989. d'obtenir o satisfaction justicière.
o. Colecþia des mãrturii sur revoluþi de
1990 ºi sur transition criminelle, ºi dosars Toader Stetca ºi Mircea Sevaciuc
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/rev90/
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/tranzitia/
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/stetca/
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/sevaciuc/
explicaþie: lutte entre revoluþi ºi
contrarevoluþiei a continué toute l'année 1990, opposant camps pro ºi anti- communistes. D'une
part, forces conduits par deuxième
échelon de nomenclature parti répressif (Iliescu, Roman, Brucan, Barladeanu
etc) , d'autre part anciens prisonniers
politics ou de conscience, comme M Sevaciuc (qui avait participé aux révoltes
de Brasov en 1987 ) ou Toader Stetca (qui a essayé de redonner terre volé aux
paysans propriétaires, souffrant
représail régime continuateur des abus fonciers.
p. Colecþia Constantin Cojocaru.
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/cojocaruc/
explicaþie: C'est probablement noyau de
l'affaire, M Cojocaru, docteur en économie
étant celui care a mis en évidence
buts (et résultats) économiques (et sociaux) de l'opération cohérente de
spoliation de population, déroulée depuis 1944.
Chassé par régime, el este revenu en 1990 pentru combattre pillage de
l'économie nationale bâtie par
prisonniers camp communiste, au nom de "privatisation". el a
expliqué au public ºi au puter FSN enjeux, en militant tous niveaux pentru qu'on distribue des actions
aux vrais propriétaires patrimoine administré par l'état. Ces effort n,on pas
réussi que de prouver de façon irréversible préméditation cu laquelle régime
FSN a accaparé biens communs peuple
roumain pentru distribuer la
clientèle communiste. în préparation de ces manœuvres de
"privatisation", l'immense majorité des entreprises ont été
détruites, banques de l'état ont été
porté en faillite, économies de
population annihilés, ressource pays
vendus pentru rien aux étrangers disposés de profiter massacre.
q. Colecþia Ioan Rosca ºi autre plaidoiries pentru procès
comunismului
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/irosca/
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/pled_proc_com/
explicaþie: Ce ne sont pas arguments ºi
appels care ont manqué (comme cel de Ioan Rosca, Ion Varlam, Gh
Gapriliea Copil, Nicolae Constantinescu, Sorin Iliesiu etc.) dar volonté
politic. On ne peut pas juger crimes
d'un régime au puter .
r. Colecþia Livia Dandara
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/cdandara/
explicaþie: o importante section
documentaire (synthèse bibliographique, signaux de presse- commentées,
analyses, réquisitoire) - o sélection de ces synthèses étant déposée au
procuratura [3]. Cet étude ºi conçu par un docteur en histoire contemporaine,
reflétant: 1. origines pourries régime
communiste (argenture soviétique complotant contre l'état roumain, avant 1944) 2. étapes de répression : violente extrême
(1944-1964) ºi de l'apprivoisement (1965-1989) 3. couches socia frappées par génocide
anti-roumain, entre 1944 ºi 1989 (tableaux analytiques ºi chronologie- par
couche) 4. abus commis par FSN dupã
1990, pentru empêcher jugement des auteurs génocide ºi lustration des
gardiens gigantesque camp de concentration qu'était devenue Roumanie.
s Actions pentru mémoire, vérité ºi
justice
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/actiuni/
explicaþie: Certaines victimes ou
descendants des victimes (V Georgescu-Barlad, G Leu, Ceangu, D Iosuf, A
Popescu, D Susman, A Maleanu, A Constantin, M Sabau, C Tapus etc. ont proposé des informations supplémentaires
sur dosars des victimes. On aurait voulu
(vezie l'article pentru conférence de Merrida-[17]) que toute population
participe l' effort d'organisation d'une mémoire collective, structurée sur
base d'une ontologie terreur ºi basé sur des signets bibliographies. dar nous
n'avons pas encore trouvé support nécessaire pentru ce projet.
explicaþie: Mes demerss auprès
procuratura (et conséquemment- des tribunaux) bien que personnelles, ont eu
aussi caractère d'une vaste représentation: au premier niveau- des
membri CRVC, au second- des victimes care
n'ont pas pu vezi lumière pénétrer în justice roumaine, pentru
lesquel droits stipulés par convention
CEDH ont été violés.
a. L’appel pentru création CRVC,
08/05/06
document: http://www.piatauniversitatii.com/news/editoriale/comitet_victimele_comunismului.htm
explicaþie: Constatant que, d'une part,
soi-disant condamnation comunismului pratiquée en Roumanie este o farce et,
d'autre part, enquêtes au
procuratura militaire ne partent pas de racine mal, j’ai lancé publiquement cet
appel. el a fost signé par véritab vétérans de résistance anticommuniste
roumaine, care par suite on constitué CRVC.
b Declaraþie CRVC
documente: http://www.procesulcomunismului.com/lista_membri.htm
explicaþie: Un document émis 3
août 2006.qui montre que nous étions conscients de situation de justice
c plîngertypée CRVC
document: ataºatã ,http://www.procesulcomunismului.com/plingere_procuratura .htm
explicaþie: dupã constitution CRVC,j'ai
conçu o plîngertypée [21c], déposée au procuratura par nombreux signataires,
care ont ajouté des considérations personnel în
declaraþies de partie lésée [21d] intégrées au [29].
d Sentence CRVC
document: http://www.procesulcomunismului.com/sentinta.htm
explicaþie: Beaucoup de ceux présents aux
réunions de Bucureºti CRVC ont exprimé leur méfiance envers justice roumaine
(pleinement confirmée) în un document de condamnation morale, prononcé
03/08/2006 [29 vol 7 f 47]
e. Listes de signatures
document: ataºatã ,
http://www.piatauniversitatii.com/news/editoriale/comitet_victimele_comunismului.htm
explicaþie: liste initiale de 8.05.2006,
publiée par Romania libera ºi celle placée actuellement sur site projet. Des
listes care auraient être mis jour, dar rythme des décès nous a
paralysé…Mais déjà, celui care connaît géographie de résistance
anti-communiste réelle réalise vite ce que aceastã liste contient ºi
représente. Ce care ne veut pas dire que seulement anciens deþinut politics ou combattants héros
se considèrent victimes comunismului ou peuvent demander que justice
soit faite.. Bien sur que l'autre groupe, de ceux care considèrent
que cations en justice n'ont pas (plus)
de sens a aussi droit (la légitimité) d'avezi o autre position.
f
Activité CRVC (jusqu’en 2008)
document: http://www.procesulcomunismului.com/activitate_procuratura.htm
explicaþie: Lors des réunions CRVC, j'ai
reçu mandat de coordonner raports cu
justice. J'ai affiché continuellement l'avancement de ces demerss în ce
fichier- care peut servir de référence pentru comprendre comment enquêtes ont été étouffées.
explicaþie: dupã o année de collaboration
cu l'équipe Voinea în dosar Ioan Rosca inclut în 75/P/1997 (vezi [47]), je suis
arrivé la conclusion que enquêtes
procuraturii n'avaient pas base care aurait permis leur connexion în dosar de
contrarevoluþiei FSN. On investiguait
cînd ºi comment des infractions composantes dar non pas pourquoi de leur
déroulement. el était nécessaire de prendre note but des manifestaþias de 1990,
écrasées par forces contrôlées ou
manipulées par Front: condamnation des crimes communistes ºi l'éloignement des
coupab puter , pentru débloquer justice ºi libérer peuple roumain. . dupã avezi
reçu réponses positives (de part des
figures majeures de résistance écrasée) mon appel pentru constitution CRVC ºi
pentru reprise des actions en justice, pentru juger crimes des communistes, j'ai demandé M Voinea
de recevezi notre délégation. Lors d'un premier rendez-vous, 29.06.2006, mes
invités: Ionitoiu, Caraza ºi Jijie ont depus des premières declaraþies (21.d). Ultérieurement, nous avons établit
qu'il serait bien d'avancer o plîngercollective, contenant ºefi
de plîngergénériques, signé par
membri CRVC , care pourrait ajouter
aspects plus personnels (particuliers) des plaintes individuelles.
J'ai rédigé plîngergénérale
(vezi 21.b), en l'organisant en deux grandes partie: 1 Avant1989- génocide
pendant régime communiste 2 dupã 1989- sa continuation, par protection ºi
l'enrichissement des coupables. în partie 1, j'ai considéré deux pistes
majeures: a. L'imprescriptibilité crime globale contre l'humanité b. démonstration que même disjointes
crime global, crimes composants
n'étaient pas prescrits, cause des interruptions ºi des suspensions care
s'imposaient.
Dans partie 2, j'ai demandé
condamnation de ceux care ont empêché punition des crimes comunismului
(rappelés au chef 1) dupã 1990, prolongeant
raisons de suspension. pentru démontrer blocage complice de justice, ma
qualité de réclamant pentru chef 2 (pour 1 je me considérai aussi touché, comme
bien d'autres prisonniers régime,
même si je n'ai pas été deþinut politic) ºi pentru refléter moyens utilisés par FSN en 1990 contre justicières, j'ai relaté în o
plîngerpersonnelle (21.a) evenimentele
de decembrie 1990 Piatra Neamt, dupã découverte de Dealul Marului ºi l'appel au
procès comunismului.
Initialement, în version déposée 31.07.08, j'ai répliqué în
partie 1 22 ºefi d'accusation contenus în un réquisitoire public promu par Sorin Iliesiu
(qui, son tour, avait extraits de
divers travaux antérieurs, y inclut
nôtres) - pentru l’unité des
demerss justicières anticommunistes. Puis, j'ai saisi que punctul 12 de liste
Iliesiu mystifiait raport des Juifs de
Roumanie cu régime communiste, en reformulant.
J'ai réorganisé aceastã occasion liste des péchés régime, en 15 punctuls
ºi j'ai depus aceastã nouvelle forme (21.c)
4.08.2008. Tel que décidé par
membri de CRVC [20] aceastã
plîngertypée commune a fost assumé par
nombreuses personnes, care l'ont signée ºi déposée au parquet. El n'ont jamais
reçu de réponse, quoique plaintes contenaient notess, în
tableaux des signatures.
A part plaintes typées, o multitude de personnes ont
depus des plaintes individuelles, des mãrturii ºi des declaraþies de partie
lésées (21.d) plus riche en détails accusateurs étant celle de Cicerone Ionitoiu
(21e) déposée par moi 04.09.2007.
a plîngerIoan Rosca, soumise 31.07.2006
la section militaire a parchetului auprès ICCJ
document: [29, vol 2, f2-5, vol 48, f 57]
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-2-2006-7;
explicaþie:Même contenu que
plîngercommune-b , plus description de répression de 16 decembrie Piatra Neamt .
b Première plîngercommune (Ioan
Rosca , Cicerone Ionitoiu, Gheorghe Jijie, Liviu Tudoras, Razvan Paraianu) - la
section militaire a parchetului auprès ICCJ, pentru dosar 35/P/2006
document: [29, vol 2, f6-8]
explicaþie: plîngercommune assumée par anciens deþinuts politics care m'ont
accompagné au procuratura 31.07.2006, enlevant texte éléments liés la répression de Piatra Neamt.
c Plus de 180 plaintes collectives
(identiques)- déposées par membri CRVC
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2006-8
explicaþie: Aceastã deuxième
plainte, typée, a fost
déposée 08.04.2006 (s'ajoutant
signataires Ionel Danis ºi Vasile Boroneant). Ultérieurement, de
nombreuses victimes ont depus des plaintes identiques, utilisant ce
modèle. El sont placées en plusieurs volumes de l'ouvrage procuraturii [29]:
vol 2 f 14-16 Ioan Rosca, Cicerone Ionitoiu, Gheorghe Jijie,
Liviu Tudoras, Razvan Paraianu Ionel Danis, Vasile Boroneant
vol 3 f 35 Mircea Serban
vol 7 f 37-47 86 signatures CRVC sur plîngertypée commune
, signatures indéchiffrab étant marquées
cu „?” : Rodas Constantin, Derdena Mihai, Popilian Marta, Caprariu Emil, Dutu
Georgeta, Neagoe Ilie Florin, Ionescu
Caliopi, Geancu Florea, Stoica Constantin Norocel, Costin Mirel, Georgescu Ana,
Vasilescu Suzana, Sprînceanã Dumitru, Turea Gheorghe, Giogea Maria, Anostasescu
Livia, Popilian Constatin, Anostasescu Octav, Cojocaru Alexandru Gheorghe,
Opriº Constantin, Nuþã Mircea, Ilie Ion, Davidescu George, Matraschoiu Ion,
Molocea Virgil, Nuþã Bogdan, Nastasiu Mihai, Sãcuiu Nicolae, Muºat Alin, Ivanov
Gh Pavel, Nicolescu Galina?, Constantinescu Gh?, Matache Constantin, Ion
Elisabeta, Covaman? Dana, Cocea Nicolae, Andronovici Constantin, Stunauta?
Ionache?, Macarie? Dumitru, Pârâianu Rãzvan, Cupacu? Stefana?, Kladni? Adrian,
Comºa Dumitru, Nuþu Ilie, Bulgãrea Mircea, Teodorescu ?, Savu? Dima?,
Vergulescu N?, Cohaneanu? Mihai, Georgescu Gh., Cordoi? Tanta?, Marinescu Pãun,
Enciu Neculai, Mazilu Alexandra, Nichifor Gheorghe, Ispas Dumitru, Predelman?
Maria?, Izvoranu Emil, Builã Florea, Isbãºoiu Mihail, Bradea? Brânzaº Cornelia
Floare, Iliescu Carmen Cristiana, Marinescu Mircea, Câmpeanu Tudor, Negoiþã
Ion, Bardac Nicolae, Mateescu Octavian, Pãduraru Victoria, Miculescu Alex,
Angelescu Alex, Popescu Traian, Cantor Valentin, Bota? Elena, Coseriu Iulian?,
? Florin, Tufeanu Mihai, Stoianovici Niculina
vol 9 f. 56 - 70 plaintes typées
signées par 27 personnes, signatures
indéchiffrab ( cause talon registre) étant marquées cu „?”: Ionitoiu Cicerone,
?Popaº Liviu Cezar, ?aioc Jenicã, ?marandache Gh, ?herman Eugen, ?adim Andrei,
?Pop Gh Ioan, Apostol Ovidiu, ?biescu Constantin, Geangu Constantin, ?Tãrãbac
Pandele, Mazilu D Gh, Dumitru Calin, Stoenescu Mirel, Constantin Cepleanu,
George Dumitrescu, Gabriel Gh, Engelbert Hoffman, ? Bârlãdeanu, ?aire Anca,
?asanu E, Alexandru Herlea, Ivanov Doina Lucia, Carmen Mitrea, Francine Strat
Petrulian, Pierre Strat, ?sescu Mihnea Serban]
f. 71-93 plaintes typées signées par 63 personnes, signatures indéchiffrab étant marquées cu „?:
Dascãlu Nicolae, Bãcanu Ioan, Coman Gheorghe, Nãstase Petre, Vasilescu
Corneliu, Niculescu Dumitru, Ciurea Maria, Petrescu Elena, Romana
Georgescu-Bârlad, Tanþa Diaconescu, Bloþ Maria. Mihail Georgeta, Miclescu
Ruxanda, ?anAna, ?enu Cornelia, ? Cristian, ?escu Ilie, ?pescu Mihaela
Cristina, Dimitriu Daniela, ?exiu Gheorghita, ? Stefana, ? Ecaterina, ? Doina,
? Eugen, ? Alexandru, ? Cristina, ? Maria Elena, ?Ana, Vladoiu ?, ? Eliza, Popa
Mihai, Camburov Mariana, Popescu Dorina, Popescu Viorel, Petre Datculescu,
Istrate Mihai, Begu? Valerian, Cristescu Ceaus?, Badea Dumitru, Vlad Virgil,
Grigore Sapunaru, Erusalim Balteanu, Berbescu Corneliu, Fedorean Gheorghe,
Silviu Petrescu, Mandea? Petru?, Ion
Adrian Doja?Fodoreanu, Constanta Birovescu, Pop Cornel, Lucian V Orasel, Alexandru Bogdan, Duca
Celestin, Ivan Ion, Constantin Motas, ?
Motas, Stoica Constantin, Sirbescu Nicolae, Bajenaru Stefan, Otparlic Rodica,
Otparlic Eugen, Mihalcea Ilie, Ratiu Eugen, Tutuianu Ana, Negrescu-Sutu),
f 102-104 plîngertypée de Vatamniuc Gaprilie
d. Plus
de 200 plaintes individuel ºi declaraþies de partie lésée
document: [29, vol2 f2, f9-13; vol3 f217-222;
vol.7 f26-35, vol.9 f98, vol.18,19-23, 25]
explicaþie: 29.06.2006, cînd nous avons
fait première visite au parquet, ont depus des plaintes personnelles:
Cicerone Ionitoiu (complété vol 14), Grigore Caraza (complété vol 23f4) ºi
Gheorghe Jijie (ajoutés au début un dosar génocide communiste existant
déjà au parchetul militaire territorial ºi conduit par procureur Popov,
complété vol 20, f191-201 ). Puis,
divers membri CRVC ont ajouté des plaintes ou des declaraþies diverses dates: N
Popa, Liviu Tudoras, V Boroneant, etc.
dosar ainsi formé (35/P/06) a fost
enrichi par des plaintes des autres victimes, harcelées ºi frappées de
1944 jusqu'en 1989:
Vol 1 FDAR Neamt- 4.10.1990 (430/P/1990- Dealul Marului)
f13-17, f80 AFDPR Cluj- 21.09.1992 (342/P/1995) f18,f28,f65 fondation Bereczky
Arpad (350-979-980-981) f20-26, Burzo
Ioan- plîngerde 13.07.91 (1410/P/1995) f27, AFDPR Neamt (146/P/1995- Dealul
Balaurului), Tolea Stelea- f.86; aussi v9f28-38, Poenaru Serban f92, Mircea
Morãrescu f 94, Pãvãlan Ctin f 98, Chira Augustin- f114, Ilie Raducu f122
Vol 2 (29.06.2006)
Cicerone Ionitoiu f 1, Ioan Rosca
f 2-5, Gh Jijie f 9-11, Grigore Caraza CRVC f 12-13
Vol.4 Parchet CSJ – 5.08.1992 (dosar Draghici- Briceag
393/P/1992- 57/1994- 46/1995) f1-15,
f79-88, Porumb Ioan-Aurel (165/C/2006)
f71, Diamandi Florica ºi Constantin 21.03-1995/7/P/1998-2.07.2004 (ICCJ
15434/1/2006- dosar Dulbergher) f.74-77, AFDRPL- 21.12.1998 (513/2000- dosar
Craciun)
Vol 6 Buhat Dumitru
Vol 7 Popescu D Ion- f26, Uniunea Veteranilor de Rãzboi ºi a
Urmaºilor de Veterani
Vol 8 Neagoe Valer , plînger07.1997, f 3-84, Ene Nicanor
97-128, Anghel Corneliu f129-144, ? (2624/2003, 885/1992) f 145-164, asoc. Suprema
recunostinta f 165-169 (l'action criminelle "L'Autobus"), Episcopia
Romana Catolica f 195, aprilie 1992- Procuratura Tirgu Mures- f197, Mercaº
Neculai f.198, Ion Bugan CRVC
f201-211, Nicolae Viºinoiu-f.212, Diocèse catholique Iasi- f217
Vol 9 Stefan Cucu- Uniunea Veteranilor de rãzboi f1-33, Tolea Stelea-f34, Gorea Ion (Vulturul
Brincovenesc- 1989) f98, Velicu Pepa (sotul ei) f158, Petculescu Stefan f213,
Anastasiu Ecaterina (Predescu Stefan) Gh f221, Teudorescu Lydia (Gh Gheorghiu
Marasesti) 226, 232 Ene Nicanor (Ene Victor) f225
Vol 16-17 Hurduc Valentin
Vol 18 Visovan T Marius
(Aurel Visovan) f29, G Vatamaniuc CRVC f53-58,
vol 19 41 plaintes : Andronescu Demostene CRVC f1-7, Grigoriu Mihail Atanase f9-11,
Botez Tatiana f12-13, Bura Alexandru,
f14-16, Mazilu Alexandra f17-18, Bãnicã Alexandru f19-20, Andreica
Vasile-Ioan-Gligore f21-23, Matarangã
Iancu f27-28 Grecu Gheorghe, f29-33, Iulian
Constantin CRVC f34-42, Moldovan Dumitru-Ioan-Mihail (dosar de recours en
annulation 31/1997) f44-66 , Beganescu Valerian f. 67-82, Vamanu Dumitru (cas
Grodiuc Aurelian, plîngerde 1996), Sturz Petru. 94-101, Capotã Iancu 102-107, Liga Horaþiu
Octavian 108-109, Copãlã ªtefan Neculae 110-114, Cîrje Octavian 115-120, ªtefãnescu
Mihail-Dan 121-124, Rogoz ªtefan 125-127, Alexandrescu Dan 128-130 Varzã
George 131-134, Bencze Iosif 135-139,
Ursu Aurel 140-142, Lai Emeric 143-145,
Ionescu Gh 146-149, Derdena Mihai 150-155, Purcãrea Neculae 156-159, Urdea
Gheorghe, f160-169, Nandra Iosif 170-172, Mînja Ecaterina, 173-174, Bratu Alina
175, Costa Dorel 176-177, Bulzan Gh 178-180, Savonea Mircea 181-184, Tarcea
Mircea-Dimitrie 185-191, Itul Nicolae 192-194 , Saftencu Mihai 195-198, Cantor
Valentin, 199-204, Cupaciu Sterie 205-210,
Bobia Gheorghe 211-213, Cîmpeanu Tudor.
214-219
vol 20: 48 plaintes: Brânduºa
Massion CRVC (Ionescu Vasile) 2-4, Voinea Zoiþa /5-6, Miculescu Alexandru /7-8, Voinea Zoiþa /9-10, Vlahbei Tãnase /11-17, Bãnculescu Ilie-Eliade /18-20,
Niculescu Ion /21-24, Isbãºoiu
Mihail /25-26, Stamanichi Mihai /27-27bis, Macarie Sergiu /28-32, Barba Sultana /33-34, Velicu Pepa /35-36, Rãducan Victor /39-43, Berendei Gheorghe / 44-47,
Barba Niculae /48-49bis,
Oprescu Teodosia /50-51, Tocan Ion /55-60, Petrea Victor /61-67, Caramihai Chiraþa /68-69, Coºeriu Iuliana /70-71, Drãghici Ion /72-76, Vulcãnescu Rodica-Smaranda /77-79, Dumitru Constantin /80-81, Rãduleami Galina /82-85, Roman Adelheid /86-87, Mitu Victoria /89-90, Lapa Christu /93-94, Barba Hristu /98-99, Alistar Dorela /100-101, Nichifor Gheorghe /102-106, Rãdulescu Zoea /107-109, Cristescu Ileana /114-119 , Zubaºcu Ioan /120-123. Massion (Ionescu) Brânduºa
Florica /124-127, Bota Ioan /128-135,
Volcinschi Raul /148-152, Ispas
Dumitru /154-158, Taban ªtefan
/160-164 , Þãrdel Marin /165-171 ,
Crisan Andrei Tiberiu /172-180, Dragomir
Silviu Virgil /181-187, Arieºan Grigore /188-191, Jijie Gheorghe CRVC
/192-201, Mei-Roºu Andronache
/205-210; Mangiurea Matei /211-217 Uruialã Florin /218-221, Baºturea Gheorghe /222-235 , Duzineanu Mircea /236-239 , Samoilã Elena /248-254 , Nicolau Mircea /255-260
vol 21 28 plaintes: Baghiu Aurel /1-3, Codrea Petru Anton /4-6, Boilã
Matei /7-14, Maghear Victor /8-30, Buteanu Mircea - Mihai /31-44, Paraianu
Rasvan CRVC /45-46 /1-46, ªtefãnescu Mihnea-Basil /47-49, Angelescu
Alexandru Victor-C-tin 50-57, Bãlan Ioan 58-59 , 18.12.2007, Enciu Neculai,
18.12.2007 /60-64, Nour Mihai /65-71, Teodorescu Lydia /72-79 ºi /83-86, Soare
Constantin /80-82, Tãnase Marilena /87-93, Marinescu Mircea /94-100, Buracu
Mihail /101-111, Mircea Nicolae 112-124, Tudoraº
Liviu CRVC /112-131, Corlea Gh
132-138, Jaluba Ionel 139-143, Mihalache Gh 144-147, Tricorache Ecaterin /148-151, Ionescu Galbeni
Vasile C-tin-Niculae /151-160, Bardac
Nicolae CRVC /211-215, Nour
Mihai /216, Alexandrina Voinea- 20.11.1994
/217-223, Andreescu Mihail/224-230, Tufeanu Mihail /231-234, Tripa
Octavian /235-238,
Vol. 22- 24 plaintes :
Georgescu Gheorghe-Valentin /1-3, Cãlinescu Viorica-Angela/4-7 , Moþei
Mircea /8-15, Bâgu Gh /17-20, Mircioiu
Gheorghe /21-26 , ªcheaua Lucian /27-29, Urse ªtefan /30-33, Burlacu Victor
/34-35, Leu Marioara/17-38, Mangiurea Matei 39-45, Boroneant Vasile CRVC
/46-57, Dumitrescu Paul C-tin /59-81, Popescu Traian-ªtefan /82-99 , Pop
Cornel-Gheorghe /100-106, Moþei Constanþa /107-112, Popescu Ioan.
/113-127, Popa Valeriu /138-144, Oprea Filofteia. / 145-151, Rodas C-tin /154-164 /
152-164, Popa Z. Neculai CRVC /178-180 Dascãlu Niculae /181-188,
Petriºor Marcel Aurel /188-199,
Baurceanu Ion /200-213, Morãrescu Mircea.
/ 214-234
Vol.23 15 plaintes Caraza
Grigore f2-6, Bagu Gh f7-9, Stanescu Tudor f10-19, Matei Gh.f 20-23,
Teudoriu Constantin 24-26, Poenaru Gh.27-32
Popa Neculai 33-43, Niculescu Stelian 42-43, Cudaciu Sterie 44-46, Butureanu Nicolae
47-50, Ionescu N Nicolae 51-53, Boroneanþ
Vasile 54-59, Stefan Cucu- Uniunea Veteranilor de razboi 10.12.1992
(288/II/16/1993 Trib militar Craiova) f60, caz Bulea D Mihai- f95, Andrei Ursu
f109-110, Sorin Iliesiu f112, Vasile Paraschiv- f126-147, av. Ionica Alexandru
f148-169, Gapriliea Mircea, Emil Gherman, Radu Suciu 170-72 (disparition des
prêtres catholiques) , Ioan Rosca ºi autres 4.10.1990 (430/P/1990
procuratura militaire Bacau) 173-181 (pour réouverture de 430/P1990 ºi
duplication en 35/P des documents déposés par Ioan Rosca en 75/P ), Stefan Cucu
f 189-209
Vol. 24 procureur général Parchet auprès cour
suprême de justice (Décision no.40 de 12.10.1998- lot Maniu)
Vol 25 Godja Anuþa f 26-27 (Mihai Stan.
I Maniu), Simeanu Vasile f52-57
Vol. 27 Senila Viorel f37, Muresan O Mircea f40, Stoica Florea f42, Popa M Aurel f44, Picã N Dorin-pag.47, Constantin Bulibasa
(Enculesi A) f151-192, IICC -Tira Geza-Chira Augustin- Pop Andrei f221-235-324,
FRFDPLA f231 (dosar Pitesti) , Liubovia Buºe (Caraghiaur Gh)-f 248, Morarescu
Mircea (qui demande condamnation de Ion Iliescu ºi Adrian Nastase pentru
blocage de justice dupã 1990) f253-358, Mica Anton, Besoiu Ion, Constantinescu
Grigore f321
Vol. 28 IICC- f1-9 (abus în
pénitentiaires- déclinée), FRFDPLA (dosar Aiud- Craciun ºi autres),
FRFDPLA f 11-13 (dosar Pitesti)
Vol. 29 Burzo Ioan- plînger1993 (434/A/VII/1993-1410/P/1995- dosar Briceag, crimes de Spermezeu).
Vol. 30 (probablement la demande de FRDPLA) procuratura
communiste 1954-56 (dosar Salcia-Cernavoda-Midia de 21 gardiens tortionnaires-
Tribunal Militaire), Girip Ana, Abramovici Elpida 12.05.1992 f 42-43, Gaspar
Partenie f59-60, asoc. Suprema Recunostinta (Marius Neagoe) f 69, Chira
Augustin (Tira Geza) f 84, Orºa Iosif f94
Vol. 35 Iachim Patrusca- Basarabia
Vol. 38 3341-92 f2, Liga Democratica pentru Dreptate 27.11.1992
(dosar Suvac Ion) - f6, Uniunea veteranilor de razboi- Stefan
Cucu 16.07.1996 ( cas Bulea Mihai- 575/P/1993-1075/P/96 ºi Gh Ursu,) f 11-16,
Diamandi Florica 23.09.1991, Diamandi Constantin 7.10.91 (1026/A/91 –
Procuratura Militaire Bucureºti )
Vol 44 Cernatescu Petre f6, Georgescu Gh f21 18.03.1968 (dosar
Canal, révisé en 1968, sans que coupab
crime judiciaire soit puni)
Vol. 48-49 FDAR Neamt (Rosca, Popa) 4.10.1990 (793 procuratura Roman -430/P/1990, procuratura militaire Bacau Dealul Marului) AFDPR Neamt (Tanase, Popa) 21.10.1990 (dosar 203/P/1995 Dealul Balaurului,
procuratura militaire Bacau)
Note : Ses declaraþies ºi plaintes,
bine qu'une goutte de l'océan des souffrances, disent assez sur ce que victimes ont souffert jusqu'en 1989, cînd ils
on cru, en vain, que moment de justice
este venu. Aucune des demerss en justice (bien plus nombreux que ceux
inventoriées în volumes parquet) n’a pas
été acceptée, dar toutes sont cachées
par procuratura comme non existant, ce care interrompt ºi suspend toute
prescription.
e. declaraþie Cicerone Ionitoiu déposée
par moi 04.09.2007– Je jure de dire vérité ºi ses Mémoires
document: [29, vol 14, f3-152] http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/declaratie_ionitoiu.htm
explicaþie: (proces-verbal [29, vol
14, f2]) Mãrturie complet de Cicerone
Ionitoiu , fortement représentatif pentru l'affaire, a fost depus initialement par proces-verbal, puis publié - livre
"Mémoires", étant ajouté par moi aux dosars parquet.
Explicaþie: el était évident que petite
équipe d'enquête ne peut pas faire face la vaste este difficile opération
de documentation. dar un riche matériel pertinent avait déjà été publié,
de sorte que victimes ont pu signaler ou
même déposer des Colecþias comme appui des cercetares. On y trouve tous
ce qu'il faut pentru documenter
ºefi de nos plaintes: nom des
victimes ºi des bourreaux, lieu ºi dates
des abus ºi des méfaits couverts par légalité criminelle communiste,
explications sur mécanismes de
répression, etc. Toute aceastã documentation, déposée (souvent- par moi) cu des
procès verbaux ([29 vol1 f9, vol2
f87, vol3 f1, vol 27 f22] etc.) ou placée sur Internet în un site dédie l'appui
de l'enquête [19] fait partie dosar pénal ºi rend ridicu affirmations des rezoluþii parquet, sur
l'absence des indices concernant aspects
ºi auteurs des crimes.
a Réquisitoire de Cicerone Ionitoiu:
"Le génocide en Roumanie, repères în procès
comunismului"
document: [29-vol 2, f17-86]
contenu:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/rechizit.htm:
explicaþie: fruit des cercetares de celui
care a dédié sa vie la cause de divulgation des crimes régime communiste en
Roumanie. C'était un excellent punctul de départ pentru l'enquête
parquet, car matériel synthétise pistes
de cercetare couvertes par travaux de
Ionitoiu, en partie exposés http://www.procesulcomunismului.com/marturii/.
b Cicerone Ionioiu "Le comunismului, o
machine infernale- liste noire"
document: [29-vol2 , f88-140]
explicaþie: (proces-verbal 22.11.06
[29-vol2, f87]). Liste des tortionnaires. Ce n'est qu'une des listes publiées
dupã 1990. Aucun des tortionnaires survivants n'a pas été dérangé par justice.
Plus encore, s'ils ne sont pas mort ou émigrés (vers EU, Israel, UE etc.), ils
ont reçu (et ils reçoivent encore) des pensions
bien plus grandes que reste de population (car
salaires pentru d'écrasement des cetãþeni sont la mesure service apporté
au puter ). Plus encore, ils (et ceux care
ont conduit) ont constitué l'oligarchie économique capitalisme
post-communiste. (dans monographie " héritiers de Securitate"- Marius Oprea
relève que presque tout
directeurs de firme GELSOR, care a eu mandat d'opérer privatisation des
entreprises d'état în tout pays, avaient été ºefi de
section économique de Securitate- în leur district… ) Plus encore, ils ont mis main sur média care déforment consciences (le cas: Vintu, Voiculescu etc.) Plus encore, ils
contrôlent puter politic, simulant
démocratie l'aide de quelques ai FSN care assurent rotative. Plus encore, ils
sont devenus partenaires de l'occident,
care a fermé yeux sut leur origine
criminelle, pentru profiter des opportunités d'affaires, contre intérêts de population roumaine.
c Cicerone Ionioiu "La rééducation ou
dérision de l'être humain"
document: [29-vol2 , f141-229]
explicaþie: (proces-verbal 22.11.06
[29-vol2, f87]). L'épisode
(massif) plus monstrueux génocide communiste: torturer gens jusqu'à perdre leur humanité ºi devenir leur tour tortionnaires, en
chaîne. Visant en premier lieu étudiants
ºi surtout légionnaires. En
arrière plan, aceastã expérience monstrueuse a préparé technique
d'apprivoisement peuple roumain prisonnier: victime este dégradée par ses compromis, sans lesquel elle ne peut pas se
débrouiller ou survivre. el este fondamental de prendre note de ce
phénomène, pentru comprendre pourquoi, dupã 1990, majorité roumains, au lieu de régler - en justice- leurs contes cu criminels,
a eu o attitude bizarre de lassitude- face au génocide perfide,
care a transformé en victimes-complices.
d Cicerone Ionitoiu: Dictionnaire des victimes
de terreur communiste (volumes C, H, I, J, K, L, M, PQ); Édition Maºina de
scris, Bucureºti, 2000- , ISBN 973-99994-2-5
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/
explicaþie: (proces-verbal 31.07.06
[29-vol 3 f1, vol 27 f22].). procuratura a eu chance de profiter lucrarea
gigantesque fait par cet ancien deþinut politic, pentru dresser un
dictionnaire de 12 volumes (publié par maison d'édition "La machine
écrire", reproduit par nous en format digital sur Internet, contenant des
détails sur plus de cent mille victimes
(état civil, arrestation, éventuel décès etc.)- plusieurs volumes étant
déposés au parquet. el ne restait
qu'à confronter aceastã source cu
registres des pénitentiaires, puis de se baser sur des autres sources
informatives, pentru repérer victimes
ºi coupab survivants..
e Album des martyrs génocide
communiste Ed. Casa de Presã ºi ed.
Tribuna SRL, Sibiu, 1999, 187 p. ISBN 973-98970-7-X
contenu: disponibil
explicaþie: (proces-verbal 31.07.06 [29-vol 3 f1 vol27 f22]).Un autre
effort documentaire de M Ionitoiu, signalant des milliers de personnes tuées în
répression.
f résistance anticommuniste în montagnes
-"Gîndirea Româneascã", 1993, 140 p. ISBN 973-95688-1-2
document: Extrait des travaux de M Ionitoiu
(Luttes Banat-manuscrit, [29-vol3 , f7-49] vol 27 f22)
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/rmunti/
explicaþie: (proces-verbal 31.07.06
[29-vol 3,f1]). o partie de ceux care ont été emprisonnés avaient essayé de
s'opposer l'installation (par l'occupation soviétique) puter totalitaire. L'étude de M Ionitoiu dédié au
phénomène de résistance- în
montagnes, montre l'ampleur phénomène. On constate que ces héros ont sacrifié leur
vie pentru liberté de leur pays, en ne
tenant pas compte raport catastrophique des forces impliquées în
confrontation, parce qu'ils croyaient
que l'occident déclencherait o guerre pentru libération de L'Europe de l'Est de
l'occupant soviétique. el en découle responsabilités de ceux care on crée
aceastã illusion, pentru des intérêts de propagande.
g Vie politic ºi procès de
Iuliu Maniu - en 2 volumes Ed. Libra Vox, Bucuresti, 2003, 560p. ISBN
973-8489-04-0
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/maniu1/
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/maniu2/
explicaþie: (proces-verbal 31.07.06
[29-vol 3f1 vol27 f22]) Cet ouvrage documente façon de laquelle parti
communiste a écrasé l'opposition politic nationale, pentru installer un régime totalitaire au service de
l'occupant soviétique. pentru délit de s'opposer, de quelque façon, ou
même seulement d'être de potentiels opposants, ºefi
(et membri) des parties politics
sont entrés en prison, où ils ont été soumis un régime
d'extermination, plus ages ne pouvant
pas survivre. el en découle totale illégitimité régime, donc- de sa
légalité.
h. Album des héros de decembrie 1989 Ed.
Tribuna, Sibiu, 1998, 152 p.ISBN 973-98326-5-2
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/aeroi/
traduction: (sélective) réalisable
explicaþie: (proces-verbal 31.07.06
[29-vol 3 f1, vol27 f22]) M Ionitoiu considère (a juste titre) que Roumains tués en decembrie 1990 (vezi
l'affaire 97/P/90) appartient la liste des victimes comunismului. Son album
dédié leur mémoire a fost depus în l'idée de mettre en évidence connexion entre affaires conduites par général Dan Voinea,
punctul de vue partagé par celui-ci [47] - dar sans effet sur l'organisation
des cercetares
i Documents accusateurs extraits des
archives communistes
document: [29-vol3 f194-215]
explicaþie: Ces documents déposés par m.
Ionitoiu (extraits discours ministre de l'intérieur Ion Stãnescu sur répressions, notes secrètes sur
rééducation, synthèse de plénière CC PCR de 22-25 aprilie-
propositions pentru pénalisation seulement politic des coupables- évitant
solution juridique) prouvent que parti communiste roumain a couvert ses crimes,
empêchant leur condamnation en justice. el en découle suspension de
prescription, care n'a pas des limites de longueur- comme l'interruption.
j répression des révoltes des paysans
document: [29-vol3 f58-193]
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/rrevolte/
explicaþie: (proces-verbal 31.07.06 [29-
v3 f1]). Nombreux paysans se sont révoltés contre quotas de céréa prélevés par parti,
harcèlement insupportable pentru
qu'ils entrent în coopératives agrico
(donc en esclavage) vol de leurs terres- qu'ils ont abandonner. Cela a
déclenché o série de rebellions paysannes în tout pays, care ont mené des
énormes répressions ºi emprisonnements- que Mr. Ionitoiu a documenté cu
acribie. On peut ajouter ce matériel chapitre correspondant raport de
Commission présidentielle sur dictature communiste ou milliers de pagini que j'ai trouvées în
l'archive CC-PCR- section agraire, montrant répression des paysans, organisée
par parti communiste. Par exemple, raport procurer général adjoint Voitinovici
sur l'ampleur de aceastã répression montre que nombre de paysans
emprisonnés în période 1948-1952 dépasse
25 000 par mois. Pourtant, în o des
rezoluþii parquet, on trouve l'énormité que collectivisation n'a pas fait de
victimes qu'après 1959. Ce care montre, o fois de plus, que documentation
fournie par nous, n'a pas été consultée.
k Liste des travaux de Cicerone
Ionitoiu sur génocide communiste
document: [29-vol3 f216, vol 14 f270]
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/
explicaþie: Toute vie dédiée la
sauvegarde de vérité écrasée par plusieurs décennies de mensonges promus par un
état usurpé. Ayant finalement l'occasion de mettre ce lucrarea la disposition
de l'équipe d'enquête. Vivant déception de vezi que ça ne sert rien…
l Mémoires de Cicerone Ionitoiu
document: [29, vol 14 ºi livre attachée-
Mémoires]
explicaþie: proces-verbal 4.09.07 [29,
vol 14, f2]. mémoires de Cicerone
Ionitoiu, (déposées d'abord au parquet, en forme de manuscrits ºi plus
tard au tribunal [35]
comme livre publié par Polirom, 2009, ISBN 978-973-46-1260-4) sont de
très grand intérêt pentru aceastã affaire. Son cas (typique) montre que harcèlement de ces
patriotes n'a pas cessé un instant, ni dupã "libération" de 1944, ni
dupã fuite en exil, ni même dupã "revoluþi" de 1989, cînd
anciens deþinuts politics ont essayé en vain de renverser puter leurs anciens tortionnaires. Son immense lucrarea de cercetare
documentaire lui a permis d'organiser de
façon significative son propre dosar de poursuite sans fin- comme étude de cas
sur continuité régime.
m L'archive des conférences Mémorial
Sighet ºi documents de l’Académie Civique
contenu: disponibil
explicaþie: (proces-verbal 31.07.06
[29-vol 3 f1, vol1 f9] el s'agit de
l'immense matériel documentaire ºi analytique care s'est accumulé, année dupã
année, lors des conférences annuel de Sighet,
organisés par mémorial des victimes comunismului de Sighet, géré par
fondation Académie Civique. Nous avons depus au procuraturã collection
complète des travaux des conférences, matériel care étaient suffisant
pentru soutenir mille enquêtes.
volumul 15 de [29] contient aussi des extraits des travaux de fondation
portant sur prison Sighet (organisation, morts ºi cadres). dar care a étudié ce
matériel? coordonnateurs mémorial Sighet
(et de Fondation Académie Civique)- Ana Blandiana ºi Romulus Rusan care nous ont
mis la disposition collection se sont pourtant montrés réticents face nos
demerss pénales, considérant que procès comunismului doit être
fait seulement în livres d'histoire, ou
de façon symbolique... Cela même s'ils venaient de perdre un
"procès comunismului" (entamé en collaboration cu AFDPR -Ticu
Dumitrescu ºi Romania Libera- Petre Mihai Bacanu) în lequel ils avaient demandé
seulement des excuses officiels pentru génocide ºi un seul euro comme
réparation générale. dar o partie des
victimes survivantes, moins contents des satisfactions symboliques ºi des pensions
offertes aux anciens deþinuts politics pentru se taire, ont voulu o réparation
réelle ºi des peines péna pentru
responsab ºi leurs complices care ont bloqué justice jusqu'à nos
jours, plutôt que d'être commémorés, encore vivants, în des musés.
o contribution de AC au dosar, étant
informations sur pénitencier Sighet, obtenu suite un protocole de
collaboration cu IICC [29-vol 15]
n Actes de Conférence PERT '01-04
explicaþie: (proces-verbal 4.08.06 [29
vol1 f9, vol27 f22]): o autre conférence annuelle, axée sur révélation des
monstruosités commises în prisons
communistes. organisateurs ont depus au
procuraturã o sélection portant sur:
l'expérience de Pitesti, l'oppression religieuse, groupes armés de lutte contre bolchevisme,
l'oppression de paysannerie. Un matériel significatif, pentru care
voulait l'observer. Malheureusement, répression communiste contre anciens membri ou sympathisants mouvement
légionnaire, care forment o partie importante tableau des victimes ºi se
retrouvent aussi en grand nombre în FRFDPLA,
este traitée de façon discriminatoire ºi illicite, cause d'un courrant
d'opinion manipulée par des forces occultes pro-communistes. On prétend que ces
gens ne peuvent pas être considérés victimes de répression communiste ºi
post-communiste, de 1945 jour parce que mouvement légionnaire a commis des
actes violents contre des politiciens ºi des juifs, jusqu'en 1941, cînd leur
parti a fost interdit ºi leurs membri
emprisonnés par général I Antonescu- sont tour accusé par certains d'antisémitisme
ºi de dictature. dar justice doit s'occuper de réparation des abus de toute
sorte ºi de condamnation des crimes, sans faire de politic. Un coupable în l'affaire A a tout droits de réparation, si'il este victime în
l'affaire B. De plus, l'immense majorité des gens enfermés comme légionnaires
n'ont commis aucun geste pénalisable en justice. Tel qu'on peut constater
în declaraþies des volumes 19-23 de
[29] survivants care demandent justice
maintenant étaient adolescents en 1948, cînd ils ont constitué des groupes de
résistance anticommuniste de type légionnaire (FDC - frères de croix)
seulement pentru organiser o opposition ferme au bolchevisme envahissant. Si on admettait comme principe condamnation
de tout membri d'un parti
(mouvement) on devrait mettre en prison
tous membri parti communiste- ce care
este évidement o absurdité, car grande majorité n'a pas commis des actes
criminels. el este aussi noter que
communistes ont orchestré o multitude de procès pentru antisémitisme, fascisme etc.- care ont
rempli prisons d'innocents. thèse
que crimes fascistes n'ont pas été punis
en Roumanie este démontrablement fausse, étant utilisée plutôt pentru couvrir crimes de certains juifs communistes, émigrés
en Israël ºi aux États Unis dupã 1948.
On doit pourtant tenir compte de ces circonstances, pentru vezi si în
certains cas (comme celui de Pitesti) el ne s'agit pas aussi de vengeance, ºi
pentru éviter conflits
d'intérêt: partisans jugement d'un
génocide essayant de minimiser l'importance d'un génocide en sens
contraire. .
o No 1-54 de Revue "La
mémoire"
explicaþie: (proces-verbal 4.08.06 [29
vol3, f216, vol1 f9 vol27 f22])
principale publication dédiée intégralement aux mãrturii sur l'univers
concentrationnaire. collection
complète a fost déposée au
parquet, care aurait pu trouver tout ce qu'il fallait pentru orienter des
cercetares. Pourtant, conclusion fut … que
faits décrits în milliers de
récits des victimes survivantes… n'existent pas.
p Contribution journal Cotidianul
document: [29 vol.11 f7-212, vol 13 f167-364]
explicaþie: En constatant que pentru dirigeants de l'état roumain (comme président
Basescu) génocide communiste doit encore être prouvé, par des Commissions
de type Wiesel, comme si ses dirigeants de l'état avaient vécu sur lune ºi non
pas au sein parti génocidaire, société civile réagi ironiquement, en publiant
encore o fois des listes cu des roumains détruits pentru ne pas être des
nullités disposées se transformer în des instruments doci régime
tyrannique. liste des 2654 victimes de
répression (élite politic, militaire économique, religieuse, intellectuelle,
etc.) publiée par journal Cotidianul ºi envoyée par FRFDPLA 20.02.2007 (et
probablement aussi par IICC) este o de ces rappels que yeux de "justice" ne voient pas.
q Documentation déposée par FRFDPLA
(fédération roumaine des anciens deþinuts politics ºi combattants
anticommunistes)
traduction: (sélective) réalisable
explicaþie: plus grande asociaþia des deþinuts politics
(AFDPR), conduite par Ticu Dumitrescu, dupã avezi essayé sans succès
d'ouvrir portes de justice (la
dernière fois en 2005) n'a plus voulu participer ce nouvel effort. dar o
autre asociaþia des victimes, conduite par Constantin Iulian ºi Gh Jijie
(veziaussi remarques punctul n), care
avait son tour o longue histoire d'essais justicières bloqués- a agit
différemment. Ils ont contribué
amplement l'enquête, cu o multitude de declaraþies de partie lésée aussi
qu'avec plusieurs documents de support: vol7 f4-25 liste cu ceux décédés Aiud
(déposée 11.12.2006), vol.9 f127-157 liste cu 676 personnes assassinées par
Securitate, vol27 f16-67 Ouvrage intitulé "Répression ºi régime concentrationnaire
en Roumanie communiste (Cristina
Roman)".
r Documentation - Radu Cioceanu
document: v31f224-264
explicaþie: président d'une autre
asociaþia des deþinuts politics, Radu Ciuceanu, a publié "Régime
Pénitentiaire en Roumanie 1940-1962", dont on a depus des extraits- liste
des cadres des pénitentiaires.
s L'union des vétérans de guerre
document: [29, v9f1-27, v23f192-208 v49-66, vol
38- cas Suvac, Ursu, Bulea]
explicaþie: rocade faite a 23 août
par Roumanie a produit trois types de vétérans de guerre: ceux care ont lutté
seulement dupã 1944- contre l'Allemagne, ceux care on fait compagnie a l'est-
contre l'URSS ºi enfin- ceux care on lutté sur
deux fronts. militaires envoyés
par leur patrie vers l'Est sont devenus cible des vengeances communistes. pauvres soldats envoyés la mort pentru intérêts mutants des politiciens, ont
été discriminés gravement cause de l'occupation soviétique. comandants de l'armée "coupable"
son entré en prison, officiers de
carrière ont été expulsés de l'armée vaincue, leur place étant prise par
des analphabètes disposés servir l'occupant, en uniforme. L'union des
vétérans conduite par Stefan Cucu
représente aceastã catégorie de victimes comunismului ºi a fait plusieurs
demerss pentru obtenir justice, inclusivement en appuyant ce dosar. Elle a
depus par exemple des photos des personnes tuées par communistes ºi o requête pentru lever
l'immunité parlementaire de Ion Iliescu. Pourtant on n'a pas retenu de tout ça
que leur réclamation pentru ne pas recevezi temps pensions.
t Raport officiel de Commission
présidentielle pentru l'analyse de dictature communiste
document: extrait [29, v13 f1-166, v28 f68-198]
http://www.corneliu-coposu.ro/u/m/raport_final_cadcr.pdf;
explicaþie: Vezi explications 24b. Au delà des
critiques plus ou moins justes sur l'opportunité de aceastã action, en
profitant de l'ouverture spéciale des archives, ce raport officiel contient o
multitude d'informations care complètent documentation. On ne voit pas
comment procureures même état
peuvent prétendre de ne l'avezi pas observé, pentru arriver des conclusions
contraires sont contenu.
u Documentation déposée par L’institut d’investigation des crimes
comunismului -IICC
document: [29, v12 ]
explicaþie: (vezi ºi 24d) Sous direction de Marius Oprea, jeunes chercheurs employés par l'institution
ont essayé d'accomplir au moins partiellement leur devezi, en déposant au dosar
35/P o série de documents extraits des archives système répressif (qui renforcent mãrturii sur régime exterminateur de
détention) Vezi :
-[ 29 vol.12]: Tableau cu cadres des pénitentiaires-f2, législation
répressive-f22-35, bulletins informatifs de direction des pénitentiaires-f36,
notes, raports ºi notes MAI concernant régime de détention f 66-111
règlement de détention f96-101, mesures administratifs abusives prises
par Securitate f103-112, faits de répression ºi actes de génocide f.115-200,
liste des deþinuts morts Sighet -f.201-204 ;
- [29 vol.28 f16-67] Ouvrage
intitulé "Répression ºi régime concentrationnaire en Roumanie communiste
(Cristina Roman) sur laquelle este
inscrite -olographe- date 03.04.2007
[probablement un extrait Dictionnaire des pénitentiaires de Roumanie
Communiste -IICC, 2008 f199-334 Matériaux sur prisons ºi
activités de Securitate
- Autres documents placés
în anciens volumes 26 ºi 27, déclinés
v
Registres de l'administration des pénitenciers
documents:
vol.10 cadres, deþinuts, décèdes : Galati,
Aiud, Gherla;
vol 12 f206-246-Timisoara, Caransebes,
Oravita;
vol 31 f 208-223 Ostrov
vol.37 Caracal, Codlea, Cluj, Dej, Deva, Galaþi,
Iaºi, Mãrgineni, Ocnele Mari, Oradea, Ploieºti, Ostrov ºi Salcia;
vol.39 Aiud 1948-1989
vol.40 ºi vol.47- Pénitentiaire Craiova,
vol.41 Gherla,
vol.42 Alba Iulia, Bacãu, Baia Mare, Botoºani,
Buzãu, Jilava, Vãcãreºti),
vol.43 Piatra Neamt, Roman, Satu Mare, Tirgu Jiu,
Tirgu Ocna, Tirgu Mures, Turnu Severin. Vaslui, Vacaresti,
vol.45 Timiºoara, Caransebeº, Oraviþa,
vol.46 Poarta Albã, Penisula, Tulcea
explicaþie: Chaque personne enlevée par
Securitate était soumise pendant longtemps (plusieurs mois) des tortures
atroces pentru qu'elle reconnaisse tout ce que
enquêteurs voulaient. Sur
base des declaraþies extraites de aceastã manière sauvage chaque
innocent était jugée ºi condamnée, par un tribunal militaire. Puis, el était
transféré în un pénitentiaire- în des conditions préméditées d'extermination.
cînd parti avait besoins d'esclaves exterminer, el envoyait în des colonies de travails- des
vrais camps de concentration létaux.
peine de ceux care ne devenaient pas collaborateurs de Securitate était
souvent prolongée "administrativement"-de quelques années, sans aucun
procès. o grande partie des décès se sont produits
pendant enquêtes în locaux secrets de Securitate (ou de
"Militie"), dar personne n'a pas pu analyser ces registres dupã 1990. Aussi- el faut noter
qu'après 1964 indésirab étaient
condamné plutôt pentru des délits imaginaires de droit commun, ou internés în
des asi psychiatriques, ou exilés ou assassinés. dar en analysant registres de Aiud, Oradea, Jilava- on découvre
de nombreux prisonniers politics (pour complot, propagande contre régime, essai
de s'évader en passant frontière etc.) jusqu'en1989. Seulement registres cu officiers ou
deþinuts de plusieurs pénitenciers ºi colonies de lucrarea ont été
procurés, y inclut quelques listes de
morts en détention. cercetare des
archives n'a pas pu avancer car
procureurs délégués par M Voinea n'ont pas obtenu droits de consulter ºi ont commencé être harcelés
ºi menacés, avant qu'on leur enlève l'enquête. C'est pourtant plus
que suffisant pentru tirer conclusion d'un génocide juridique (organisé par des
lois ºi des règlements criminels).
w Documents envoyés par
diocèse catholique
document: [29,v8 f217-18 ],
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/biserici/
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/ioanitoiu/ortodoxa/
explicaþie: liste des prélats romano-
catholiques tués, proposée par diocèse Iaºi, n'est qu'un fragment d'un vaste acte
criminel, care pourrait être considéré lui seul comme génocide contre des
groupes religieux.. procuratura a eu tout temps accès a documentation
diffusée sur mon site, care reproduit l'ouvrages de M Ionitoiu ºi de Ioan Bota
: "Martyres ºi martori ºi de l'église de Roumanie (1948-1989). L'église Roumaine Unie cu Rome-
Greco- Catholique'; L'église romaine catholique Vol. 2". Deuxième
édition Ed. Patmos, Cluj-Napoca ,1998,
219 p. ISBN 973-96911-3-7
Il este important de noter
qu'un très grand nombre de prêtres orthodoxes corrects ºi
patriotes ont été décimé pentru leurs croyances mora (un autre génocide
religieux), tel que montré în l'orvrage: "Vasile Manea, Cicerone Ioniþoiu.
Martyres ºi martori ºi de l'église de Roumanie (1948-1989). L'église orthodoxe.
Vol.1.ed.II. Ed. Patmos, Cluj-Napoca, 1998, 213 p. ISBN 973-96911-2-9".
dar l'hiérarchie de l'église orthodoxe n'a pas réagit aux invitations de
s'impliquer în l'enquête procuraturii [29,v1 f68-69 ]. L'explication de
ce comportement este simple: ºefi
que communistes ont placés
au sommet de aceastã église ont collaboré
cu régime ºi ne veulent pas que aceastã trahison soit démasquée. Vezi ºi ce
sujet Mãrturie de l'avocat Ionica
[29,v23 f148].
De grand intérêt pentru
ce chef de plîngerest documentation publiée par Serge ºi Valérie Grossu (comme
par exemple : devezi de mémoire. Calendrier de persécution religieuse în pays communistes. Ed. Maºina de scris,
Bucuresti, 2003, 207 p. ISBN 973–8491–05–3)- que procuratura a aussi pu
consulter l'adresse:
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/grosu/
x dosar Vasile Paraschiv
document: [29, v23 f121-147 ]
explicaþie: Ce cas impressionnant montre
clairement que répression n'a pas cessé en 1964 - dar a seulement changé de
forme. pentru avezi osé de s'opposer la politic PCR Vasile Paraschiv a fost soumis continuellement des supplices care
n'ont pas réussi faire s'incliner. Ainsi
el a eu droit moral de ne pas accepter "réconciliation" cu ses
bourreaux ºi d'essayer d'obtenir justice. Tous ces efforts en instance ont été
en vain- ce care l'a déterminé de refuser (à 1.12.2008) décorations accordées par président de
Roumanie, Traian Basescu, care ne faisait que de simuler condamnation
comunismului.
y Autres documents déposés
document: [29, în divers volumes]
explicaþie: Plusieurs victimes ont depus
des extraits des dosars dressés par justice criminelle. Beaucoup de declaraþies
montrent que répression n'a pas cessé en 1964 - dar a changé forme: cas Rãducu Ilie (vol. 1 f.123), cas
Marius Neagoe- assassiné en 1985 (vol.8, f1-84), cas Ion Bugan (v8 f200-211)
condamné avant ºi dupã 1969 , victimes des douaniers sur Danube (vol.8, f224),
cas Velicu Pepa (v9 f158-212), etc. Des
autres documents peuvent servir a compréhension sens des phénomènes:
v18.f48-49- L'histoire des services
secrets roumains, de Paul Stefanescu
, v19 f168-169- annexa 9, Moscou 2.06.47- directives pentru
soviétisation de l'Europe de Est, vol 22 f128 - tableau des deþinuts de Tirgu
Ocna 1950-1954, vol.28, f.270- mesures de Securité pentru cas Méditation transcendantale;
vol47- cas Canal Danube-Mer Noire , v27 f51-192 -Raport de l'économiste
Constantin Bulibasa sur pillage de Roumanie pendant l'histoire etc.
a. Ma demande de 19/12/2006 [29
v.23 f173]
document: disponibil
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/news/editoriale/dealul_marului-2006-12.htm
explicaþie: în aceastã courte dar très
importante demande, j'ai rappelé que notre demers pénale 793/P/1990 (mal
nommé ici comme 735/P) [4, 6, 13, 15], étouffée illégalement 08.10.1993- cînd
dosar 430 / P/1990 (renuméroté a l'occasion passage procuratura civil Roman au
procuratura militaire Bacau) [17a] a
fost fermé par Aurel Cute- este o raison
suffisante pentru interrompre prescription, pentru ne pas parler des autres
dosars traités de même façon (exemp en [29] vol 1 ºi 4), que devaient
être repérés ºi re-activés. J'ai aussi souligné que cet épisode met en
évidence lien entre affaires 35/P ºi
75/P ºi entre deux ºefi de ma plîngerde 31.07.06 [21]: répressions de 1990 ont visé couverture des
crimes comunismului. résultat de aceastã note,
a fost rezoluþia [25a] care a donné naissance aux volumes 48
ºi 49 de l'affaire 35/P/2006 ( partant des dosars 430/P/90 ºi 203/P/1994 care
avaient été récupérés auparavant ma demande vezi l'la note de 13.09.06 [29 v.1
f14]). J'ai aussi depus [29 v.23 f174-181] quelques documents importants de
1990 ( procès verbaux des fouilles) qui, curieusement, ne se trouvaient pas în dosar de 1990.
Conformément ma requête
de 19.12.06, part dosar 430/P/90,
declaraþies de 6.05.2006 ºi
récits des journaux de 1990 (vezi [4,6,13-15]), intégrés en 75/P (vol
168 [6]), auraient être répliquées în lucrarea 35/P. dar je ne retrouve
pas, în volumes de 35/P que quelque
documents (procès verbaux, récits)
[29 vol 48 f54-83]. Je n'ai pas réussi comprendre pourquoi réplication
des autres declaraþies ºi documents portant sur répression de Piatra Neamt
(pour avezi entamé procès comunismului [4, 6, 13]) ne se trouvent pas în
version actuelle de l'ouvrage 35/P, étant donné que c'est seule partie de
l'enquête dédiée élucider chef 2 de notre plainte: complicité FSN la
continuation (couverture) génocide.
explications de Dan Voinea [47-question B9] ne font pas plus de
lumière sur cet aspect, d'autant plus intrigant que volumes 48,49 n'ont pas de bordereau ºi ne
figurent pas în procès verbaux
des déclinaisons de SPM vers SUPC ºi de SUPC vers DIICOT [25], dar ré-
apparaissent seulement în déclinaison finale, de DIICOT vers SUPC.
b Declaraþie Popa de 10.11.2010,
sur cercetares de Dealul Marului
1990-1993
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2010-12
explicaþie: M Popa Neculai, ancien deþinut
politic, s'est dédié aux investigations commencés en 1990 în district Neamt,
participant des début aux fouil ºi motorisant l'avancement de l'enquête
parquet. Un peu avant de décéder, el a confirmé mon rôle în ces cercetares, interrompus abusivement en 1993,
ce que pulvérise prétention procuraturii qu'on n'avait pas fait des plaintes
jusqu'en 2006.
a. Collaboration cu l'équipe Voinea
document:
explicaþie: J'ai dédié quelques années
aceastã coopération intense care m'a transformé în auxiliaire volontaire de
cercetare pénale, mission civique
(justicière) . formes de aceastã collaboration ont été:
visites courantes au siège procuraturii pentru discuter situation dosar
ºi des stratégies d'enrichissement probatoire e de l'argumentation juridique,
dépôt de documents, de synthèses, ºi des raports, cercetare ºi
invitation des martori etc. Ces demerss ont été reflétées sur site: Je joins
ici comme exemple un plan de cercetare que j'ai discuté ave M Voinea en
septembre 2006..
b. Analyse déposée ºi présentée effectuée
au procureur général, 2 mai 2007
document:[29, vol48, f 54-56]
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2007-5
explicaþie: Étant mis au courant par Doru
Maries que des "représentants de société civile" ont un rendez-vous
cu procureur en chef parquet- Laura Codruta Kovesi- pentru solliciter rezoluþia
cu célérité des affaires investiguées par général Dan Voinea, j'ai composé
aceastã synthèse, que j'ai déposée, dupã l'avezi présentée, lors de
aceastã réunion. J'y ai montré que toute discussion au sujet de célérité este o
comédie, moment que moyens mis la
disposition de l'équipe procuraturii militaire sont mille fois plus faib que
nécessaire- pentru o telle tâche. Par conséquent, j'ai attiré l'attention qu'il
fallait chercher un compromis, fondé sur sélection des priorités par des
équipes pluridisciplinaires. Par suite,
j'ai continué collaboration cu l'équipe des procureurs militaires de M Voinea,
cherchant des solutions pentru que
travaux dépassent divers obstac
(par exemple recours forcé la prescription),
jusqu'au moment ou tous dosars
leurs ont été retirés.
c. Commission ºi raport de Commission présidentielle sur dictature
communiste (extrait [29 v12 f9-21, v13 f1-166, v28 f68-198])
documents: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-6-2006-2
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-2-2006-6
http://www.youtube.com/watch?feature=PlayList&v=7nHE53jHoQQ&playnext=1&index=0&list=PL2F2D5795ADD9181E;
http://www.corneliu-coposu.ro/u/m/raport_final_cadcr.pdf;
explicaþie: J'ai signé 27.02.2006 un
appel pentru l'investigation des crimes communistes lancé par Sorin Iliesiu, en exprimant
publiquement (dans texte "Le procès de ceux care ont empêché
procès (réponse ouverte monsieur Sorin Ilieºiu") mes réserves sur
légitimité des signataires, care voulaient faire capital civique simulant un
intérêt sporadique pentru o correction stérile (vezie aussi procès
symbolique ridicule comunismului entamé par M Bacanu , soutenu par A. Blandiana
ºi T. Dumitrescu, partant d'une initiative de L Orasel). Je dénonce ici fait
que certains intellectuels veulent faire capital de aceastã cause, faisant tout
pentru diriger vers livre d'histoire, en l'éloignant des tribunaux. Ils
demandent lustration tardive des criminels
des années '50 (la plupart disparus) au lieu de s'occuper de ceux care
ont empêché leur condamnation, dupã 1990.
Bien entendu, comme tout autres analystes incommodes phénomène
communiste (Victor Frunza, Paul Goma etc.) ºi surtout dupã avezi manifesté mes
réserves face la compatibilité de M Tismaneanu- nommé président de aceastã
commission) je n'ai pas été invité
participer aux cercetares d'une Commission que j'ai dénoncée des début comme o
farce, essayant de contrebalancer cu l'initiative CRVC [20].
18.12.2006, lecture (faite par président de
Roumanie) des conclusions raport de "Commission Présidentielle pentru
l'analyse de dictature communiste en Roumanie" (confirmant secret de
Polichinelle: el s'agit d'un génocide)- a provoqué un pénible scandale în
Parlement cryptocommuniste. lendemain j'ai participé côté de M. Gaprilie Vatamaniuc, au nom de CRVC, o
table ronde, organisée par Dan Turturica la principale chaîne de
télévision. Nous avons expliqué M Vladimir Tismaneanu, coordonnateur de
Commission, pourquoi nous considérons
son raport insuffisant ºi nous insistons pentru que l'affaire ne reste pas
enterrée în l'histoire ºi cantonnée en 1989- dar soit traitée en justice ºi
mise jour.
d. "La société civile"
(Alliance ºi Académie Civique, 21 decembrie etc.)
contenu: disponibil, http://www.procesulcomunismului.com/CIVES/combaterea_intereselor_antijustitiare.htm
explicaþie: J'ai participé aux initiatives
de "société civile" care demandait que justice avance, en attirant
l'attention sur risque de stérilité d'une rhétorique inconsistante. Par
exemple, la réunion organisé par l'Alliance Civique 21 martie 2007 ( "Le
Comunismului este condamné, qu'elle este suite?")- j'ai expliqué situation
des cercetares procuratura militaire (que je connaissais bien, en tant que
participant persévérant).
Plus tard, la réunion
organisée 11 iunie 2008 par asociaþi"21 Decembre" (avec laquelle j'ai
coopéré în l'autre dosar -75/P), în l'intervention "Le combat contre intérêts anti-justiciers securi-
communistes ", j'ai tiré un signal d'alarme sur péril que tous dosars soient re-dirigés vers procuratura civil,
pentru être classifiés.
e. Relations cu l'institut pentru
l'investigation des crimes comunismului (IICC)
explicaþie: Aceastã unique institution
care a eu mandat officiel de pousser
cercetares péna en avant, m'a plutôt évité, probablement pentru ne pas nuire aux
subventions desquel a bénéficié - sans justifier dépenses. Constatant connexion dosar 35/P/06 cu
dosars proposés par IICC, comme
82/P/06 [29, vol 1 f47-64, f114; v3 f217; v12; v27 f39f198-225 etc.]
j'ai essayé de coopérer cu ceux care voulaient
vraiment faire ce qu'ils prétendaient faire, en leur offrant conseils ºi l'aide d'un expert
multidisciplinaire dédié la cause justicière. dar réaction directeur, Marius Oprea, a
fost décevante, surtout son refus de
dépasser borne de 1990, pentru démontrer continuité crime, care a nuit mes
demerss au parquet, car nos plaintes sur couverture génocide par régime FSN ont
été noyées în dosar commun 82/P/07.
document 1: (Commentaires sur création d'un
institut – 7 janvier 2006) : http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-3-2006-1
explicaþie: Au moment ou o
institution pentru laquelle j'avais tant milité a fost créée, je n'ai pas été surpris pas fait de ne
pas recevezi l'invitation de participer ses activités, qu'en position de
technicien, car j'ai senti qu'il s'agissait d'une apparence de justice, réponse
formelle l'initiative de Goran Lindblad
(qui d'ailleurs a échoué expressivement) de convaincre Réunion
Parlementaire Conseil de l'Europe de condamner destruction de l'Europe de
L'Est.
document 2 (Recommandations pentru site de IICC) :
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2006-2
explicaþie: En dépit de mes réserves, j'ai offert
IICC (institut d'investigation des crimes comunismului) des conseils issus de
mon expérience, y inclut sur l'organisation de l'espace documentaire. Sans
effet- personnes care ont gouverné
aceastã nouvelle sinécure (fabrique d'artic ºi de doctorats) n'avaient pas
l'intérêt de m'entendre.
f. demerss auprès Archives Nationa ºi CNSAS
explicaþie: plus claire preuve que régime
FSN a poursuivi, dupã 1990, méthodiquement, un politic de couverture des traces
des crimes communistes, pentru que
responsab non-punis puissent rester au puter ºi s'enrichir- este blocage des cercetares
documentaires în archives, réalisé par
des lois spéciales, règlements ténébreux, indications anti-transparence,
chaos organisationnel, destruction ºi perte des fonds (souvant vers cachots nécessaires aux chantages), docilité
d'un personnel toujours soumis au puter
ministère de l'intérieur. Mes demerss ºi mes analyses ont mis en
évidence ces phénomènes que j'ai critiqué în plusieurs mémoires: 1.
mémoire depus au nouveau directeur des Archives Nationa (Dorin Dobrincu)
4.09.2007, 2. l'intervention lors de table ronde sur projet d'une nouvelle loi
des archives- de 28.02.08, 3 mémoires
CIVES sur disfonctionnement des Archives Nationales, déposés 18 ºi 24.08.2008,
4. synthèse sur cercetares în
fond ANIC-CC-PCR- section agraire- septembre 2008, 5. article non publié conçu
pentru revue des Archives- octobre 2008, 6 Nouveau mémoire de 7.07.2009 sur sabotage archivistique- auquel
on m'a répondu expressivement 10.08.2009.
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/forum/viewtopic.php?f=28&t=844
explicaþie: Mon raport cu Conseil
National pentru l'étude des Archives de Securitate (CNSAS -institution ayant
mandat de gérer archives de répression,
pentru des fins plutôt politics que documentaires ou justicières a
fost amical, dar peu fructueux. J'ai été
presque brusqué par chef département informatique, cînd j'ai proposé de leur
dresser gratuitement un plan cohérent d'organisation de gestion documentaire, en
tant qu'expert în domaine. Cela dérangeait quelques combinaisons mercanti
(contrats etc.) des mercenaires captés par maison. Lors des rendez-vous cu conseil scientifique j'ai
proposé o optimisation. Ils ont été plus ouverts, sans dépasser bornes de courtoisie- probablement pentru ne pas créer des
complications en coopèrent cu un individu de mon genre. Lors des tab
rondes publiques, comme celle de 3.03.2008, provoqués par l'intention puter de bloquer complètement CNSAS, j'ai
dénoncé façon de laquelle Cour Constitutionnelle- dernier rempart des
intérêts criminels- a fermé
chemins vers vérité (que CNSAS était censé d'ouvrir) .
g. Asociaþias des victimes face aux abus
judiciaires ºi Cour Constitutionnelle
contenu:
(http://www.piatauniversitatii.com/forum/viewtopic.php?f=46&t=1913)
http://www.dreptonline.ro/legislatie/lege_condamnari_caracter_politic_masuri_administrative_asimilate_221_2009.php
;
http://www.anrp.gov.ro/uploads/pdf/OUG62_2010.pdf
;
http://www.dreptonline.ro/decizii_recurs_constitutionala/detaliu_decizie.php?id_decizie=351
;
Décisions
în dosars Orasel, Tacu, Paraschiv,
Vatamniuc etc.
explicaþie: el este extrêmement important
pentru aceastã cause de comprendre que, pendant que cercetares péna étaient bloquées, voie des dédommagements civils a fost aussi obturée de façon que très peu de
téméraires se sont entêtés în
lutte épuisante ºi interminable cu
archives, autorités ºi tribunaux.
En 1990, o loi confuse
(L118/90) a établi o sorte de pension pentru
années passées en prison par
victimes survivantes de "justice" communiste. Cela
représentait o reconnaissance claire que leur détention avait été abusive.
Pourtant, réhabilitation de rigueur ºi dédommagement pentru souffrances souffertes pentru avezi dérangé
marche totalitarisme n'ont pas eu lieu. part quelques recours extraordinaires-
(vezi par exemple lot Maniu- [29 v24 f116-143]), anciens deþinuts ont été invités démontrer
leur innocence în des procès de révision des anciennes sentences (exemp
[29v4f71-73]), conduits par vieux juges,
pendant que archives de répression leur
restaient inaccessibles. victimes des
vexations insupportab ºi prolongées ont essayé en vain redoute des tribunaux,
sauf quelques exceptions que j'ai essayé de mettre en valeur în projet
SolidJust de CIVES [46], ( par exemple,
cas Orasel ou Tacu).
C'est seulement en 2009 (quand
majorité des survivants de 1990, étaient disparus) que loi 221/2009 a stipulé droit aux dédommagements
pentru victimes de répression politic
communiste ºi pentru leurs familles. Constatant que tribunaux sont prix d'assaut par plaignants (ce care prouve raison retard
d'une telle loi…) dirigeants de société
roumaine captive în un état de non-droit ont fait un pas monstrueux en
arrière, en émettant OUG 62/2010 -qui stipule que
victimes des abus de justice communiste ( discriminés o foi de plus)
n'ont pas des droits de dédommagement, comme toute autre victime d'erreurs ºi
abus judiciaires, dar peuvent recevezi un maximum de 10 000 euros … pentru 20
années de réclusion dure ºi injuste, continuées cu 25 années de
harcèlement, éventuellement
interrompus par décès.
Comme în tant d'autres
situations (vezi l'affaire CNSAS [24e] ou des cercetares détournées de
procuraturã [25d], ou blocage de restitution des propriétés confisquées etc.)
l'instrument ultime contre droiture fut
Cour Constitutionnelle, o institution placée au-dessus de loi, là
où puter fabriquent droit. Elle a
émis décision 1358 de 21.10.2010 sur
non-constitutionalité de l'article 5 de loi 221/2009, affirmant noir sur blanc
que dédommager victimes de répression
communiste serait … o discrimination, que législateur roumain a droit d'éviter.
Aceastã situation révoltante m'a déterminé de diffuser o série d'essais
juridiques [39] ºi de lancer projet "Solidarité
justicière" [46].
A part divers personnes care ont adhéré CRVC, seule asociaþia cu laquelle j'ai pu
collaborer fructueusement în dosar 35/P été FRFDPLA, care a réalisé un flux
continu de Mãrturie s, renforçant dosarul procuratura [29] Lors d'une série de
réunions comme celle de 13.10.2008, cînd je leur ai présenté raport CIVES
"La pénalisation des crimes comunismului- un appel l'action
collective"- care a ouvert chemin vers projet "Solidarité
Justicière" [46] ) Suite a nos efforts nous avons remporté deux
victoires în procès civils
Gapriliea Vatamaniuc ºi Viorel Roventu, partiel ºi plutôt symboliques, dar
précieuses en tenant compte que des innombrab procès civils de
dédommagement ont été perdus ces années par
victimes… d'une justice victime.
h destruction ºi pillage des biens
publics produits par victimes
comunismului
contenu: http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/cojocaruc/explicatie.htm
http://www.procesulcomunismului.com/marturii/fonduri/cojocaruc/
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-2-2012-10
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-4-2012-11
explicaþie: L'économiste Constantin
Cojocaru este revenu en Roumanie en 1990 pentru empêcher pillage ºi
destruction capital produit par
prisonniers camp communiste. el a montré publiquement, de façon
extrêmement claire comment ºi pourquoi doit être résolu
correctement, problème de
privatisation, par distribution d'actions (bons) ceux care avaient produit
capital accaparé en administration par l'état (qui d'ailleurs appartenait
théoriquement, en commun, au peuple). Ses demerss auprès autorités,
partis, publique, ont eu un seul résultat: ont mis en évidence
préméditation vol gigantesque échelle ºi énorme destructivité réalisé par communistes métamorphosés en patrons- care a
appauvri catastrophiquement reste de population ºi constitue o preuve
irréfutable de continuité génocide dupã 1990. Mes Dialogs (souvent publiques)
cu M Cojocaru n'ont pas réussi déterminer de témoigner en justice sur ce
phénomène crucial, car el n'a pas de confiance în o structure juridique
créée ºi utilisée par ceux care devraient être punis. dar ces travaux
constituent un formidable réquisitoire sur dimension économique crime.
i. pillage de terre confisqué aux
paysans, par l'administration centrale ºi locale, soutenus par Parlament ºi
justice, în un État usurpé.
document: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-3-2012-1
archives
CCPCR: raports Voitinovici etc.
explicaþie: Rendre justice aux paysans
frappés par confiscation des terres, abandonnés par peur ºi par l'entrée forcée
în coopératives agrico de production
(CAP)- dupã avezi été harcelés, menacés, chassés, emprisonnés ºi tués en masse,
était un punctul important (8) chef 1 des requêtes [21c]. J'ai depus un
effort soutenu pentru démontrer que régime FSN, continuant génocide, n'a pas
fait que d'empêcher restitution de ces terres ºi réparation des autres
dommages, en appauvrissant victimes sous
seuil de survie, pentru puter diriger
butin vers membri de bande restée au
puter , care sont devenus latifundiaires.
archives des Maisons de Pension pentru
anciens coopérateurs étant mystérieusement disparus, j'ai recueilli des
données sur revenus moyens de l'Institut
National de Statistique, care démontrent que dupã 1990, paysans-esclaves des CAP (empoignés par
agents FSN) ont été volés de leurs contributions réelles, ºi obligés de
vivre retraite cu moins de 100 euro par
mois. Un génocide continuant même opération rapace. Ces cercetares ont
été résumées în un raport CIVES, care montre imparablement l'essence criminelle
de "transition" des criminel en patrons- abordée par deuxième
chef des plaintes [21c] .
explicaþie: el este important de saisir
jeu infractionel parquet, en observant façon de laquelle l'affaire génocide
communiste ºi de sa dissimulation a fost
détournée, pentru ne pas être jugeable. réouvertures des dosars fermés par parquets ºi
tribunaux dupã 1990, a fost
cachée, parce qu'el imposent l'interruption ºi suspension de
prescription ºi démontrent responsabilité des dirigeants législatif, parquet,
des tribunaux ºi de l'administration (gouvernement) pentru blocage judiciaire
care a protégé coupables, temps
nécessaire la prescription (ou la mort des parties impliquées). Toutes
déclinaisons ºi disjonctions ont
eu comme but de dépasser piège de récursivité: chaque fois cînd o
garniture puter empêche
condamnation des crimes (y inclut celui d'empêcher condamnation des
crimes précédents) elle fait naître o nouvelle
responsabilité pénale.
a Rezoluþii Voinea pentru réouverture
dosar 430 / P/1990 ºi l'intégration en 35/P/2006, 22/03/07- 05/05/07]
document: [29v48, f 2 -6
explicaþie: Comme réponse mes demandes
insistantes, général Dan Voinea [47] a cherché
dosars de cercetare pénale ouverts par nos cercetares de 1990. el était
important que je démontre fausseté des prétentions qu'après 1990,
personne n'avait pas depus des tel plaintes, justification dolosive utilisée
pentru éviter l'application de l'interruption de prescription. D'autant plus
que c'était exactement moi, un réclamant de 2005/2006 care revenait sur
l'affaire que j'avais portée en
enquête en 1990 ºi care avait été fermée par o rezoluþia de
non-lieu justifié par prescription… en 1993. Entre temps. on reconnaît que
prescription ne pouvait pas couler avant 22.12.1989, donc NUP de 1993 este nul,
ayant comme conséquence ºi
l'interruption de prescription. Constatant gravité de situation que j'ai crée
par réouverture dosar 430/P/1990, ils ont tout fait pentru cacher ce dosar, en
l'éliminant de l'ouvrage en 49 volumes. Je ne sais pas pourquoi ils l'ont
réintroduit ultérieurement, probablement pentru couvrir traces de aceastã manœuvre
frauduleuse. je déplore fait que
procureur Dan Voinea n'a pas tenu compte de mes insistances pentru qu'ils
dresse synthèse de tous dosars
similaires, classés dupã 1990. dar el a repère suffisant suffisants
pentru démontrer qu'il s'impose
l'interruption (à cause des requêtes précédentes) ºi
suspension (pour force majeure- impossibilité de dépasser blocage
judiciaire)
b Rezoluþia Voinea de 9/10/07 pentru
connexion des dosars 35/P/06, 68/P/06 ºi 82/P/06, parchetul militaire ICCJ
document: [29 v1 f 7 -8]
explicaþie: J'ai salué au début décision de
Dan Voinea de composer un sel dosar (nommé 82/P/07) pentru un crime unitaire ºi
continué. Ainsi on comprenait sens cohérent phénomène ºi on éliminait
l'invocation des termes de prescription courts, pentru infractions composantes. J'ai aussi salué l'intervention de IICC în dosar ºi j'ai
entreprit des efforts pentru signaler aux autres potentiels plaignants l'opportunité
de s'ajouter l'affaire. Je
considère maintenant que aceastã connexion a eu aussi des effets
pernicieux, donnant aux mystificateurs des possibilités de créer des confusions, pentru qu'on perde de
vue fil des evenimentele investigués. principal effet- pentru moi étant "l'égarement"
dosar Ioan Rosca- que j'espérais constituer un lien entre des causes
apparemment séparées: feseniade ºi génocide. Ma plîngera été noyée entre autres sous-affaires, care ne mettaient pas
l'accent sur responsabilité post-1990 des dirigeants FSN. dar procureurs ont laissé des traces. 200 plaintes identiques des membri CRVC,
placées en 35/P/06 avaient toutes comme chef 2 dénonciation de protection des
coupables, dupã 1990. El ont TOUTES été
négligées, procuratura évitant même de communiquer rezoluþia finale (qui
ne dit rien sur chef 2 des plaintes) aux 200 réclamants. în aceastã bizarre
rezoluþia [26], dosars 68/P/06 ºi 82/P/06, déposés par
IICC, on été disjointes ºi re-déclinés… tandis que declaraþies des parties lésées par crimes dénoncés în ces dosars étaient
enterrées în dosar 35/P/06, fermé par NUP.
c Ordonnance Levanovici de 31.07.08-
pentru déclinaison vers SUPC dosar 82/P/07, parquet-militaire ICCJ
document: [29 v1 f 1-6, v27 f20]
explicaþie: lucrarea de l'équipe Voinea de section
militaire avait avancé trop ºi risquait de ne plus puter être contenu. auditions des martori produisaient un probatoire
impitoyable génocide ºi réouverture des cas classés prouvait complicité haut
niveau dupã 1990. En plus, procureurs
militaires commençaient s'intéresser aux archives de répression, cachés par
décrets. pentru que tout cela s'arête,
agents de l'injustice ont inventé des raisons pentru o déclinaison
saboteuse, inspirés… par des décisions de CEDH. court Constitutionnelle a
décidé, în o affaire apparemment semblable (610 20.06.07), que tous cercetares en cours, auprès des
parquets militaires, doivent être déclinées vers parquets civils, s'il y a aussi des civils
impliqués în causes. dar peut-on
considérer comme civils ºefi de l'état ºi de justice, enquêtés
pentru usurpation puter ? Ou,
enquêteurs ºi juges
militaires passés la retraite ? ºi de plus, ne faut-il pas finaliser par
l'équipe care mène, o enquête care traîne depuis 10 ans, pentru
établir si inculpab sont tous des
civils? Tout cela a fost évidement un
prétexte pentru dérailler cercetares, ce
que j'ai signalé ms. Voinea, care a utilisé
recommandations de cour constitutionnelle pentru se dérober de
responsabilité de terminer l'enquête, qu'il avait passé ms Levanovici. En
consultant explications de celui-ci,
tout observateur de bonne foi constatera que j'ai été un des initiateurs dosar,
donc ma qualité de réclamant sur déroulement de l'enquête ne peut pas être
niée. pentru ce care este de ma qualité de victime des crimes avant 1990,
procureurs militaires n'ont rien entreprit pentru l'estimer. dar ils ont prélevé mãrturii de ce que j'ai souffert en tant que
promoteur jugement de ces crimes, de part régime care a continuées dupã 1990, în dosar 75/P/1998
[2,4,6], d'où ces preuves auraient dû être copiées en
82/P/07 (tel que je l'ai demandé [23].
déclinaisons ont créé cadre pentru que ces documents s'égarent.
d Mon mémoire de 6/09/2008 contre
déclinaison dosar 1304/P/2007 vers section civile, vol.23 f.173
document: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2008-9
explicaþie: En apprenant (sans qu'on me
communique) décision communiquer, j'ai protesté contre reprise des
enquêtes partir de zéro, dupã tant d'années, se pliant des indications
care constituent des entraves la justice. En repoussant arguments potentiellement utilisab pentru se
dérober ( militaires criminels déclarés civils par passage la retraite ou par o
nouvelle loi- appliquée rétroactivement ºi inadéquatement, cause
civile/militaire n'étant pas en face des tribunaux dar en phase
d'enquête), j'ai montré în aceastã
réclamation contre décision de déclinaison ce qu'adviendra la cercetare si elle
este déclinée vers o équipe care ne savait rien sur contenu des dosars. On aurait pu au moins transférer (déléguer) enquêteurs care pourraient faire
avancer travail, dar ce n'était pas ça but de manœuvre. Toutes conséquences que j'ai signalées în ce mémoire
se sont accomplies. procureurs civils
n'ont pas entreprit un seul geste pentru faire avancer l'enquête, en
répondant par exemple ma declaraþie- enregistrée- que je reste disponibil
pentru soutenir, cu vaste matériel probatoire (des milliers de documents) que
j'avais trouvé ºi organisé par problématiques (signalé în raport [5]).
Manifestement ils n'ont même pas étudié
dosars. manipulation défectueuse de l'affaire "Ioan Rosca"
démontre expressivement.
Tel qu'on peut constater,
plusieurs membri CRVC ont exprimé soutien de ce mémoire. FRFDPLA a envoyé
plusieurs memoires diverses institutions por reclamer aceastã declinaison.
e. réponse 1485/1/VII/2008- 23.10.2008 de M
Levanovici (Procuratura militaire - ICCJ) mon mémoire,
document: disponibil
explicaþie: Typique: on reproduit texte contesté sans répondre rien
aux objections. Mon opposition n'a pas été soutenue par "société
civile" care s'agitait théâtralement, demandant célérité des
enquêtes complètement sous- dimensionnées [5]. Même IICC,
alerté par moi, n'est pas intervenu pentru défendre l'enquête. procureurs militaires ont cédé dosars brûlants (decembrie 1989, iunie
1990, génocide continué), dupã o certaine résistance, n'ayant pas force de défier indications destructives. dupã avezi répondu
formellement ma protestation, procuratura a fait exactement ce que j'avais
prévu: ils ont étouffé l'enquête, utilisant déclinaison comme
instrument.
f L'ordonnance Molcut de 24.11.08,
déclinaison dosar 1304/P/08 (82/P/07) SUPC vers DIICOT
document: [29, V27, f13-16]
explicaþie: dupã avezi reçu
volumes procuratura militaire, section SUPC n'a pas continué cercetares, fait démontrable en
analysant dosars- qu'ils n'ont
même pas ouvert (information que j'ai reçue de l'intérieur de
fourmilière). el se résument a copier des fragments de décision
Levanovici, dar filtrant réclamations,
réclamants, réclamés (comme Ion Iliescu) cacher. Leur tâche était de tuer
l'enquête, dar pentru y arriver ils ont recouru un jeu de brouillage des
pistes, en déclinant dosar vers DIICOT (section pentru enquêtes sur corruption ºi infractions contre l'état). Ainsi, aspects liés l'usurpation puter (qui a permis l'utilisation criminelle de
justice) ont pu être "disjoints" des aspects liés au génocide
ºi aux crimes composants, donnant au procuratura possibilité de classer séparément. Bien entendu, ni aceastã
ordonnance ne nous a pas été communiqué, pentru qu'on puisse réagir face
l'évolution de l'enquête. Aucun des réclamants n'a pas su que DIICOT a
fost impliqué, émettant des décisions
pratiquement secrètes.
g L'ordonnance Stoica de
20.01.2009, în dosar DIICOT
328/P/D/08 (c'est dire 1304/P/08, c'est dire 82/P/07, c'est dire
35/P/06+autres)- NUP ºi déclinaison de
DIICOT vers SUPC d'une partie (non-séparable) de 1304/P/08,
document: disponibil[29, V27, f3-8]
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-4-2010-12
explicaþie: Même s'ils n'ont rien tranché sur
génocide (ni- au moins- déclinaison de aceastã partie) ºi ils ont décliné o
partie arbitrairement sélectionnée des crimes connexes, bien qu'ils on pris note
chef 2 de plînger(concernant actes
puter installé dupã 1990), procureurs de DIICOT ont conclut que
personne n'est pas coupable fait que ces crimes contre l'état n'on pas pu
être jugés jusqu'à jour. "Sans entrer în l’analyse contenu
constitutif des infractions" on invoque prescription automatique, en
éludant raisons d'interruption,
suspension, prolongation par continuité crime- dupã 22 decembrie 1989,
connexion des infractions composantes în un tout imprescriptible- bien
argumentées în plaintes. Or, c'était
exactement l'utilisation dolosive ºi complice de prescription care faisait
l'objet de plîngerque DIICOT avait qualité de résoudre. pentru leur faciliter
tâche de nier droit l'interruption de prescription, parjurant sur prétendue
non- réclamation avant 22 decembrie 2004, (tel qu'observable în procès verbaux attachés- vezi plus
bas) SUPC leur a envoyé séparément
volumes 48 ºi 49, care montrent que nous avions réclamé crimes dès 1990, cercetares péna étant fermées
abusivement. En ce care concerne puter FSN, Ms Stoica ne considère pas
plus responsable blocage justicier que
victimes care ont depus plaintes
trop tard… Aceastã rezoluþia incroyable care refuse de " transformer
l’histoire d’une nation en objet des dénonciations péna ", sans cercetares, sans l'étude probatoire ºi
des arguments, seule care este liée au chef 2 de notre plîngercommune, n'a
jamais été communiquée vers nous (de sorte que je pourrais reprendre chaîne des
demerss, en demandant qu'on me communique, pentru puter contester, pentru qu'ils puissent repousser
ma contestation- sans arguments, pentru que je me plains en justice encore o
fois, pentru qu'on me ferme procès au nez- sans explication; dar cela
n'est plus nécessaire, car réaction complice système juridique a
fost déjà révélée)
h L'occultation des volumes 48 ºi 49
care imposaient l'interruption de prescription
documents:
explicaþie: procès verbaux montrant que SUPC avait
envoyé vers DIICOT 3.12.2008 dosar
sans volumes 48 ºi 49 (que procuratura
militaire ne leur avais pas fourni 29.10.08) dar care sont pourtant… renvoyés
vers SUPC 26.01.2009, sans être pris en considération
i L'ordonnance Rezoluþia DNA-SCC - Oana Dragomir de 23.11.2010
document: disponibil
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-4-2010-12
explicaþie: cascade de déclinaisons
trompeuses a laissé un reste régler par DIICOT: l'accusation de trafic
d'influence (art 257 code pénal), évidement collatérale aux accusations
principa contre Ion Iliescu ºi ses copains. Je n'avais pas formulé ce chef de
plainte, conscient qu'il este difficile ºi inutile de prouver l'évidence
que dirigeants communistes ont profité
aussi matériellement de leurs crimes, care n'ont pas été encore pénalisés. Ce
dosar doit être couplé cu celui de destruction économique de Roumanie
dupã 1990, par pillage de l'état usurpé.
J'ai reçu aceastã rezoluþia bizarre în dosar 272/P/2010 (ouvert par o
déclinaison de 20.01.09, sur "trafic d'influence") care n'a pas de
lien sérieux cu mes plaintes, donc n'a pas justifié o réclamation de ma
part. el aurait été infiniment mieux que
DIICOT prenne des décisions responsab sur tous
ºefi de plaintes care
concernent ºi m'envoie décisions pertinentes prises (comme celle
punctul g).
j
demandes de FRFDPLA pentru récupérer
declaraþies des parties lésées, destinées la destruction
documents:
explicaþie: L'interruption brusque des
auditions, réclamée aussi par FRFDPLA, dupã déclinaison vers section civile
parquet, a signalé aux victimes qu'ils existent toutes chances que leurs mãrturii soient détruits,
dupã quelques années, conformément aux règlements parquet. pentru que
cela ne se passe pas, ils ont demandé o copie de leurs propres declaraþies.
réponse a fost négative, motivée par
fait que l'investigation pénale était en cours. pentru que, tout de suite
après, aceastã investigation soit fermée, sans que mãrturii demandés soient mis la disposition
de ceux care voulaient que vérité ne soit pas effacée par "la
justice"
k restitution des dosars-que procureurs militaires avaient rouvert pentru
35/P
documents:
explicaþie: classement sans suite opéré
par I Molcut 29.09.2010 a permis au procuratura de ses débarrasser des dosars
care prouvaient blocage de justice dupã 1990 (ayant comme conséquence des
lourdes responsabilités ºi suspension de prescription).
document: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2010-11
explicaþie: traitement
grossier dosar se manifeste des début, par l'amalgamation des ºefi
de plus de 400 plaintes. On trouve în aceastã litanie aspects saisis au chef 1 de nos plaintes
communes, chef 2 étant "synthétisé" aux punctuls I2x ºi I5p- dar en
ne signalant nulle part nom ou au moins nombre des plaintes communes ºi
individuelles- couvertes par I2, I5 ºi I12. el y a o référence (I11) au dosar
Dealul Blaurului ºi au dosar Dealul
Marului (I30), sans signaler dosars
similaires placés în volumes 1 ºi 4 ºi sans admettre leur conséquence:
l'interruption de prescription.
références aux dosars 26 ºi 27 (points I15 ºi I17) ne nous permettent
pas de comprendre l'explication des déclinaisons D-E-F (on n'a pas laissé des
copies în dosar résolu!). procureur
ne sent pas besoin de justifier ses affirmations ºi sa façon originelle de
traiter légitimité droit, gestion des présomptions ºi des fondements ºi
considération des raports temporels. génocide este découpé en trois parties.
Pendant première, a son avis, crime, commis- son avis- seulement jusqu'à 1964- este toujours prescriptible, car ce
n'est qu'en 1969 que ses auteurs ont reconnu l'imprescriptibilité în code
pénal. Pendant deuxième étape, de 1969 1989, " éléments
constitutifs des infractions ci-dessus ne sont pas accomplis"… en dépit
des preuves contraires ramassées în dosar. L'argumentation de aceastã énormité
aurait très bien pu s'appliquer aussi l'étape précédente, pentru
conclure (contre texte code pénal roumain art. 357) que tuer o partie de
population de Roumanie, n'est pas génocide.
Enfin, pendant troisième tronçon "on disposera non-lieu
de poursuite pénale étant donné qu'il ne
résulte pas éléments constitutifs des
ceux-ci". o perle de logique
dolosive: un génocide care aurait être puni dupã 1990 a fost complètement dissimulé, pas o seule
sentence n'a pas été prononcée, în
nombreux dosars procuratura ºi des tribunaux… pourtant, actions ºi
inactions puter FSN ne se sont
pas passées, de sorte que "il ne résulte pas concrètement l'accomplissement de
quelconque action de sorte a conduire l'empêchement de
l'instrumentation de l'enquête
criminelle sur faits
signalés." Un miracle: criminels protégés ºi enrichis ont reçu des
gigantesques pensions de retraite, sans puter
être puni, dar el n'y a pas
des humains responsables, pas de complices. o fois génocide résolu ainsi, infractions composantes sont prescrites
automatiquement, sans observer raisons
d'interruption ou de suspension, jusqu'à jour. Pourtant Ms Molcut connaît texte de l'art
128 code pénal sur suspension par force majeure, car el admet que justice n'a
pas pu fonctionner avant 22.12.1990. Sans qu'ils puisse indiquer un seul
argument, non- contredit par réalité juridique,
pentru thèse que justice a pu fonctionner dupã aceastã date, ms
Molcut se débarrasse sans gène de suspension. pentru ce care este de
l'interruption c'est un peu plus pénible: el a fost obligé de négliger toutes informations dosar sur plaintes déposées dupã 1990 ºi fermés
abusivement par parquets ºi instances. Peut être couronnement de ce monument juridique este refus de faire
justice de façon cohérente, opérationnelle aux victimes de répression (comme
Grigore Caraza, Cicerone Ionitoiu, Gh Jijie ou Vasile Parsachiv), o fois dosar
génocide classé. On prescrit ainsi droit o juste réparation, envoyant vieux écrasés par l'attente en tribunal,
pentru qu'il démontrent, cas par cas, ce que procuratura n'a pas voulu
constater. Comment prétendre alors pénalisation des autres abus comunismului,
sur gens comme moi, care n'on pas été
emprisonnés, parce qu'ils ont été asservis, exploités, terrorisés ou
apprivoisés? Prtentia ca nu am
numit responsabilii ca si cum era greu de stabilit cine conducea institutiile
desemnate .
26a. pagini extraits des dosars pentru déclinaisons décidées 29.09.10
document:
explicaþie: Sans justification
respectable (qu'on n'entrevoit d'ailleurs pas) procureur opère quelques
déclinaisons D-E-F formant de nouveaux dosars (1040-1043/P/2010 etc, care ne sont pas résolu encore…). DIICOT doit
vezi si el y a de corruption accompagnant
crimes prescrits…. cas Bugan,
Ursu, Enoiu, des mineurs transformés en informateurs- aurait pû déranger
thèse que génocide s'est arête en 1964- utilisée pentru échapper
l'imprescriptibilité (comme si l'imprescriptibilisation explicite în code pénal
de 1969 ne serait pas suffisante). dar el y avait o multitude d'autres cas
relatés în plaintes restantes:
Vatamaniuc, Paraschiv, Caraza (dont on mystifie période de détention în rezoluþia,
toujours pentru castrer génocide de sa continuation dupã 1964!!) ºi en plus, on
constate description, în presque toutes
declaraþies de partie lésée, de façon de laquelle el ont été harcelées
dupã "libération" de 1964. Des autres déclinaisons étranges sont ceux
des abus în pénitentiaires, care étaient
sujet d'une multitude de plaintes de 35/P-… traitées par classement. Comment expliquer (au delà des
spéculations intéressantes punctul E sur compétence procuratura militaire- care
aurait pu s'appliquer l'ensemble dosar) fait que crimes de Enoiu ont été déclinés pentru
être enquêtés în un autre future, dar plaintes de ses victimes (vol 19 23) ont été
enterrées? Ou que destruction des
prisonniers de Aiud (vol 28 f11-14 punctul I18) a fost classée, tandis que réclamation similaire de
IICC (vol 28 f1-9 punctul I17) a eu droit a continuation par déclinaison?
o telle discrimination contre des anciens légionnaires, combinée cu
l'observation de même discrimination în des projets des lois de
réparation ºi în mesures prises par IICC
pentru enlever légionnaires des listes
des victimes de répression communiste de Jilava, soulève des inquiétudes même sur
traitement de ma plîngerpar CEDH, étant donnée façon de laquelle a fost traitée cause connexe avancée par FRDPLA
(cause 3316/10, enterrée par M E Steiner, évidement incompétente ºi
incompatible). în contexte de ces
déclinaisons, traitement de mon dosar, rigoureusement composé par un
scientifique sans agences politics este
d'autant plus bizarre.
ATENTIE http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-10-2013-5
26b Communication
de décision vers Ioan Rosca
document: [29 vol 26 f26]
explicaþie: o preuve claire que mon
implication în cause était bien connue.
pentru que représentent procuratura puisse soutenir 25.02.2010 [27] que je n'ai pas qualité
de me plaindre în dosar (conformément a l'art 278 code de procédure
pénale), volumes envoyés par procuratura
ne sont arrivés en instance… qu'après fermeture procès. D'autre part el este important de signaler qu'à
part quelques exceptions ([29 vol 26 f1-39] grande majorité des co-plaignants,
surtout ceux care ont recouru la plîngertypée de CRVC, réclamant autorités post-1990, n'ont jamais reçu communication de aceastã
rezoluþia.
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-2-2010-11
explicaþie: pentru parcourir étapes demandées par loi, j'ai depus aceastã
plîngerau parquet, prévoyant sont résultat (car procureur Molcut n'avait pas
agit sans ordres supérieurs). Pourtant j'ai pris temps de mettre en
évidence faux arguments pentru
classement de l'affaire (vezi 26 un résumé) pentru qu'ils ne puissent pas dire
plus tard qu'ils n'ont pas réalisé ce qu'ils font. J'ai même mis
bases d'un réquisitoire contre parquet, care devrait être dressé
au cas ou bande criminelle perd puter . Bien entendu, el y a des fortes chances
que situation d'impunité se prolonge, car des nouvel générations de profiteurs
crime protégé par l'état usurpé apparaissent. Ainsi j'ai signalé récursivité de
condition de culpabilité: el y a toujours o dernière couche de
complicité, celle care a empêché jugement de l'avant-dernière.
Probablement que ce discours a convaincu
lecteurs de mes réquisitoires qu'ils este mieux qu'on ne me donner pas
l'occasion de soutenir en justice.
27a plîngerde C Ionitoiu
contenu:
explicaþie:J'ai envoyé o contestation
identique de part de ms Ionitoiu ºi j'aurais pu envoyer des centaines
similaires, de part des autres plaignants CRVC (Grigore Caraza, par exemple,
avait aussi reçu l'ordonnance Molcut), dar j'ai considéré que cela aurait
compliqué trop formalités. Des autres
demerss ont pourtant eu lieu en parallèle, comme celle de Gh Jijie/
FRFDPLA
document: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-5-2010-12
explicaþie: [29-vol 26, f 88] Sans tenir nullement compte des
arguments de ma plînger[27], rezoluþia chef de SUPC confirme touts abus commis par I Molcut, prouvant que
ceux-ci ont été commandés un niveau supérieur. o technique "juridique"
vicieuse ºi typiquement rudimentaire: on ne discute pas arguments
inconvenables, on élude. A-t-on
contesté justification de l'application de prescription? On répète
mécaniquement- comme explication.
infractions composantes génocide ont eu lieu jusqu'en 1989, donc sont
prescrites en 2004, tandis que celui-ci este déclaré arrêté avant 1969,
pentru que décret no.547/1969 blanchit, admettant comme imprescriptib
seulement crimes contre l'humanité pas
encore commencées… Personne ºi rien n'a pas empêché condamnation de ces
crimes dupã 1989, donc el n'y a pas de
raisons pentru prolongation de suspension,
victimes ne faisant rien pentru
dénoncer leur souffrances, donc
el n'y pas de raisons d'interruption.
Bien entendu l'accusation que
enquêtes ºi procès
ont été bloqués par des juristes complices- este passée sous silence. A-t-on
sauté sur un des deux ºefi de plainte?
On ne répond rien aceastã objection care aurait entraîner l'annulation de
décision. dar chef Iacob n'as pas de problèmes naviguer en cercle
vicieux. Vive copy/ paste (9 pagini de 10) pentru répondre cu même texte
des objections sur celui-ci! Ainsi faisant, l'objet de nos requêtes
transparaît de nouveau, même présenté de manière inapproprié. Ioan
Rosca re-apparaît parmi plaignants, rezoluþia Iacob este son adresse,
donc el este impossible de soutenir qu'on n'a pas observé mes plaintes, ºi que
je n'ai pas qualité de réclamer l'enquête ainsi terminée, tel que
représentent procuratura a prétendu 23.02.11
(Je signale aussi qu'à
f. 106 volumul 26 on trouve o grotesque réponse ma mon mémoire de 11/12/10, ou
j'avais demandé des informations concernant l'autre dosar Ioan Rosca, inclus în
75 / P (vol 168 - [6]) .
a Communication de rezoluþia
document:
explicaþie: fait
que aceastã rezoluþia a fost communiquée
vers moi ºi ms Ionitoiu , mon adresse de correspondance, comme réponse nos
contestations [27], certifie notre qualité de plaignants, que
procuratura a nié în procès
ultérieurs. C'est probablement aceastã occasion que dosars Dealul Marului ºi Dealul Balaurului
care été liés ma requête (cachés care sait où, auparavant) ont été
introduits au lieu des anciens volumes 48 ºi 49, care ont remplacé 26 ºi 27-
déclinés.
explicaþie: Jusqu’à l’ouverture
dosar 35/P, procuratura avait traité o multitude de dosars sur crimes régime communiste, en fermant cu des NUP abusifs (y inclut dupã
découverte des fosses communes)- pentru o imaginaire prescription. quelques dosars pénals care on dépassé ce
blocage, arrivant en justice (à cote d’une multitude de plaintes
civiles) ont été diriges vers de façon a ne pas décider aucune condamnation ºi
éviter des dédommagements pentru
responsabilité civile délictuelle ºi pentru
abus judiciaires. pentru prouver que chef de plînger1 n’a pas pu
être incriminé cause de résistance de justice post-1990, non-libérée (ce
care prouve chef de plînger2) l’équipe Voinea a rouvert quelques anciens
dosars. pentru chef 1, ils ont opéré
certaines fouilles, investigations, demerss de documentation ºi o longue
série d’auditions des martori ºi des
partie lésées.
Pour chef 2, procuratura n’a
pas entreprit des nouvel investigations. Plus encore, el n’a pas inclut în
l’ouvrage 35/P des copies des declaraþies prélevées aux martori de Piatra Neamt
en mai 2006, (dans cadre dosar Ioan Rosca inclut în 75/P (vezie [1,4,6]), tel
que je l’avais demandé plusieurs reprises [23] expliquant son importance
principielle de répression feseniste pentru avezi demandé procès
comunismului.
L'équipe Voinea [47] a amassé documents ºi
mãrturii déposés par nous ou envoyés par diverses institutions în 49
volumes- avant de commencer cercetare des archives cachés par régime. Ce
travail, interrompu en 2008, a fost
livré la section SUPC, care l'a envoyé DIICOT, care l'a retourné SUPC [25]
- sans que nouveaux
enquêteurs ajoutent quoi que ce
soit aux dosars, ou qu'ils lisent au
moins, avant de classer l'affaire. Constatant ce monumental abus, j'ai depus
plînger[30], réaction de justice (procès 10636) complétant l'infraction
parquet: l'ouvrage en 49 volumes a fost
caché l'instance care a décidé
[32] que je ne suis pas en mesure de me plaindre. deuxième fois
(procès 10635) cînd ils ont essayé même coup [35] j'ai
découvert dosars cachés ºi je ai signalés aux juges. dupã quoi, je ai copiés ºi étudiés intégralement, de sorte
que mes conclusions [37] constituent un réquisitoire basé sur ce matériel- que
procuratura éludé complètement. troisième fois (procès
5170) j’ai depus aussi [42] declaraþies
de Piatra Neamt sur evenimentele
de decembrie 1990, care avaient été cachées în dosar 35/P dar évidemment
on ne veut pas reconnaitre en Roumanie que gouvernement postrevoluþinaire ont
protégé responsab génocide
communiste.
a 49 bordereaux des volumes faits par procureures
document: disponibil
contenu: disponibil
explicaþie: En grandes lignes, volumes contiennent: V1-Repérage, réouverture ºi connexion des
cas classés dupã 1990, notes; V2- Premiers plaintes ºi documents déposés au dosar ; V3- documents
incriminants, majorité- déposés par Cicerone Ionitoiu ; V4- procès fermés dupã 1990: Draghici,
Craciun si Dulgheru; V5- notes la cercetare de personnes ; V6- cas
Buhat; V7- contributions FRFDPLA- plaintes, tableau des victimes,
mémoires ; V8- Plaintes : Neagoe, Mercas, Visinoiu, Bugan, etc ; V9- plaintes
individuelles, communes-tipées ºi declaraþies ; V10- cadres, deþinuts décédés Galati, Aiud,
Gherla-communiqué par l’Administration Nationale des pénitentiaires; V11- Tableaux
des victimes- publiés en Cotidianul ;
V12- documentation proposée par IICC ; V13-fragments raport de
Commission présidentielle pentru l’étude génocide communiste ºi liste des victimes- Cotidianul ; V14-dosar
harcèlement de Cicerone Ionitoiu ; V15- Pénitencier Sighet-cadres,
morts, codes ; V16-actions groupe Luneta ; V17- groupe Luneta
; V18-declaraþies de martori (Vatamaniuc
G. etc); V19-22 declaraþies de parties endommagées ; V23- declaraþies
, notes, documents ; V24- dosars Ursaceascu, Lungu, Ciobancan, Putariu,
Maniu ; V25- mort de Maniu ; V26- rezoluþii în dosar,
communications, plaintes ; V27- Décisions ºi correspondance în dosar;
V28- Documents concernant l’organisation de répression; V29- crimes de Briceag â Spermezeu, blanchis
pendant qu’il était declaré un officier exemplaire pentru qu’on lui applique
l’amnistie în procès Draghici; V30- Dosar Salcia, cas Gaspar,
Tira, Orsa ; V31- Victimes-Cotidianul, cadres-Ciuceanu,
organisation-Ostrov ; V32-34 correspondance sur cadres; V35- cas Iachim Patrusca- Basarabia ; V36-fiches d'évidence
; V37- Pénitentiaires Caracal, Codlea, Cluj, Dej, Deva, Galaþi, Iaºi,
Mãrgineni, Ocnele Mari, Oradea,
Ploieºti, Ostrov, Salcia V38- dosars Suvac, Bulea, Ursu, Diamandi ; V39-
Pénitentiaire Aiud 1948/1989 ; V40- Pénitentiaire Craiova vol2;
V41- Pénitentiaire Gherla ; V42- Pénitentiaires Alba Iulia, Bacãu,
Baia Mare, Botoºani, Buzãu, Jilava; V43- Pénit. Piatra Neamt, Roman,
Satu Mare, Tirgu Jiu, Tirgu Ocna, Tirgu Mures, Turnu Severin. Vaslui, Vacaresti
; V44-Dosar Canal ; V45- Pénit.Timiºoara, Caransebeº, Oraviþa ;
V46- Pénitentiaires Poarta Albã, Peninsula, Tulcea ; V47-
Pénitentiaire Craiova v1 ; V48-49 Dosars Dealul Marului ºi Dealul
Balaurului
b bodrereau géneral annoté, crée par moi
document
: attaché
explicaþie: J'ai constaté que bordereau
procuratura composé par l'équipe Voinea este construit defectuesement. De son
sommaire cryptique on ne comprend pas l'organisation matériel, on ne saisit pas
vrai contenu des documents. J'ai eu
beaucoup de difficultés m'orienter în bloc des 49 volumes. Cela m'a déterminé
de composer un sommaire annoté, care met
en évidence informations importantes.
L'idéal serait d'utiliser ce bordereau annoté comme navigateur vers documents en format digital. el este
déjà possible de faire, si vous utilisez parole envoyée în ma note, au
niveau titre des volumes. Je suis en
train de mettre au punctul renvoies plus
fins, au niveau des documents ºi versions en fiançais sommaire annoté.
c Copies des volumes- cercetares entreprises par procuratura în
ouvrages 75/P ºi 35/P
documents : disponibils- majorité des volumes,
affichés sur Internet, cu l'accès restreint par parole (vezi plus haut)
explicaþie: Étant prévenu risque de destruction
lucrarea (selon procédures bizarres parquet) j'ai photocopié,
souvent intégralement, volumes
soulignés, care pressaient plus grand intérêt.
1. pentru chef 2 de plînger: Vol 168 de l’ouvrage
75/P/1998- auditions sur
evenimentele de Piatra Neamt
–dec. 1990, ºi des fragments vol 23 ºi 48 de l’ouvrage 35/P/06
2. pentru chef 1 (et 2, comme conséquence constat
blocage judiciaire), l’ouvrage 35/P/06 en 49 volumes, plus intéressantes feuil étant: Vol 1 (surtout feuil 1-37, 93, 96, 99, 114, 122); Vol 2 :
tout; Vol 3: tout; Vol 4 : tout; Vol 7
(1-48) ; Vol.8 (tout); Vol 9 (tout); Vol 10(tout), Vol 11 (tout),
vol 12 (tout); Vol 13 (tout); Vol 14 (tout);
Vol 15 (tout); Vol 18 (tout); Vol
19 (tout); Vol 20 (tout); Vol 21 (tout); Vol 22 (tout); Vol 23 (tout); Vol 24
(tout); Vol 25 (tout); Vol 26 (tout); Vol 27 (tout); Vol 28 (tout); Vol 29
(tout); Vol 30 (tout); Vol 31 (tout); Vol 35 (tout); Vol 37 (tout); Vol 38
(tout); Vol 39 (tout); Vol 40 (tout); Vol 41 (tout); Vol 42 (tout); Vol 43
(tout); Vol 44 (tout); Vol 45 (tout); Vol 46 (tout); Vol 47 (tout); Vol 48
(tout); Vol 49 (tout)
d
L'accord pentru consulter ºi copier
volumes
documents: disponibils
explicaþie: Profitant fait que lucrarea en 49
volumes avait atterri în mon dosar (10636) j'ai demandé ºi obtenu droit de
faire des copies. în même temps, j'ai demandé aux ºefi de FRFDPLA droit de diffuser ºi utiliser ces
documents, y inclut declaraþies de
partie lésées. Je ne l'ai pas encore fait, pentru l'éventualité que
l'enquête sera relancée, même s'il ne s'agit pas d'informations
privées ou secrètes, dar de documents d'importance juridique ºi
historique.
a plîngerde Ioan Rosca auprès
président de Haute Cour de Cassation ºi de Justice, 22 Decembrie 2010, cu
l’inventaire des documents attachés
document: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-7-2010-12
inventaire des
annexes: http://www.piatauniversitatii.com/news/editoriale/opis-2010-12.htm
explicaþie: Conformément a l’art 278 code de procédure pénale, j’ai
depus aceastã plîngercontre façon de laquelle Procuratura avait traité dosars ouverts par plaintes péna que j’avais déposées en 2005
(sur evenimentele de mai 1990 Piatra Neamt, în cadre de
feseniade contrarevoluþieinaire) ºi respectivement en 2006 (sur evenimentele
de decembrie 1990 Piatra Neamt, în cadre de dissimulation feseniste
génocide communiste). explications
claires placées în plainte, ainsi que
documents annexes ne laissaient aucune place la confusion ºi l’arbitraire.
Pourtant complet s’est comporté comme si je ne lui avais communiqué rien.
b. plîngerdéposée pentru Cicerone
Ionitoiu 22.10.2012 cu l’inventaire des documents attachés
document:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-6-2010-12
explicaþie: En Roumanie l’institution des plaintes collectives en
justice n’existe pas. el faut recourir
des interventions, care compliquent
procès ºi ouvrent voie des autres tergiversations (par exemple,
în cas décès d’un plaignant). C’est cause de ça que nous, réclamants solidaires, n’avons pas depus des centaines de plaintes
contre rezoluþii procuratura în dosars ouvert pas nos plaintes co-signées.
J’aurais pu rester seul plaignant, en tant que porte-parole Comité de
Représentation des Victimes Comunismului. dar nous avons jugé qu’il este
symboliquement important que requête soit soutenue par doyen de cercetare
des crimes communistes, dont vie a fost
mortifiée par régime que nous voulons condamner, donc ne pouvait pas
être déconsidéré ni sur plan personnel (en tant que victime) ni sur celui
d’autorité (expertise problème).
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2011-2
explicaþie: Un document
explicatif dense, proposé pentru premier terme procès, complétant
plîngerinitiale, pentru ne pas laisser de place aux ambigüités ºi dérobades. Si
Cours avait lu au moins aceastã page de synthèse, elle n’aurait pas pu
agir comme elle l’a fait. el este difficile de croire qu’ils n’ont pas eu
aceastã curiosité ... o autre explication este nécessaire.
explicaþie: în aceastã
décision anthologique, o instance de Roumanie, ferme un procès au premier
terme, sans tenir compte de plainte, des explications écrites ºi orales, des
documents annexés (très probablement sans lire o seule page dosar). Sans
disposer lucrarea Procuratura (que j’avais contesté) l’instance a accepté
parjure représentant procuratura care a déclaré que je n’ai pas qualité de me plaindre, care je
ne suis pas impliqué în dosar! am réagit sur place, en accusant justice de
complicité a haut niveau, demandant la Cour de consigner aceastã position în
sténogramme de séance. Ils ne l’ont pas fait. Ils n’ont pas motivé décision
pendant 6 mois, me libérant seulement un certificat sans explications, pentru que je ne puisse pas démasquer l’abus
CEDH de façon pertinente. C’est dupã 6
mois de décision qu’ils ont inventé des
raisons pentru fermeture procès, autres qu’ils avaient retenu
initialement, en essayant de cacher parjure représentant procuratura ºi leur indolence /mauvaise foi.
dar el suffit de lire certificat, proces-verbal ºi décision pentru saisir ce care s’est passé în aceastã affaire. seule concession que ce complet m’a fait a
fost de me permettre de photocopier documents de mon dosar, vide au moment de
fermeture procès…. dar rempli ultérieurement cu 49 volumes lucrarea parquet.
a sentence pénale 325 25.02.11, care
ferme cause 10636/1/2010 ICCJ
document: ataºatã
b Ma description de séance de
25.02.1- pentru l’affaire 10636 ºi de 3.03.2011 – pentru 10635.
contenu: affiché
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-2-2011-3
explication : Initialement j’ai été
mecontent fait que requêtes
déposées 22.12.10 pentru moi ºi pentru C Ionitoiu n’avaient pas été joints în o
même cause- car on contestait
mêmes décisions procuratura în o affaire ou on était
co-réclamants. dar dupã stupéfiante fermeture de cause 10636 j’ai profité de situation crée par
séparation artificielle des causes, pentru reprendre demerss, în cadre procès frère
10635, ou j’ai représenté M Inotoiu. Je n’avais pas deviné, l’heure ou je
faisais ce récit des séances que segmentation avait comme but de cacher documents parquet.
c certificat obtenu 03/03/11
contenu: affiché à
d Ma demande de transcription ºi droit
d’étudier dosar, déposée 04/03/11
document: affiché à
document:
explicaþie: Lors d’une
visite Paris (Janvier 2009) M. Ionitoiu m'a donné o procuration pentru
représenter en justice, în toute demers visant procès génocide, car
c’était très difficile pentru lui de venir Bucureºti , en raison des
problèmes de santé ºi de son âge. Sur aceastã base, j’ai pu continuer
défendre cause commune, dupã fermeture de mon procès (16536) în
procès frère 16535, ouvert par moi son nom. Nous nous coordonnés tout temps, el a envoyé
ou signé plusieurs documents soumis par moi, pentru lui. D’ailleurs el
s’agit d’une cause commune, traitée în des dosars ou nous sommes co-plaignants,
coté de bien d’autres. De sorte que j’ai dû supporter des abus în o
posture judiciaire mixte : personnelle ºi de représentant.
explicaþie: documents ºi
notes ajoutées par M. Ionitoiu en instance, en plus de ceux déposés au dosar de d'enquête pénale
ont expliqué o situation que tribunal n’a pas voulu comprendre. Avant d’aborder phénomène génocide ºi
de dénoncer astuces juridiques utilisés
pentru dissimuler, el a documenté minutieusement son propre cas, exposé în son
livre de Mémoires – que j’ai depus au tribunal. Mãrturie accablant sur o vie consacrée la révélation
des destins écrasés de ses collègues de souffrance, synthèse des dizaines de monographies
sur victimes, qu’il a publiés- sans équivalent
en Roumanie. C’est un signe d'ignorance irréparable ºi o provocation cynique de
prétendre que ce lucrarea n’était pas suffisant
pentru motiver condamnation des crimes «communistes »]
a Note pentru
terme de 3.03.11
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2011-3
b Note pentru
terme de 27.03.11
contenu:http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-7-2011-3
contenu: affiché : http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2011-9
traduction: ataºatã
explicaþie: J'ai décrit ici evenimentele
étonnants de 08/09/11, ºi comment j'ai déjoué ºi révélé au complet
complot anti-justicier
a sentence în cause 10635/1/2010, 09/08/2011
document: attaché, affiché
explicaþie: raisons invoquées pentru décliner vers Court
d'Appel Bucureºti ne peuvent pas me convaincre qu'il s'agit d'autre chose que
d'un lavage des mains, de type Ponce Pilate. L'instance a décidé de se
débarrasser des dosars qu'elle n'avait pas vus, au moment où j’ai attiré
l'attention sur leur cachot, dupã que leurs collègues care avaient
instrumenté dosar 10636 (pratiquement, même cas) avaient fermé
procès, toujours sans disposer dosar pénal.
b Réponse
ma demande de faire avancer plus vite dosar tenant compte de l'âge de M.
Ionitoiu
document:
explicaþie: qualité humaine de ces juges
s’exprime par fait que motivation de aceastã déclinaison a fost retardée six mois, en dépit fait que je leur
ai attiré l'attention que M. Ionitoiu este gravement malade, proche de mort.
c. o
déclinaison vers dernier jugement, 14
martie 2012
document:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-5-2012-3
traduction: ataºatã
explicaþie: J’ai raconté ºi commenté ici ce nouvel acte de lâcheté
judiciaire.
a) Ma note pentru terme de 9. 05. 2012
ºi description de séance
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2012-5
explicaþie: J'ai résumé ici, pentru ms
Ionitoiu, raisons pentru lesquel crime
ne pouvaient pas être prescrits, que j'avais exposé aussi 8.9.11, ayant l'intention de discuter en détail au cours des débats
b.
conclusions rédigées par moi ºi déposées 13/05/2012, sur mise en
accusation de ceux care ont bloqué poursuite des crimes comunismului.
document: premiere page, disponibil
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-3-2012-5
explicaþie: C'est un document essentiel
pentru comprendre cas. Bien que l'enquête criminelle n'a pas été achevée, travaux des 49 volumes exploités în ces
Conclusions contiennent des éléments
archi-abondants pentru annuler décision non -lieu de poursuite pénale
(non-renvoi en jugement). J'ai rédigé, au nom ºi cu l'accord de M. Ionitoiu ces
conclusions, en essayant de valoriser: vie de sacrifice ºi lucrarea de documentation de M. Ionitoiu ºi
de ses camarades, vie de sacrifice ºi lucrarea de l'équipe de Fédération
dirigée par Mm. Gh. Jijie ºi Constantin Iulian,
lucrarea de cercetare de l'équipe Voinea, efforts formidab des octogénaires care sont venus témoigner, lucrarea de
cercetare des jeunes de IICC ºi des militants civiques, mes travaux de
cercetare- pendant 22 ans.
document: disponibil,
explicaþie: Je ne l'ai pas obtenue que
08/08/12, devant me contenter longtemps
cu minute pénale, care répondait de
façon stupéfiante aux conclusions
déposées 13.05.12, basées leur
tour sur 49 volumes de l'ouvrage
parquet, o goutte în l'immense documentation existante în l'espace public.
J'ai traduit entre temps aceastã
sentence gênante, de sorte que vous pouviez vezi quel type de droit este
pratiqué encore en Roumanie.
38a communication de sentence pénale
document:attaché
explicaþie: Pendant plusieurs mois nous
n'avons pas eu que aceastã explication, care ne m'a pas été envoyé par poste,
en dépit de ma demande de 29.05.12. L'attitude des fonctionnaires des archives de
Courd d'Appel étant encore plus vexante que celle des archivistes de ICCJ
(oû par contre, conditions
physiques pentru étudier dosars sont
insupportables). Je note aussi qu'on ne m'a pas permis ici de terminer
l'opération de photographier volumes
lucrarea 9971/4335/II/2010 (tel que je l'avais demandé 29.05)- donc el y
a des gros risques que certaines
informations soient effacées pentru toujours, de mémoire de justice roumaine,
en perpétuel rafraîchissement.
explicaþie: Étant refusé par toute presse
ºi toutes chaînes de télévision, lorsque
j'ai essayé a faire connaître sort des
enquêtes ºi des procès - j'ai diffusé des récits sur mes sites. En même temps, j'ai
proposé o série d'essais în lesquels je me suis attaqué aux questions
juridiques de principe ºi aux aspects de stratégie justicière, en
essayant d'élargir cercle des discussions de fond sur raisons pentru lesquel en Roumanie n'on pas
pu être condamnés aucun des auteurs
ºi des profiteurs d'un génocide. Mes arguments de droit mettant l'accent
sur des principes de «justice transitionnelle» ºi peuvent être
considérés comme plaidoyer de droit pentru ma plîngerCEDH.
a. Réhabilitation de justice: de lutte
contre prescription la condamnation de l'usurpation de justice, 12.10.09
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-7-2009-12
explicaþie: juristes formés
ºi utilisés par régime totalitaire n’on pas eu capacité, l’intérêt,
dignité ºi liberté s’auto-démasquer comme mercenaires d’un instrument central
génocide: «justice » détournée.
titres des paragraphes de cet essai sur culpabilité de justice sont
assez expressifs : 1. procès de justice 2. L’injustice
post-décembriste 3. dar qu’est-ce que l’Europe en dit? 4. procès de ceux
care ont empêché procès 5. légitimité de loi 6. cible de
prescription ºi sens de suspension/interruption 7.L’extinction droit la
justesse ºi redoute des archives 8 Infraction continuée, imprescriptibilité ºi
non-prescription 9 Pourquoi? 10. Ce
qu’on pourrait faire.
b Technique des post-incriminations…
amnistiantes, 3.09.10
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-2-2010-9
explicaþie: Revenant sur sujet de
falsification droit, j’ai insisté ici sur jeu dolosif d’invocation de
non-rétroactivité, combiné cu des vils re-incriminations tardives, ayant comme
but de cacher fait que délits respectifs
été déjà condamnable în contexte pénal existant.
c Entre condamnation comunismului ºi
pseudo-réconciliation, 06.12.2009
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-5-2009-12
explicaþie: Fait résumé des obstac
« juridiques » élevés contre condamnation des coupables, que faux activistes civiques font semblant de ne
pas puter combattre.
d. Un gerbe de lettres ouvertes vers
des juristes impliqués în réhabilitation de Justice, 20.09.2010
contenu: http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-3-2010-9
explicaþie: pentru rendre plus difficile dérobade de ceux care
posent en défenseurs droit, j’ai lancé publiquement o série de lettres
ouvertes. Je me suis adressé à: Mihai Ciubotaru-juge pensionnaire ICCJ
care a rendu plusieurs décisions în
causes connexes, Ion ONISEI-avocat, législateur ºi secrétaire de
commission d’application des lois, Valeriu Ciuca-professeur de droit ºi juge
CEDH, Vasile Lupu, avocat ºi législateur, Adrian Neacsu-président de Cour de
Focsani ºi activiste pentru modernisation de justice, Valerian Stan-avocat ºi
expert sur la corruption, Lucian Orasel- avocat ºi plaignant în
procès comunismului, Aurel Maricari- avocat impliqué în des tels
procès, comme celui de Gaprilie Vatamaniuc, Antonie Popescu- avocat spécialisé
în des tel espèces, Dan Voinea procureur în dosars comunismului, de revoluþi ºi de
contrarevoluþiei).
e. De culpabilité de justice la
faillite droit - lettre ouverte M. Valeriu Ciuca, 03/04/11
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-6-2011-3
explicaþie: respect que je porte ce rare
défenseur de qualité de l’acte juridique roumain, m’a déterminé d’insister de
provoquer, en lui faisant l’analyse de dérive droit, ºi de façon de laquelle
détournement de justice mène o société de plus en plus injuste ºi
hypocrite.
f dissimulation génocide anti-roumain,
démonstration synthétique, 17.01.2013
contenu:
http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-2-2013-1
explication :
o synthèse
en 17 punctuls phénomène de détournement de justice, que je
considère très utile pentru compréhension de aceastã cause
contenu: Disponibil, affiché http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-2-2011-6
explicaþie: J'ai utilisé l'occasion
ouverte par réception de rezoluþia 1251,
pentru reprendre chef de
plîngerprocès no 10636, care concernait Contrarevoluþiei de 1990 - c'est
dire dosar 75/P/97
a
Note sur dépôt ºi inventaire des documents déposés
contenu: Affiché http://www.piatauniversitatii.com/news/editoriale-2011-6
explicaþie: J'ai
ajouté en annexe seulement derniers
documents reçus, précisant que probatoire avait déjà été déposé, cu plaintes de 22.12.10 [30] care ont lancé procès 10636 ºi 10635, fermé
abusivement (vezi [32] ºi [38])
contenu: Affiché http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2011-10
explicaþie: în aceastã
note, j'ai demandé la cour de ne pas répéter manière în laquelle a
fost fermé procès 10636, c'est
dire de ne pas retenir que je n'aurais pas un intérêt légitime în cause
(dont j'ai résumé ici l'objet- en 5 punctuls), avant d'obtenir mon dosar
parquet.
a. 5.12.11
contenu: affiché http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2011-12
explicaþie: citation arbitraire în procès
5170/1/2011 relève de diversion ºi de tergiversation. pentru
combattre confusions préméditées, j'ai depus l’instance, pentru terme de 05.12,
o note explicative consistante, în laquelle j'ai aussi signalé la Cour que j'ai
découvert o copie d'une partie dosar Ioan Rosca- incluse în lucrarea 75 / P
(volume 168- vezi [6]), que procuratura
fait semblant de ne pas trouver
depuis plus d'un an. cause a fost
reportée pentru 13.02.2012, pentru je ne sais pas quel manque de
procédure relatif –paraît-il - Diamandescu, que je n’ai même pas
réclamé explicitement, comme par
ailleurs je n'ai réclamé ni Victor
Stanculescu, care a fost toutefois amené
în boxe –comme inculpé universel. Ils
n’existent pas des signes que l'enquête aurait touché
coupables, pentru infractions
réclamées par moi (incitation l'agression, crime, guerre civile), impliqués în
dosar global în lequel a fost inclus
dosar "Ioan Rosca»- â coté de celui de «mineur-ade», comme des parties
connexes de "FeSeN-iade".
Dosar re-décliné si sur-divisé, fermé par un système de NUP criminels,
dont j'ai demandé l’annulation en bloc. Ont absenté, étant représentés par des
avocats, I. Iliescu ºi des autres. Je n’ai pas eu l’occasion de leur dire ce qu’il faut devant tribunaux,
parce ce que ce type de procès ne permet pas des mãrturii ou des
interrogatoires. Quant P. Roman, R Theodorescu, etc. – nominalisés în mes
plaintes ºi raports de cercetare, impliqués în dosar 75/P/1997, ils n’ont même pas été
enquêtés, ºi encore moins inculpés… ºi non plus cités au
procès.
b. ºi 6.12.11
contenu: affiché http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-1-2011-12
explicaþie: dupã o demi-année de déposition
de plîngerICCJ, complet ne savait, ni 05/12/2011, de quoi s’agit-il în dosar
initié par ma plîngerpénale 26 aprilie 2005, dosar care manquait la Cour, étant
caché par Procuratura criminel. C’est pourquoi
j'ai prié Doru Maries de vezi si mon dosar ne se trouve pas parmi copies réalisées pentru '"21
decembrie", suite la greva de foame. Je n'ai trouvé ni là-bas blocs massifs d'artic de presse ºi journaux tv. que j’avais remis M. Voinea
(avec procès-verbal) comme preuves de l'incitation criminelle de
population. J’ai trouvé seulement dosar "Ioan Rosca" în dosar
"Piatra Neamt", plasat în dosar "Le phénomène Piaþa Universitãþii", volumul 168. 5
decembrie, j’ai averti tribunal qu’il n’a pas encore sur table mon dosar, caché
par parquet, dar que je peux déposer o
copie partielle, prouvant son existence.
On m'a dit de déposer ce que je veux,
comme si l’infraction contre justice, que dissimulation de mon dosar
prouvait, n'intéressait pas complet ºi n’était pas tout fait suffisante pentru
constater mauvaise foi parquet. justice complice n'a plus de scrupu formels, cînd el s'agit de
couvrir crimes communisto-fesenistes.
Le 6 decembrie 2012, j’ai
depus copies reçues de «21 Decembrie»
volumul 168 lucrarea parquet, ºi
procès-verbaux de remise au général Dan Voinea, accompagnés par o
nouvelle note explicative. Je croyais avezi forcé l’observation de cause. Qu’est-ce que procuratura allait faire?
Reconnaître, enfin, que mon dosar a existé,
que ma plîngerconcernant feseniade criminelle a existé, que notre
agression a existé, qu'on a procédé la dissimulation complice de mon dosar?
Faire sortir des cachots reste des documents remis au général Voinea, care
prouvent que FSN a utilisé presse,
télévision ºi Securitate – asservis -, pentru inciter population
manipulée écraser anticommunistes care
protestaient pentru trahison de revoluþi
ºi l'usurpation puter în l’état?
Reconnaître, que terminatrice Kovesi, a
menti officiellement «informant» public que Voinea aurait élargi l’inculpation
de Iliescu a des infractions que personne n’avait pas réclamées? Comment
vont-ils expliquer qu'on ne m’a pas communiqué
décisions pentru 75/P/1997, s’ils prétendent que celles-ci me visaient?
Qu'el ne contiennent aucune référence aux cercetares provoquées ºi soutenues
par moi? Comment vont-t-ils passer sur parjure commis devant tribunal
25.02.2011, cînd ils ont soutenu que je n’ai pas qualité de partie în dosars ouverts par moi, déterminant fermeture
procès 10636 – o crasse violation
droit la justice? Comment vont-t-ils expliquer fait que, 8 septembre 2011, 49 volumes lucrarea 35/P/2006 produites par
plîngercollective initiée par moi, care devrait être sur table de cour în
dosar 10635, étaient dissimulés posteriori în dosar stocké 10636, care avait
été fermé 25.02.2011, en considérant que
je n’avais pas qualité de réclamant, parce que tous volumes dosar manquaient? Comment se
défendrons procureurs infracteurs de
l’accusation de complicité aux crimes comunismului continués par FSN?
La
combinaison d’aberration ºi de farce, écorée par o régie grossière
n’avais pas réussi m’engager în jeu de diversion entre différentes ai poussées FSN (PSD, PDL, etc.).
dar on va vezi plus loin on n’a pas hésité me jeter dehors justice, me poussant
prouver jusqu’à tout bouts (y compris CEDH) criminalité système
dominant, en utilisant aceastã étude de cas pentru combattre mythes apprivoiseurs sur justice juste ºi
l’état correct.
contenu: affiché http://www.piatauniversitatii.com/news/editorial-2-2012-2
explicaþie: în aceastã note («
dissimulation des données par ministère public vous a conduit des
citations inadéquates »), envoyée par fax pentru l'audience de 13.02.2012, j'ai
attiré l'attention sur plîngerinitiale, que j'ai déposée au procuratura
26/27.04.05, présente în dosar 168 de
l'enquête criminelle, cote des
documents, des Mãrturie s, etc.(vezie [1,2,6])
ºi fait que tout cela indiquait que procuratura avait traité de
manière totalement insatisfaisante dosar 75/ P ºi qu'il a essayé de cacher
aceastã chose la Cour, affin qu’elle
n’observe pas care sont accusés
care aurait dû être cités maintenant în mon procès. Sur
première ligne de note j'ai attiré l'attention, qu'il était possible que
je ne puisse pas arriver au terme de
13.02 -par force majeure.
a Preuve de l'annulation des trains 13.02.2012
document:
http://www.stiridintrafic.ro/trenuri-anulate-in-13-februarie-2012/
explicaþie: A cause de
l'enneigement, autobus ºi trains ont été annulées, me plaçant în
l'impossibilité d'honorer citation pentru terme de 13.02.2012. En dépit fait
que j'ai envoyé temps un email ºi un fax annonçant un cas de force majeure bien
connu par tout monde, care m'empêchait de participer, juges on fermé procès în mon absence,
sans me donner au moins possibilité de poser des conclusions.
document: ataºatã, contenu affiché à
explication (complétant
section 14, dupã réception de dernière
sentence).
Dans requête initiale
pentru CEDH j'ai signalé (aux punctuls 14.10 ºi 16.1) que, même six mois
dupã fin procès (13.02.2012),
décision n'était pas encore rédigée
(situation constatée 8.08.2012, cînd j'ai visité l'archive de ICCJ ºi j'ai depus o nouvelle
demande pentru que sentence soit communiquée mon adresse de correspondance).
Aceastã entrave m-a obligé "a soumettre plîngerCEDH, pentru m'encadrer în
délais prévu, sans connaître motivation, que d'ailleurs je n'ai pas des raisons
pentru prendre trop au sérieux". Constatant qu'on ne m'envoie pas
sentence, j'ai envoyé par poste o nouvelle demande, suite laquelle je l'ai
enfin reçue, 7.12.2012. Ce n'est que maintenant que je me trouve în position de
finaliser mon argumentation. el este vrai que, tel que prévu, el n'y a pas
grand-chose ajouter la plîngerinitiale, care reste parfaitement valable, étant
malheureusement renforcée par ce dernier épisode. mauvais traitement de ma
cause continuant sentence 325 25.02.2011 (closant procès ICCJ-10636/1/2010).
réaction de ce nouveau complet a surclassé mon scepticisme,
"motivation" constituant un déni effronté de mes droits, par recours
des moyens carrément délictuels. Ce care renforce légitimité de ma révolte face
la complicité de justice în dissimulation de crimes d'une immense nocivité
sociale.
La présente note ajoute o
couche l'épilogue 14.11, lequel montrait l'arbitraire de sentence 222/ F
29/05/12 [38] care a clos procès 3095/2/2012-à Cour d'Appel Bucureºti
, sans tenir compte des plaintes [30], des notes [34-35], des preuves
accumulées în 49 volumes [29], ou de nos Conclusions [37])… Je révèle aceastã fois-ci- în
même esprit- l'absence frappante
de lien entre sentence 181 de 13.02.12 [44] ºi ma plînger judiciaire de
20.06.11 [40] (renforcée par documents ºi
explications ajoutées- 07.10.11 [41], 5/6.12.2011 [42] ºi 13.02.2012
[43]) - care a ouvert cause ICCJ 5170/1/2011 ºi laquelle aceastã sentence prétend répondre. Aceastã
fois on pousse encore plus loin mépris, en renonçant tout scrupule, sentence
éludant complètement principal chef de demande- l'annulation de
rezoluþia 1251/II/2/2011 (du procuratura d’auprès ICCJ) [11], de 20.05.2011, care a arrêté cercetare
pénale ouverte par ma plîngerde 26.04.05 [1,2,4]!
Le parjure de haut niveau este
commis dès première phrase de sentence [44]. On falsifie
d'abord l'objet principal de ma
plîngerICCJ [40], care n'était pas l'annulation de rezoluþia de 17.06.08 [25h],
sur cause 175/P/08 , dar sort dosar "Ioan Rosca" [6] (chose cachée
par décisions parquet)! Puis, on contrefait liste des intimés
nominalisés în ma plîngerpénale de 26.04.2005 [1,2,4] (même si j'avais montré
que majorité des vrais intimés n'avaient pas été cités, tandis qu'on avait cité
des personnes desquel je ne m'étaient pas plaint - comme Victor Stanculescu).
titre de ma note pentru terme de 13.02 [43] ne laissait pourtant pas de place
aux confusions : "La dissimulation
des renseignements par parquet vous a conduit des citations inadéquates".
pentru ne plus parler contenu de aceastã
note, envoyée "pour corriger situation, amenant procès sur
un cours naturel" care n'était certainement pas de passer illicitement en
délibéré... J'y avais expliqué encore o fois façon de laquelle procuratura essaie
de camoufler réalité de ses bavures. Ce "mémoire" étant reçu temps,
car sentence 181 consigne que j'avais annoncé, par son intermède,
blocage de circulation în pays cause d'un enneigement (vezie
http://www.stiridintrafic.ro/trenuri-anulate-in-13-februarie-2012/), care ne
m'a pas permis d'arriver Bucureºti pentru aceastã audience-là- un cas
clair ºi publique de force majeure.
Par suite,
"sentence" ne fait absolument aucune référence au vrai sujet de ma
plîngeren justice [40] (basée sur l'article
278 code de procédure pénale): contestation de cercetare pénale
déclenchée par ma plîngerde 26.04.2005 [1], concernant agressions que j'ai souffert Piatra Neamt
(ayant sommet în l'épisode de 1-5 mai 1990) commises par population instiguée
par FSN (Front Salut National) care a opéré Contrarevoluþiei. Ce n'est
qu'à partir de aceastã analyse - qu'on aurait pu passer mon chef de
requête secondaire: l'annulation des décisions liées aux dosars 75/P/97
în leur ensemble (par exemple, rezoluþia SUPC de 17.06.08 [25h]) dont
superficialité crasse était aussi mise en évidence par fait qu'ils ne faisaient
aucune référence mon cas, pourtant inclus în documentation des investigations
sur divers épisodes de répression (par
exemple, în volumul 168 [6])! juge a copié sur 20 pagini description
inappropriée des evenimentele de Bucureºti de 13-15 iunie (faits auxquels je
n'étais nullement impliqué!) ºi
arguments de droit invoqués pentru prescrire, par un Procuratura pressé
couvrir cet autre épisode de "FeSeN-iade". Considérations juridiques
d’ailleurs incorrectes, que j'avais démontées în mes notes [40-43]- vezi
ºi explications étendues în mes essais
juridiques [39]). Aceastã justification fausse étant maintenue même si
CEDH avait recommandé, en mai 2011, de ne pas considérer prolongation excessive
de ces cercetares comme raison de prescription. dupã quoi, on passe par-dessus
toutes mes demandes, explications ºi arguments, masquées par deux lignes
sibyllines, extraites de ma plainte. Cela pentru puter mystifier l'objet principal de ma requête:
l'annulation de rezoluþia 1251/II/2/2011 [40], en premier lieu parce qu'elle ne
répond guère la plînger26.04.2005 [1,2]), réaffirmant justesse d'une
rezoluþia… care ne traite pas de tout mon cas ºi que j'avais attaquée en
subsidiaire, précisément parce qu'elle ne traite pas! tout embaumé cu o gerbe
de considérations creuses sur rectitude droit roumain, discours bien cynique-
în ce contexte.
En simulant de ne comprendre
onques en quoi consiste mon cas (en dépit de toutes mes précisions), cour fait
semblant ne pas avezi lu o seule page de ma plainte, de mes notes explicatives,
ou volumul 168 [6] de l'ouvrage caché par procuratura (dont j'avais trouvé o
copie l'aide de Doru Maries, en déposant
ICCJ, 5-6.12.2011- cu toutes
explications de rigueur). Ils ont exécuté l'ordre de fermer cause avant
qu'elle déborde. Bien que même l'avocat de l'ancien président (et
principal coupable, Ion Iliescu) ait demandé un autre terme, quoique vrais intimés n'avaient jamais été
cités, ils m'ont fermé de nouveau en
face porte de justice, profitant lâchement de mon absence motivée un terme.
complet, prétendant sans vergogne que toutes
procédures avaient été accomplies, a passé au débat…qui a consisté în
monologue représentant parquet, care a pu mentir sans résistance, en mon
absence, sans que je puisse au moins déposer des conclusions, care auraient pu
rappeler aux juges quel este vrai dosar (la vraie cause). nouveau parjure
trahissant celui commis 23.02.2011 par son collègue parquet, pentru
clore abusivement procès 10636/1/2010 [32] (qui avait même objet
comme deuxième chef de requête). Car aceastã fois, ne pouvant plus
prétendre que je n'avais pas depus de plîngerau parquet, on este passé cacher
sont contenu. Sans voie de recours…
Mais Mãrturie procureur care a dressé ces dosars, y inclut
mien, général Dan Voinea [47] este accablant: el démasque tromperie parquet,
continuée par tribunal.
La justice roumaine este
complice la dissimulation/continuation d'un génocide ºi c'est pentru ce besogne
qu'elle n'a pas voulu reconnaître, aucun prix,
vrais ºefi d'accusations de mes
plaintes, allant jusqu'à cacher probatoire massif que j'ai depus
pentru soutenir ºi noyer mon affaire
în deux grandes tombeaux de vérité: 75/P
ºi 35/P.
Observation: Si vous considérez que cet ajout la plîngerinitiale conduit un léger
dépassement nombre maximal de pagini (10- part l'annexe VII) je peux aussi
envoyer o nouvelle version de
requête, ayant texte comprimé en dix pagini (éliminant aussi quelques
fautes d'orthographe, glissés cause de hâte- pentru ne pas dépasser terme limite).
b: Certificat de 12/03/12
contenu : http://www.piatauniversitatii.com/news/editoriale/certificat_181.jpg,
explication : : 6 mois dupã sentence
je n’ai disposé que de minute : http://www.scj.ro/dosare.asp?view=detalii&id=100000000254509 ºi de ce certificat care ne m’ont pas permis
de rédiger adéquatement plîngerinitiale.
explicaþie: Je ne peux pas présenter ici
mon cheminement professionnel, dar je pourrai prouver, si on me demande, que
son interruption pentru des raisons justicières m'a provoqué des pertes sérieuses, en tant
que spécialiste de punctule, care quitte son poste, au moment de sa relance. Je
rappelle que j’avais déjà sérieusement périclitée ma carrière en
1992, quand, 34 ans, j'avais achevé cu brio deux universités de 5 ans
(Electronique ºi Télécommunications ºi respectivement Mathématiques), gagné des
compétitions nationa ºi internationales, contribué de façon significative
l'ingénierie des téléviseurs en couleur
ºi des ordinateurs personnels (hard ºi soft), effectué de cercetare ºi
coordonné formation professionnelle în très grande entreprise
« Electronica ». J'ai arrêté ºi compromis tout pentru faire mon
devezi de citoyen, résultat étant départ en exil pentru ne pas vivre fait
monstrueux accompli. dar tragédie laissée derrière m'a obligé de sacrifier encore o fois ma vie-
refaite au Canada, cu difficulté. Je vous signale ici seulement un fragment de
mon activité en 2005, quand, pentru ne
pas assister passivement la disparition
des dernières victimes comunismului, bafouées par l'injustice, j'ai
quitté projet LORNET (la construction système pan- canadien de
télé-éducation TELOS), profitant fait que projet passait stade d'architecture conceptuelle
-dirigée par moi- în celui de développement.
a. Rosca, I. Five years for five
perspectives on TELOS, LORNET'06 conference, 2006
contenu: http://www.lornet.ca/Portals/10/I2LOR06/30_Five%20years%20for%20five%20Perspectives%20on%20TELOS.pdf
b.
TELOS: A Service-Oriented Framework to Support Learning and Knowledge
Management- E-Learning Networked Environments and Architectures, a Knowledge
Processing Perspective, S. Pierre (Ed), Springer-Verlag, 2006
contenu:
http://rd.springer.com/chapter/10.1007/978-1-84628-758-9_4
c. Rosca, I. Knowledge and object
phylogenetic production cascades - the TELOS case, CE'2006 conference, Antibes
Knowledge in CE track, Proccedings in Leading the web in concurrent
engineering, Parisa Godus &others ed., 2006, pp 296-304, IOS pres, 2006
contenu:
http://www.booksonline.iospress.nl/Content/View.aspx?piid=2002
d. Preuve de ma position ºi salaire
LICEF
documents en français: attachés
explications: S'il este nécessaire, je peux
ajouter o declaraþie directeur de LICEF, M. Gilbert Paquette, sur circonstances de mon départ vers Roumanie ºi
sur pertes que cela a entraîné pentru ma
carrière.
e. Preuves sur ma position
professionnelle en 1992 : Gaprilieiu, Goras, Panaitopol, Balcaniada
documents en anglais: attachés
explicaþie: En constatant cataclysme
produit par blocage de justice, fait que Roumanie este bourrée de personnes
préjudiciées d'une manière flagrante par
instances (dont beaucoup suffoquent CEDH cu des plaintes), nous avons
fondé asociaþiCIVES-(Combat des Injustices ºi des Vices de l'Évolution Sociale)
par laquelle je voulais stimuler
cercetare sur façon dont droit roumain pourraient être réhabilité
par société. projet principal auquel je
travaille a fost appelé «solidarité justicière »- un réseau
associatif de soutien de ceux care demandent justice devant tribunaux.
schémas utilisés lors des présentations publiques projet,
reflètent structure des cinq sections système mettre en place:
repérage ºi analyse des cas typiques, organisation de documentation des dosars,
organisation l'aide juridique, promotion
în médias, organisation administrative système.
L'étude de ce plan suggère
comment j’utiliserais éventuels
dédommagements. pentru moment, nous nous sommes occupés de quelques cas
concrets: Vatamaniuc, Roventu, Ionitoiu- utilisant l'expérience des causes
Tacu, Paraschiv, Orasel etc.
a. Extrait statut CIVES
contenu: disponibil, affiché à
b. Extrait projet Solidarité-
Justicière, présentation 16.12.08
contenu: disponibil, affiché
originel: document en roumain
en-ligne: http://www.procesulcomunismului.com/cedo/21.47
explicaþie: martorplus pertinent de façon dont
résultats de mes efforts ont été
intégrés în massifs dosars 35/P ºi 75/P
este celui care a échafaudés! Son
important Mãrturie , confirme 15 assertions
générales- care précisent sa position sur traitement des dosars ºi 15 assertions particulières-
liées ma participation. Ses
spécifications, même
brèves, montrent clairement quel sont
raisons pentru lesquel ceux care lui ont arraché enquêtes, pentru ne pas arriver des inculpations, …ne
trouvent plus mon dosar
document: ataºatã, affiché à
explicaþie: M. Cicerone Initoiu este co-
réclamant în poursuites criminel ºi procès que je soumets l'attention de CEDH. cînd je n'ai pu
plus combattre personnellement l'injustice faite aux victimes comunismului, je
l'ai fait comme son représentant. Son Mãrturie
montre ce que décision de Cour d'Appel [38] veut cacher :
solidarité judiciaire des victimes. Son intervention este d'autant plus
importante qu'elle provient doyen roumain de cercetare des crimes comunismului,
un monument encore vivant de l'histoire régime totalitaire, dar care s'éteigne
sans satisfaction, dupã o vie consacrée
relever en plaine lumière vérité
de tant de destins écrasés.
document: ataºatã, affiché
explicaþie: M. Antonie Popescu a
fost martoraux evenimentele de 1990, cînd el activait în Ligue des Étudiants,
o asociaþia impliquée în manifestaþias
anti- FSN. En tant qu’avocat dédié la
cause postcomunismului criminel, el a essayé longtemps d’obliger justice
roumaine de faire son devezi în dosars
de contrerevoluþi, constatant que
intérêts de ceux restés au puter
empêchent toute réhabilitation de justice. el a accompagné mes
efforts justiciers, en face procuratura ºi des tribunaux, étant un martorcare
peut attester vérité de ce que j’ai déclaré în ma plîngerºi în documents attachés.
a. mandat de représentation în procès –à ICCJ- 10635/1/2010
contenu: attaché, affiché à
b. mandat de représentation în procès – la Cour d’appel- 5170/1/11
contenu: attaché, affiché à
22. Je déclare en toute conscience ºi loyauté que renseignements care figurent sur présente
formule de requête sont exacts. soutènement
Lieu: Piatra Neamt
Date: 10
august 2012
(Signature du/de
requérant(e) ou du/de représentant(e))
Ioan Rosca
